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 Surveillance rapproché {Juliet}

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James Slayers Kent

James Slayers Kent


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MessageSujet: Surveillance rapproché {Juliet}   Surveillance rapproché {Juliet} EmptyVen 22 Mai - 20:27

    [James a un langage assez « cru » on va dire, j’préfère juste avertir… ]

    Laissant glisser ses doigt sur la peau nu de la jeune rouge et or qui se trouvait dans ses bras, James esquiva un sourire. Il dessinait les courbes de son dos du bout de l’index. Elle avait la peau douce et dégageait un délicat parfum de pêche.

    Susan – « Qu’est-qui te fait sourire comme ça ? »
    demanda-t-elle doucement.
    James – « Toi »

    Surprise, la jeune fille se redressa, maintenant le draps contre elle avec une main sous sa poitrine, le regardant légèrement contrarier.

    Susan – « Développe »

    N’étant pas le moins du monde inquiéter par sa réaction brusque, il continua de l’observait, allongeait sur le côté. Son coude, appuyer sur le lit, tenait sa tête.

    James – « Cette façon que tu a de rester calme et de ne poser aucune question alors qu’on vient juste de s’envoyer en l’air. C’est ça qui m’amuse. Comme si tout était simple et que tu ne te posait aucune question sur la suite de notre relation. »
    Susan – « Peut-être que je ne m’en pose aucune… » fit-elle d’une voix sereine.
    James – « Alors t’en mieux » répliqua-t-il d’un ton sec. « Aller grouille toi de te rhabiller j’ai cour » lui lança-t-il tandis que lui était déjà debout entrain d’enfiler son pantalon.

    Elle déglutit avec difficulté et le regarda presque choquer. Peut-être qu’en fin de compte elle s’en poser réellement des questions… Le regard de James tomba sur la croix qu’il portait autour du cou et il esquiva un léger sourire. Si le bon dieu regarder tout le monde de la haut comme on avait essayer de lui faire croire étant gosse, il avait dût sacrément se régaler en regardant sa bonne partie de baisse . S’il avait pris son pied autant que lui alors tant mieux. Peut-être qu’il le remercierai en annulant son prochain cour. Qui sait. Enfilant sa chemise blanche qu’il laissa ouverte, il lança un dernier regard a sa compagne. Ils l’avaient fait dans les vieux cachots abandonné. Il y avait mieux comme endroits mais Poudlard n’était pas non plus un bizodrômes et ne regorgeait pas d’endroit prévu a cette effet. La directrice devait sûrement penser par naïveté que ses cher élèves resteraient vierge jusqu'à leurs trentaine d’année. Quel stupidité. Le monde était de plus en plus débauché. Les filles de plus en plus défloré rapidement et les garçons de plus en plus entreprenant précocement. Il n’avait pas échappé a la règle.

    Marchant avec son habituelle arrogance et assurance dans les cachots il comptait se rendre a son cour de sortilèges. Il avait sécher le cour précédent alors il valait mieux éviter de les accumuler, a part bien sûr s’il voulait faire croire qu’il était cloué au lit avec 40 de fièvre comme la dernière fois. Mais alors qu’il marchait tranquillement il croisa une demoiselle qu’il connaissait bien. Oh non ! Faite qu’elle n’ai pas remarquer son absence au dernier cours….
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Juliet E. Halley

Juliet E. Halley


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MessageSujet: Re: Surveillance rapproché {Juliet}   Surveillance rapproché {Juliet} EmptyLun 25 Mai - 17:33

    Inspirer, expirer. Et recommencer, encore et encore, de sorte que votre cœur n’explose pas, de sorte que votre tête n’implose pas. La demoiselle courait, il était sept heures du matin, et elle courait. Loin des regards, loin de ses camarades. Elle courait simplement. Les rives du lac la voyaient faire ses tours, le vent semblait la pousser, lui indiquer le bon chemin à suivre. Elle courait, elle souriait. Elle sentait la sueur perler dans son dos, elle savait que son visage devait avoir pris la couleur de la maison des Gryffondors, mais elle ne voulait pas s’arrêter, pas encore, pas tout de suite. Il ne faisait pas chaud, mais la demoiselle avait abandonné le pull et l’écharpe qu’elle avait enfilés à la hâte avant de quitter son dortoir. Voilà déjà trois quarts d’heure que la Serdaigle courrait, trois quarts d’heure que plus rien ne comptait hormis sa respiration et ses foulées qu’elle essayait de garder les plus régulières possibles. C’était un des meilleurs moyens que Juliet avait trouvé pour évacuer ses frustrations, ses envies de pleurer. Elle se sentait .. Etrange ces derniers temps. Elle ne se comprenait plus, elle ne comprenait plus le monde qui l’entourait. Elle avait un pré-sentiment, mais semblait incapable de dire si il était bon ou mauvais, si ce pré-sentiment lui était adressé ou si il était adressé à quelqu’un d’autre. Mais Juliet chassa ce sentiment de sa poitrine alors qu’elle essayait à nouveau de se concentrer sur sa course. Elle aimait cette atmosphère matinale, elle aimait courir alors que rien ni personne n’est debout à part les êtres de la nuit, elle aimait retourner vers le château et voir le soleil commencer à le bercer de ses rayons. Cette nuit là, elle aurait aimé s’abandonné au simple plaisir de la chair, passer sa nuit dans les bras d’un jeune homme sans avoir à craindre les conséquences, se perdre pour une nuit, ne plus être Juliet la Serdaigle trop innocente, celle que personne n’ose toucher de peur de lui briser ses ailes. Juliet voulait leur crier que cela faisait bien longtemps qu’elle avait perdu ses ailes, elle voulait leur dire qu’elle n’était pas que cela, mais elle se taisait. Elle préférait se taire, se fondre dans le décor, laissez les autres se bercer dans leurs illusions.

    Il était sept heures et demi quand la belle pénétra dans la salle commune des Serdaigles. On entendait les élèves qui commençaient à se lever, les conversations se faisaient plus fréquentes. Juliet ne s’attarda pas, prit au vol quelques vêtements et sauta dans la douche sans attendre que les files n’apparaissent. La Serdaigle s’empressa de se rendre dans la Grande Salle avant de revoir une dernière fois ses cours. Et oui, elle n’était pas un bleue pour rien, elle préférait se plonger dans un bon livre plutôt que d’attendre bêtement les cours. Aujourd’hui ne faisait pas exception. La demoiselle préférait savourer sa solitude que d’être avec des personnes à qui elle n’avait rien à dire. Le premier cours passa lentement, trop lentement. Elle s’ennuyait, aurait voulu être ailleurs. Elle aurait aimé que James soit là, mais il ne semblait pas vouloir arriver. Elle soupira. Se mit à parier avec elle-même : malade ? Entrain de sécher pour vagabonder dans l’école ? Dans les bras d’une de ses incalculables conquêtes ? Elle paria sur la dernière proposition. Un faible sourire vint se dessiner sur ses lèvres alors qu’enfin le cours était fini. Elle se mit en marche et croisa celui qu’elle ne pensait pas voir aujourd’hui.

    Juliet : « Alors ? Quelle est ton excuse pour avoir manqué le cours de ce matin ? »

    Elle laissa un blanc, sourit malicieusement.

    Juliet : « Jolie au moins ? »



Dernière édition par Juliet E. Halley le Ven 12 Juin - 14:13, édité 3 fois
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James Slayers Kent

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MessageSujet: Re: Surveillance rapproché {Juliet}   Surveillance rapproché {Juliet} EmptyMar 26 Mai - 22:14

    James – « Hum… J’avais d’la fièvre ?! » demanda-t-il en grimaçant comme pour savoir si cette excuse lui conviendrait.

    Juliet était une fille un peu particulière il devait le reconnaitre. Cela faisait un moment qu’elle s’entêtait a vouloir le protéger et faire en sorte qu’il ne lui arrive rien. Comme s’il en avait besoin ! Il était un mec merde ! Mais elle ne laissait rien au hasard et elle vérifier qu’il s’habille correctement, qu’il mange assez, reste polie et aille en cour. Une vrai mère poule ! Ou du moins c’est ainsi que James le voyait car il exagéré et la bleue et bronze n’était pas si pénible que ça. Mais il avait grandit seul et habitué a se débrouillé, il avait parfois du mal à comprendre qu’on pouvait a ce point là prendre soin de lui. Oh ce n’est pas que les filles ne lui prêtaient pas attention, non au contraire, mais en règle général elles le faisaient quelque heures plutôt torride et puis basta. Hors Juliet semblait avoir un réel intérêt pour son bien être sans rien lui demandait en retour. Quelque chose qu’il ne comprendrait jamais. Encore moins car il ne lui demanderait qu’est-ce qu’il avait fait pour mériter qu’ elle se comporte ainsi.

    Quoiqu’il en soit elle n’était pas idiote et lorsqu’ elle lui lança un sourire malicieux il devina qu’elle savait pourquoi il n’était pas aller en cour.

    Juliet - « Jolie au moins ? »

    James – « Plutôt oui. »

    Il afficha un sourire en y repensant, satisfait. Oui plutôt oui. Bon il avait certes déjà oublier son nom mais de ses courbes il s’en souvenait encore. Pour preuve James n’avait pas vu le temps filer et c’est seulement lorsqu’il vit que la plupart des élèves présent dans le sous-sol se rendait vers le cachots des Serpentards, autrement dit leurs salle commune, qu’il jeta un œil a sa montre et écarquilla les yeux.

    James – « Sept heure et demi ? Déjà ?? »

    Autant dire qu’il avait passer plus de temps qu’il ne le pensait dans les vieux cachots abandonné et que son cour de sortilège il l’avait loupé depuis bientôt deux heure. Heureusement lui et Juliette n’avaient pas tout leurs cours en commun et la Serdaigle n’avait probablement pas remarquer le reste de son absence.

    James – « Et qu’est-ce qu’tu fou dans les cachots a cette heure-ci au lieu d’aller manger ? » fit-il incompréhensif.

    C’est vrai. Elle n’était tout de même en train de le chercher. Si ? James n’en avait aucune idée. Ça aurait très bien pût. Mais alors qu’avec-t-il fait de si grave pour que ce soit le cas ? Mystère…
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Juliet E. Halley

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MessageSujet: Re: Surveillance rapproché {Juliet}   Surveillance rapproché {Juliet} EmptyDim 31 Mai - 10:58


    James : « Hum .. J’avais de la fièvre ?! »

    La demoiselle le toisa, l’air faussement sévère avant d’éclater de rire. Franchement, elle l’avait connu plus imaginatif. Elle était sûre qu’il allait lui sortir une excuse plus crédible que celle-là. James étant rarement malade, elle ne pouvait pas le croire.

    Juliet : « Jolie au moins ? »
    James : « Plutôt oui. »

    Elle n’en doutait pas. Elle ne pouvait être que jolie avec le rouge et or. Elle lui sourit malicieusement. Voilà quelques années que Juliet connaissait James, quelques années qu’elle essayait de le protéger. Pourquoi ? Parce que même si elle n’avait jamais connu son père en tant qu’autre personne que l’alcoolique avec qui elle avait grandi, elle savait que James lui ressemblait beaucoup or Juliet avait été incapable de protéger son père. Cela pouvait paraître étrange, c’était pourtant la vérité. Juliet avait ce sentiment qu’elle devait être là pour James, elle savait qu’il s’était toujours débrouillé seul, qu’il n’avait pas réellement besoin d’elle, ou du moins elle n’en était pas sûre, mais elle avait besoin de sentir que quelqu’un comptait sur elle, elle avait ce besoin irréfutable de savoir qu’elle se devait d’être là pour quelqu’un. Elle-même s’était souvent demandée pourquoi elle agissait de la sorte à l’égard du rouge et or et à force d’y réfléchir elle avait fait le lien avec son père. Le peux qu’elle savait de son paternel était qu’à Poudlard il était lui-même un tombeur, qu’il était lui-même un je-m’en-foutiste pur. Seulement sa rencontre avec la mère de la Serdaigle l’avait profondément changé, elle était devenue sa vie, tout ce pourquoi il vivait, sans elle il n’avait pas d’avenir. Or elle était morte. Elle l’avait abandonné. Dans la tête de l’homme c’était de sa faute, Juliet le savait à présent, il l’avait toujours reproché à sa fille, mais la Serdaigle savait qu’il essayait juste qu’elle se sente comme lui, qu’elle comprenne ce qu’il ressentait. Elle comprenait. Elle-même se sentait coupable de la mort de sa mère. Elle avait tout perdu, voilà pourquoi elle voulait protéger James, elle savait que jamais il ne deviendrait aussi faible que son père l’était devenu, mais elle ne pouvait s’empêcher d’agir de la sorte.

    Juliet savait qu’elle était une des rares jeunes filles de Poudlard à réellement s’intéresser au sort du jeune homme, à réellement s’intéresser à lui-même. Les autres lui courraient après en espérant passer quelques heures dans ses bras, elle n’était pas de ces filles là. Elle ne courrait pas après les garçons. Cela ne l’intéressait pas. Et courir après James l’intéressait encore moins. Bien sûr, il était séduisant, bien sûr elle aurait pu le vouloir dans d’autres circonstances, mais ce n’était pas le cas. D’abord car elle ne le voyait pas comme un amant potentiel, ensuite parce qu’elle détestait se dire qu’elle n’était qu’une parmi tant d’autre dans les bras du jeune homme. Prétentieuse ? Peut-être oui, mais c’était ainsi. Elle ne voulait pas se dire qu’après quelques heures passées à ses côtés, il aurait déjà oublié son nom et son visage. Non, Juliet n’aimait pas penser qu’elle serait oubliée si facilement. Abandonnée. Voilà de quoi elle avait peur, elle avait peur d’être abandonnée, oubliée. Elle ne pourrait pas supporter qu’on l’oublie, qu’on l’abandonne à nouveau. Son père vivait à ses côtés, mais il avait oublié que Juliet était sa fille et qu’il avait promis de s’occuper d’elle, il avait fini par l’abandonner en choisissant de mettre fin à ses jours, de mettre le feu à cette maison que la Serdaigle chérissait tant. Elle ne pouvait oublier le corps de son père au bout de cette corde, les flammes qui doucement le consumaient, comment oublier ? Impossible.

    James : « Sept heure et demi ? Déjà ? »

    La belle acquiesça. Elle lui sourit. Il semblait avoir perdu la notion du temps. Juliet réfléchit, elle était censée avoir défense contre les forces du mal, mais elle ne se sentait pas d’affronter Midnight. Bien sûr, il remarquerait qu’elle n’était pas là, du moins elle l’espérait. Une idée folle germa dans son esprit, elle n’était pas obligée de se faire porter pâle, elle pouvait réellement sécher ce cours sans se préoccuper des conséquences. Au pire, elle irait en retenue, cela ne la dérangeait pas. Son histoire avec le professeur avait duré un an, mais elle ne parvenait pas à savoir sur quel pied danser avec lui à présent. Elle n’avait pas eu de confrontation directe avec lui, à dire vrai elle avait évité tout contact avec lui. Sécher son cours semblait être une excellente idée à présent.

    James : « Et qu’est-ce que tu fous dans les cachots à cette heure-ci au lieu d’aller manger ? »
    Juliet : « Oh. Pas faim. Pas envi d’aller en Défense contre les forces du mal. »

    Une nouvelle idée germa dans l’esprit de la belle. James ne dirait sûrement pas non à une petite virée dans les couloirs du château. Il ne disait jamais non quand il s’agissait de sécher un cours.

    Juliet : « Ca te dit de te promener avec moi ? »

    Bon. Ok. Il serait étonné qu’elle lui propose cela, il serait étonné de la voir l’inciter à sécher, mais elle n’avait vraiment aucune envie d’aller en cours, elle voulait .. Se promener et faire le vide.



Dernière édition par Juliet E. Halley le Ven 12 Juin - 14:14, édité 1 fois
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James Slayers Kent

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MessageSujet: Re: Surveillance rapproché {Juliet}   Surveillance rapproché {Juliet} EmptyVen 5 Juin - 21:08

    Juliet - « Oh. Pas faim. Pas envi d’aller en Défense contre les forces du mal. »

    James leva un sourcil, le regardant d’un air suspect. Défense contre les forces du mal. Le jeune Kent était un garçon discret, surtout quand il s’agissait de ses amis – bien qu’il ne qualifié jamais le sexe opposé de ce terme – et il ne posait jamais de question indiscrète. Lui-même avait horreur de se confier, ne parlant pas de lui alors il ne cherchait que rarement a ce que les autres lui raconte leurs vies. Hors il n’était pas idiot et en sept ans à Poudlard s’était seulement la première année où celle qui semblait constamment se prendre pour sa mère semblait être déranger par le cour de défense. Détesté-t-elle a se point là Mr Constance ? James n’en avait aucune idée mais il était tout de même curieux et se promit de surveiller cette histoire de près, juste au cas où le jeune enseignant serait injuste envers Juliet. Après tout peut être qu’il la saquer ou quelque chose du genre. Quoiqu’il en soit le jeune homme lui adressa bien vite un sourire, gardant son air détendu de toujours tandis qu’elle semblait penser a quelque chose.

    Juliet - « Ca te dit de te promener avec moi ? »

    James – « Maintenant ? T’avais pas cour toi ? » demanda-t-il avec un léger amusé en coin, et un air a peine moralisateur.

    L’innocente et studieuse Halley qui décide de sécher un cour ? Oh ça sentait l’anguille sous roche ça. Il était ravis que ce soit lui qu’elle est choisit pour sécher le premier cour de son existence mais cette envie d’échapper à tout prix a ce cour, l’intrigua d’avantage. Il aurait voulu lui demander clairement ce qui n’allait pas mais il avait trop de respect pour les sentiments des autres pour le faire . De plus il n’était pas très doué pour réconforter les gens en règle général. Souvent il se contentait de faire comme si de rien n’était, sortant plus de connerie que d’habitude pour amuser la personne triste et ainsi lui redonner le sourire sans qu’elle n’ai besoin de se confier. C’est ce qu’il comptait faire avec Juliet.

    James – « Donc est-ce que ça me dit de faire une promenade avec toi ? Voyons voir. »

    Il se prit le menton d’un main et fit mine de réfléchir. Puis la regarda avec malice et lui adressa un sourire amusé continuant sa petite comédie.

    James - « Tu me prend au dépourvue . J’avais de très grand projets tu sais . » fit-il sur un ton faussement moralisateur. « Je devais… manger une pomme, me laver les cheveux et résistait à l’irrémédiable envie d’aller en cour. Ah oui j’oubliait je devais aussi éventuellement me pendre a cause de l’ennui a venir. Mais bon vu que tu le demande gentiment. Je veux bien sacrifier. Mais c’est la première et la dernière fois »

    Abandonnant son air faussement contrarier, il eut un léger rire et lui adressa un sourire espiègle. Un véritable comédien, exagérant le moindre de ses mots, ne laissant rien deviner de ses pensée grâce a son humour. Mais alors qu’il s’apprêtait a partir de Juliet son regard se posa vers une fille qui venait d’apparaitre au détour du couloir.

    James – « Oh non pas elle ! »
    dit-il plus pour lui-même qu’autre chose , légèrement anxieux et agaçait.

    Le jeune Kent venait d’apercevoir la seule fille dans tout le bahut qu’il voulait a tout prix éviter ! Son prénom ? Il ne s’en souvenait plus et s’en fouter royalement a vrai dire. Il se contenter de l’appeler « Honey ». Traduction : miel ! La fille la plus collante du monde ! Il avait eut le malheur de coucher avec elle et depuis elle ne le lâcher plus, s’imaginant qu’il allait l’épouser et fonder une famille. A chaque fois qu’elle le croisait elle le regardait avec la bave aux lèvres. Ça ne dérangeait jamais le jeune Kent d’être l’un des fantasmes des jeunes filles de Poudlard – au contraire –mais elle elle était complètement ravager. Lorsqu’il l’avait embrassé elle lui avait immédiatement parler de lui présenter ses parents. Ça aurait dût lui mettre la puce a l’oreille. D’ailleurs s’il n’avait pas était aussi occupé a essayer d’aller plus loin et qu’elle n’ai pas un corps aussi désirable il l’aurait sûrement laisser de suite en plan. Mais il était rester et avait coucher avec. Depuis a chaque fois qu’il le voyait elle lui adressait des clins d’œil plein de sous entendu et lui il avait presque envie de lui couper la tête a coup de hache. Une image bien sûr. Quoi que… Enfin bref il n’avait aucune envie qu’elle vienne a lui, car il semblait évident que c’était ce dont elle s’apprêtait a faire, et il eut alors une idée. Il se rapprocha de Juliet et lui chuchota alors quelque chose a l’oreille.

    James – « J’ai pas le choix.... Laisse toi faire.... »


    Sur ce, il passa sa main derrière la taille de la Serdaigle et la ramena a lui, avant de la forcer a se cambrer en arrière, se penchant sur elle et posant ses lèvres sur les siennes. Une scène digne d’un film de cinéma. Il l’embrassa avec douceur et intensité, faisant preuve d’une tendresse insoupçonné et mêlant sa langue a la sienne avec beaucoup de délicatesse, la caressant doucement avec délice avant de rendre son geste plus passionner, ne s’arrêtant qu’au bout d’un petit moment. Leurs lèvres se délièrent alors il redressa alors Juliet, avant de lancer un regard provocateur ainsi qu’un sourire amusé a Honey qui les avaient bien sûr observé et qui semblait des plus énervé. Il l’avait blesser ? Tant pis pour elle. Tant mieux pour lui. La jeune fille partit alors et il reporta son regard sur la Serdaigle, légèrement inquiet. Il leva les mains en l’air en signe d’innocence.

    James – « Tu m’en veux ? »
    fit-il avec une légère grimace d’appréhension.

    Il semblait réellement se soucier de se que ressentait la bleue et bronze ce qui était assez rare venait de lui, qui semblait si souvent n’être qu’un garçon sans cœur, égoïste et plutôt égocentrique. Mais Juliett était l’une des rares filles qui ne s’intéressait pas juste a lui qu’a cause de se qui se trouvait entre ses jambes alors il désirait tous sauf la blesser.
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Juliet E. Halley

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MessageSujet: Re: Surveillance rapproché {Juliet}   Surveillance rapproché {Juliet} EmptySam 13 Juin - 15:35

    Juliet lut l’incompréhension dans le regard de son ami, elle ne l’en blâmait pas, mais elle savait que jamais il ne lui demanderait quoique ce soit, il savait que si elle voulait en parler, elle le ferait. Juliet était comme lui, elle n’aimait pas se confier, parler d’elle et des problèmes, c’était quelque chose qu’elle ne supportait pas faire car elle ne voulait pas être à plaindre, elle ne voulait pas être prise pour la petite orpheline qui pleurait encore ses parents perdus depuis plus de dix-sept ans pour l’un, parent qu’elle n’avait d’ailleurs jamais connu, et depuis six ans pour l’autre, autre qu’elle croisait à peine de son vivant, autre qui ne la considérait même pas comme sa fille. Non, la demoiselle ne voulait pas parler de ce genre de chose, encore moins avec James. Leur relation était particulière, habituellement c’était les garçons qui protégeaient les filles, là c’était l’inverse. Et cela plaisait énormément à Juliet, elle n’avait d’ailleurs jamais compris cette règle de macho qui était que les filles devaient êtres les filles fragiles, les demoiselles en détresse qu’il fallait secourir, mais quand les garçons étaient en détresse, qui venaient les secourir ? Bon, cela pouvait paraître enfantin comme résonnement, mais elle s’en moquait bien la jeune Serdaigle, car ce résonnement lui plaisait énormément.

    James : « Maintenant ? T’avais pas cours toi ? »
    Juliet : « Heu .. Si. Mais bon. J’ai pas envi d’y aller. Et arrête de me regarder comme ça, je sèche comme tout le monde. »

    Ou pas. Bon d’accord, il lui était déjà arrivé d’être malade ou de rater un cours, mais ce n’était jamais volontaire, au contraire, elle préférait aller en cours avec une fièvre de cheval plutôt que de rester au lit toute la journée et se dire qu’elle devrait tout rattraper. Seulement, l’arrivée du professeur de défense contre les forces du mal avait changé la donne. Juliet ne pouvait plus supporter les battements de son cœur alors que le jeune homme posait son regard sur elle pendant les cours, elle n’arrivait plus à l’ignorer et à appliquer son plan de rester dans son coin et de ne pas se faire remarquer. Ce n’était pas dans sa nature d’ainsi se comporter durant les cours, au contraire, elle était active en cours, mais là, elle ne le pouvait pas. Elle sentait ses joues lui brûler quand il lui posait une question, elle avait l’impression que son cœur allait sortir de sa poitrine en courant et qu’elle allait imploser. Elle se sentait si stupide, elle savait que jamais elle n’aurait du s’amouracher du jeune homme, elle savait que jamais elle n’aurait du lui accorder l’importance qu’elle lui accordait à présent, mais c’était bien trop tard pour cela et, même si elle ne l’avouait pas encore totalement, Juliet savait au fond d’elle que ses sentiments pour Midnight étaient intacts, comme ceux qu’elle avait ressenti lors de leur rencontre.

    James : « Donc est-ce que ça me dit de faire une promenade avec toi ? Voyons voir .. »

    Il fit mine de réfléchir, Juliet en profita pour le détailler. La Serdaigle n’avait jamais pris le temps de réellement regarder son ami, depuis toujours elle savait qu’il était beau, il fallait vraiment être aveugle pour ne pas le voir d’ailleurs, mais elle se rendit compte que jamais ses sentiments n’avaient été plus loin que la pure amitié envers lui. La bleu et bronze se souvenait de la première fois où ils s’étaient parlés, il avait essayé de la séduire, elle l’avait envoyé sur les roses, mais en douceur. Elle s’était d’ailleurs toujours demander pourquoi il n’avait jamais chercher par le futur à aller plus loin avec elle, pourquoi il n’avait pas persévéré. Jamais la demoiselle ne lui avait demandé pourquoi elle était différente des autres à ses yeux, car c’était l’impression qu’avait Juliet à cause de leur relation. Cependant, elle savait qu’elle ne saurait jamais la vérité, ou peut-être que si enfin de compte, un jour, et elle se le promit, elle lui poserait cette question qui lui brûlait les lèvres depuis tout ce temps.

    James : « Tu me prends au dépourvu. J’avais de très grands projets tu sais. Je devais… manger une pomme, me laver les cheveux et résistait à l’irrémédiable envie d’aller en cour. Ah oui j’oubliais je devais aussi éventuellement me pendre a cause de l’ennui a venir. Mais bon vu que tu le demande gentiment. Je veux bien sacrifier. Mais c’est la première et la dernière foi. »
    Juliet : « Je suis sûre que cela te dérange énormément de ne pas aller à ton prochain cours ! »

    Un sourire taquin vint se dessiner sur les jolies lèvres de Juliet. Elle aimait taquiner le jeune homme, c’était sûrement ce qu’elle faisait le plus en sa compagnie. Grâce à James, elle pouvait être un peu moins sérieuse, un peu moins coincée, il était le seul avec qui elle s’autorisait pareille comportement, mais bien sûr elle continuait toujours de le couver et de lui dire à quel point c’était mal de sécher les cours, à présent que c’était elle qui lui proposait d’en sécher un, elle n’allait plus paraître très crédible, elle le savait.

    James : « Oh non, pas elle ! »
    Juliet : « Hein ? »

    La demoiselle se retourna et vit la personne indiquée par le rouge et or. Elle arqua un sourcil et se demanda qui cela pouvait bien être. Elle l’avait déjà croisé, mais aurait été incapable de donner son nom ou son prénom, ni même sa maison d’ailleurs. Alors qu’elle se retourna vers le Gryffondor, il s’approcha d’elle et lui murmura :

    James : « J’ai pas le choix, laisse toi faire .. »
    Juliet : « Hein ? Mais qu’est-ce que tu .. »

    Juliet n’eut pas l’occasion d’en dire plus. En moins de temps qu’il fallait pour le dire, elle se trouvait dans les bras du rouge et or, ses lèvres scellées à celles de James. Leurs langues se mêlèrent dans un tendre baiser, une douceur qu’elle ne soupçonnait pas chez son ami. Pourtant, elle se prêta au jeu et passa une main derrière la nuque du jeune homme. Bien sûr, son cœur fit un bond dans sa poitrine, mais elle savait que c’était la surprise qui avait causé cela, et elle fut plutôt soulagée de ne pas ressentir plus que ce qu’elle ressentait déjà vis-à-vis du Gryffondor, de l’amitié. La Serdaigle jeta un coup d’œil en coin à la demoiselle qui les observait l’air furibond. Elle partit en faisant claquer ses talons sèchement contre le marbre du sol. Juliet sourit à James, elle avait une folle envie d’éclater de rire.

    Juliet : « Pas mal, on voit que tu as de l’entrainement ! »
    James : « Tu m’en veux ? »
    Juliet : « Pourquoi je t’en voudrais ? Ca me fait plaisir de t’avoir aidé à éloigner cette fille. D’ailleurs la prochaine fois, essaye de mieux choisir tes conquêtes car celle-là avait l’air assez stupide. »

    Encore un conseil maternel, mais les yeux rieurs de Juliet en disait long sur ce qu’elle pensait. Elle avait pris cela à la plaisanterie et puis .. Ce n’était pas comme si James embrassait mal, au contraire !

    Juliet : « De plus .. Je suis sûre que tu aurais fait la même chose pour moi. »

    Elle lui adressa un clin d’œil complice et passa son bras sous celui du jeune homme en l’emmenant loin de ces cachots oppressants avec ce même sourire rieur dessiné sur le visage.

    Juliet : « Par contre si elle veut me tuer après ça je t’en voudrai énormément. » dit elle d’un ton faussement sérieux. « Allez sortons d’ici avant qu’une autre de tes conquêtes collantes ne se pointe .. »

    Nouveau clin d’œil, nouveau sourire. Enfin, la journée s’annonçait meilleure. James avait réussi en une dizaine de minutes à rendre son sourire magique à la bleue et bronze, c’était une des qualités qu’elle appréciait le plus chez lui : la façon qu’il avait de lui rendre le sourire si facilement et, même si dans ce cas ce n’était pas totalement voulu, il avait réussi une nouvelle fois à chasser toutes les mauvaises pensées de l’esprit de la belle.

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James Slayers Kent

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MessageSujet: Re: Surveillance rapproché {Juliet}   Surveillance rapproché {Juliet} EmptyDim 14 Juin - 13:50

    Juliet - « Je suis sûre que cela te dérange énormément de ne pas aller à ton prochain cours ! »
    James – « E-Nooooor-Mé-Ment ! »

    Un large sourire hypocrite mais pas méchant. Elle le connaissait par cœur. Chose qui aurait dût l’inquièter s’il s’était agit de quelqu’un d’autre mais il avait pleinement confiance en elle, fait rare pour le jeune Kent qui se méfier souvent s’en a avoir l’air. Mais Juliett était différente des autres, il le savait. C’est peut-être pour ça qu’il n’hésita pas une seconde en voyant Miss Pote-de-Colle arrivait et qu’il l’embrassa, devinant au fond de lui qu’elle comprendrait son geste et ne se fairait pas de fausse idée.

    Juliet : « Pas mal, on voit que tu as de l’entrainement ! »

    James : « Merci je fais s’que je peux. Tu m’en veux ? »
    Juliet : « Pourquoi je t’en voudrais ? Ca me fait plaisir de t’avoir aidé à éloigner cette fille. D’ailleurs la prochaine fois, essaye de mieux choisir tes conquêtes car celle-là avait l’air assez stupide. »

    Vous voulez savoir un secret ? S’il avait bien une fille que James pouvait considéré comme une amie c’était bel et bien Juliet. Avec Susi c’était différent parce qu’il s’embrassait parfois pour se dire bonjour, une sorte d’amitié amélioré et Katherine était de son sang. Il y avait bien Casey qui méritait également se titre, bien qu’il considérait presque la rouge et or comme sa petite sœur, mais Juliet était l’une des rares filles a être son ami. Il n’employait jamais ce terme lorsqu’il était avec elle, étant bien trop séducteur et fier pour affirmer que l’amitié garçons et filles étaient possible, persuadé que tôt ou tard ce genre de relation finissait par évoluer, mais la Serdaigle était belle et bien son ami. Lorsqu’elle avait embrassé il n’avait pas ressentit de désir. Pas que ça avait était désagréable, au contraire et elle embrassait plutôt bien dans son genre, seulement il manquait ce petit quelque chose inexplicable qui rend un baiser inoubliable. Qu’il y ai de l’amour derrière ou non !

    Lorsqu’il l’avait embrassé il avait pût lui transmettre toute la tendresse qu’il lui porter et avait ressentit la sienne mais il s’agissait seulement de cela. De la tendresse pour deux personne tenant l’une a l’autre, dont une veillant sur l’autre comme l’aurait fait une grande sœur ou quelque chose du genre. James était rassuré qu’elle ne lui en veuille pas car ce fâcher avec Juliett était la dernière chose qu’il désirait. Il lui adressa un sourire, ne contextant pas le fait que Honey était stupide.

    Juliet - « De plus .. Je suis sûre que tu aurais fait la même chose pour moi. »

    James – « Plutôt deux fois qu’une. Tu sais que j’ne dit jamais non quand il s’agit de ses choses là. Alors si en plus c’est pour rendre service…. Tant mieux. »

    Un sourire espiègle, un air léger, du James tout cracher. Ils étaient complice et se comprenaient, n’ayant aucune ambigüité dans leurs relation et cela n’était prêt de changer. Fort heureusement d’ailleurs. Le jeune homme se laissa entrainer loin des cachots par son ange gardien, tournant la tête au passage d’une belle rousse avant de regarder de nouveau son regard vers Juliett avec un air malicieux et innocent.

    Juliet - « Par contre si elle veut me tuer après ça je t’en voudrai énormément. »
    James – « J’te donne l’autorisation de venir me hanter » fit-il sur le même ton faussement sérieux qu’elle avant d’avoir un léger rire.
    Juliet - « Allez sortons d’ici avant qu’une autre de tes conquêtes collantes ne se pointe .. »
    James – « Putain t’a raison. Une ça me va amplement. »

    Un sourire de nouveau, Juliett semblait plus joyeuse que quelque minute auparavant. Il ne fit aucun commentaire, trop habituer a remonter le moral des gens rien qu’en étant lui-même et balançant deux trois bêtise mais il apprécia le fait d’être responsable de sa légère bonne humeur nouvelle. Tout deux se dirigèrent alors vers le parc, a eux la liberté…


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