Harmony ~ I don't discriminate... I hate Everyone. ~

Invité

________________________"You're the Queen of the Superficial... I'm just your Crown"
_______________________________________________ - Muse & Me -

▄

PSEUDO OU PRENOM : Dwiney-s. Ne cherchez pas à savoir d'où viens ce truc ridicule, il est parfois mieux de ne pas savoir... Mon petit prénom tout mignon tout plein ? >....< Si je vous dis la méchante Barbie... Ça vous inspire? Toujours pas?... Cindy. Enfin non. Cinderella. Mais c'est comme un automatisme chez les gens... Après une journée à les côtoyer, je me vois changer de prénom pour un "Cindy". Du coup, je vous propose de directement m'appeler de cette façon, ça ira plus vite =)
ÂGE : 16 ans. Depuis peu. Mais j'en suis fière, de mes seize années de vécu. Ben quoi? è__é
AVATAR UTILISE: Jessica Stam

__

Spoiler:

AUTRE ? : J'ai pas envie de répéter ce que disent les autres, alors je me tais, mais sachez que je n'en pense pas moins... Ce forum est magnifique graphiquement et me semble très structuré. En bref, il a tout pour plaire !!

Invité

Harmony ~ I don't discriminate... I hate Everyone. ~ Icheartzr4

Le soleil montrait ses premières lueurs et Poudlard se réveillait doucement en même temps que les premiers rayons de l'automne. Seule, assise sur le rebord de la fenêtre de sa chambre, une jeune fille contemplait le merveilleux paysage qui se proposait à elle, complètement perdue dans ses pensées. Peu à peu, son ombre s'étendait dans le dortoir encore endormi. Mais elle s'en fichait, immobile sur sa fenêtre, regardant les couleurs de l'aurore se déshabiller et s'entrelacer au fur et à mesure que le soleil reprenait son trône dans son palais. Dans le dortoir, tout était normal: Les lits étaient défaits et robes de soirées, pyjamas et autres trainaient sur le sol où les baldaquins. Seul un lit était soigneusement fait et attendait la nuit prochaine. Tout - de la table de nuit à la malle - était parfaitement rangé. Tout dans cette partie du dortoir semblait trop "parfait" pour être normal. Tout était calme dans le dortoir, seul le bruit de respiration des filles enveloppées dans le monde des rêves troublait la pesanteur présente dans cette pièce. Car une tension palpable y était présente, peut-être même un peu trop. Toujours est-il que c'est d'elle que cette aura était dégagée.

Elle est d'une corpulence fine et d'une carrure fragile à en rendre jaloux un papillon aux couleurs de l'arc-en-ciel. Ses cheveux rouges lui tombant sur ses épaules avant de finir leur chute vers le milieu de son dos sont aussi lisses que l'eau et sans défauts: Leur perfection montre qu'ils ont été longuement choyés la matinée même. Les traits de cette jeune fille caractérisent vite son jeune âge et son calme inné. Peut-être un peu trop durs, un peu trop froids, ils préviennent déjà sur ce qu'elle est. Ses yeux bleus clairs ne sont que source de mystères dont il faudrait en déceler la clef. Ses yeux bleus clairs ressortis grâce à une légère couche de maquillage rendraient jaloux la Mer comme le Ciel. Son regard perdu dans l'horizon de l'aube, aucune expression ne semble sortir de son visage, seulement, l'indifférence. Elle est le mélange succulent du mystérieux et de l'attirant.

Soudain, elle bouge. Un tout petit peu. Un simple geste d'une grâce légère et souple, comme si tous ses mouvements étaient précieux. Elle veut sortir avant que l'agitation gagne le dortoir. Certaines têtes commencent à émerger de leurs oreillers, laissant apparaître des chevelures brunes, blondes et parfois même rousses. Se levant doucement du rebord de la fenêtre sur lequel elle était installée, le seul bruit qu'elle produit dans cette pièce fut le doux claquement de cette porte qui l'avait enfermé une nuit. Elle ne s'attarderait pas sur la salle commune, ni sur les nombreux couloirs qu'elle dut traverser.

Si elle est à Poudlard, c'est en parti à cause de son père. Lui même n'avait pu y aller car l'école était longtemps restée fermée. Elle aime ces élèves et leurs caractères. Elle aime ce concierge râleur et bossu. Elle aime, par-dessus tout, ce château qui se découpe avec brio sur le ciel bleu de cette belle journée. Il y a plus de 1000 ans, la construction du château n'avait pas été approuvée de tous. Notamment le Ministère de la Magie, qui s'appelait à l'époque "La Table Ronde", ne voulaient pas que les sorciers reçoivent une éducation magique trop appuyée. Mais Godric Gryffondor, Rowena Serdaigle, Helga Poufsouffle et Salazar Serpentard décidèrent de créer une école dans laquelle tous les jeunes sorciers pourraient accéder à une éducation digne de tous les sorciers et contredirent ainsi la Table Ronde qui, malgré que puissante, ne rivalisait pas avec les quatre plus grands sorciers. L'éducation était néanmoins limitée. Elle devint réellement digne d'un sorcier une année après l'arrivée de Voldemort, où Dumbledor fit de nombreux procès afin d'offrir à ses élèves une éducation digne de ce nom. C'était un grand homme qui avait de grandes ambitions.

Sandra était une jolie femme. Ce genre de femme dont tous les hommes rêves sans pour autant pouvoir les toucher de la façon dont ils le voudraient. Oui, c'était une femme de caractère. Une femme fulminante, brillante et afrillolante. Mais après tout, n'avait elle pas tout pour plaire ? L'argent, la célébrité, la beauté, le cœur ? Oui, elle était non loin de la perfection parfaite. Du moins pour la nouvelle génération d'hommes qui bavaient devant ses panneaux publicitaires. La jeune femme était mannequin. Quel autre métier lui aurait mieux convenu ? Elle se fichait du reste. Sa fortune. Sa beauté. Son nom. C'était le plus important. Les hommes, elle les aimait, dans son lit seulement. Mais pour sa réputation, elle avait du en choisir un parmi autant et de se mettre en couple. Enfin, c'était la version officielle. Car derrière son dos, elle allait toujours chercher ailleurs. Sonia était le genre de femme que l'on aime, mais que l'on n'atteint jamais. Elle était la couronne de la richesse. La couronne de la génération, la toute nouvelle Nicole Kidman. Et c'était une situation qui lui plaisait bien. Du moins suffisamment pour qu'elle se dise heureuse.

Son fiancé, Edward Pritchard, était quelqu'un de simplet, qui prenait les premiers plaisirs de la vie comme les plus importants. Il se fichait pas mal de se que faisait sa dite " futur femme ". Il était le chanceux élu, il était celui qu'elle avait sélectionné pour sa réputation. Mais pas pour sa vie. Ce savoir ne le perturbait pas. Après tout, c'en était un comme un autre. Loin de là, il se contentait de ce qu'il avait et ne cherchait pas moins. Mais loin était peut être un peu trop près pour la dite " famille ". Car un jour, ce qui devait arriver arriva. Mais alors, les signes ne pouvaient pas la tromper sur ce qui la troublait tant. Elle avait pensé que c'était la solitude, la tristesse ou encore simplement la maladie qui la faisait se sentir si mal. Elle vomissait souvent, ne semblait pas pouvoir manger tout ce qu'elle appréciait. Certaines odeurs même lui donnaient la nausée. Mais alors qu'elle pensait qu'elle était peut-être mourante, elle prit conscience de la soudaine rondeur de son ventre. Elle était donc bel et bien enceinte. Et cet homme si passif devint soudain plus intéressé par le sujet. Il était le père, mais il ne le savait point. En fait, il était persuadé que c'était l'un des enfants de toutes les conquêtes de sa fiancée. Pris dans un élan de colère, il la quitta et retourna vivre loin d'elle.

Et Sandra, bien que peu attachée à cet homme, se sentit certainement pour la première fois de sa vie comme morte. Perdue, ne savant plus quoi faire. Le lièvre était rattrapé par la tortue. Sa réputation n'en faillait pas moins, mais le moral n'y était plus. Elle ne pouvait se résoudre à tuer un enfant, une nouvelle vie, SON enfant. Mais dire Adieu à une carrière splendide qu'elle avait montée toute seule, qu'elle avait choyé, une célébrité qui lui avait couté toute sa vie, elle ne pouvait se permettre de la détruire pour un simple caprice de mère. Ne sachant quoi faire, elle pensa souvent à abandonner son enfant. Elle n'en avait pas besoin, mais certainement pour sa propre conscience, Edward Pritchard envoyait régulièrement une pension alimentaire. Cet homme si mystérieux qu'elle n'avait pas eu le courage de découvrir en profondeur, qu'elle avait simplement pris pour un objet. Alors que son ventre s'arrondissait bien, elle retourna le voir. Une fois. Juste pour le revoir, elle voulait savoir ce qu'il devenait. A la finale, elle n'avait même pas su ce qu'il exerçait.

" Sandra ?! Qu'est-ce que tu me veux ? "
" Je... venais juste prendre de tes nouvelles. Je sais que tu ne me crois pas sur le fait que c'est bel et bien ton enfant mais... "

C'était inutile. Il avait claqué sa porte aussi fort qu'il le pouvait. Il ne voulait pas écouter les bobards d'une femme sans cœur. Une femme qui se retrouvait maintenant seule avec un enfant. Mais elle se remit très vite de cette visite ratée. Elle repris ses petites affaires en commençant à faire attention à tout comme à rien. Elle arrêta la cigarette, et même les bonnes soirées. Elle se remit en couple avec un jeune garçon, un dénommé Zac', auquel elle s'inteeressa beaucoup plus qu'Edward. Ils vécurent longtemps ensemble et il assista lui-même à l'accouchement de la petite Harmony, prénom qu'il eut l'honneur de lui donner lui-même. Jusqu'à l'âge de ses trois ans, ce fut lui qui éleva la petite fille, sa mère étant toujours en voyage ou au travail. Mais alors qu'elle revenait d'une longue absence, Zac' partit violemment alors que leur mariage allait bientôt avoir lieu. Il ne voulait plus qu'elle le trompe. Il était tombé amoureux. Erreur fatale. Très vite, la petite fille devint distante avec les gens. Elle fut éduquée dans la noblesse la plus totale, par des nourices chaque fois différentes. Lire comme compter n'étaient plus des secrets pour elle.

Invité

Harmony ~ I don't discriminate... I hate Everyone. ~ Icheavydt0

A l'age de ses huit ans, elle rencontra son premier ami. Elle ne sortait évidemment jamais de chez elle, prenant des cours particuliers par des professeurs tous différents. Sa mère organisait une grande fête en compagnie des Stars les plus connues dans sa demeure, chose plutôt rare.

" Regardez comme cette enfant est merveilleuse " Disait Mme Daulary avec un air envieux dans les yeux.
" Oui, on dirait un ange. Elle est si sage... J'aimerai que mon petit Mike soit comme elle. "

Assise sur le tabouret du Piano, elle jouait discrètement dans la salle qui siégeait les instruments de musique. Ce piano qui venait directement de l'arrière grand père de Sandra. Il avait une valeur inestimable et brillait d'un noir scintillant. Elle en jouait déjà plutôt bien, avec les deux mains, elle progressait d'année en année. C'était Marlène qui lui avait appris, sa nourrice qu'elle chérissait tant. En fait, c'était la jardinière. Mais elle restait le plus clair de son temps en compagnie de la petite fille si sage et discrète. D'ailleurs, elle ignorait complètement que, dehors, tout le monde écoutait son morceau de piano à travers la fenêtre. Le piano était son refuge, elle y prenait un plaisir qu'elle ne trouvait à l'époque, nulle part ailleurs. Laissant ses petits doigts glisser du clavier avec amour, elle quitta la pièce, saluant au passage les deux femmes à la porte qui semblaient vouloir rentrer. Il fallait qu'elle aille voir sa mère. Qu'elle lui dise qu'elle arrivait enfin à jouer parfaitement ce morceau qu'elle lui avait demandé de jouer. Et une fois qu'elle lui aurait montré, Sandra lui demanderait d'en apprendre un autre. Et la petite fille l'apprendrait, pour lui faire plaisir. C'était toujours la même routine, mais elle n'avait rien d'autre pour occuper sa fille et lui montrer qu'elle tenait à elle. Alors qu'elle se rendait dans le jardin, où tous les invités savouraient le buffet, elle assista à un spectacle qu'elle n'avait jamais eu l'occasion de voir. Un garçon, peut être un peu plus âgé qu'elle, venait de se faire frapper par son père pour avoir cassé l'un des nombreux verres. Outrée et dégoutée par cette vision, Harmony se précipita vers l'homme et une lueur alors encore inconnue dans ses yeux fit sa première apparition. Son regard était plongé dans celui de l'homme, qui pourtant n'avait en rien l'air de quelqu'un méchant.

" Ne refaite plus jamais ça ! Vous lui avez fait mal. " S'écria la petite fille.
" Je ne fais que lui apprendre ce qu'il peut faire, et ce qu'il ne peut pas faire. "
" Et pourquoi est-ce qu'il peut pas casser un verre de la maison ? "
" Et bien, cela coute cher et ce n'est... "
" On a beaucoup de sous, à la maison ! "

Le silence autour de la scène était palpable. Personne n'en revenait, qu'une petite fille si sage et douce puisse ainsi défendre ses propos et ce qu'elle pensait juste. L'homme en face n'avait pas su quoi répondre. Si ça avait été un adulte, certainement qu'il lui aurait dit deux mots de plus, mais la fillette l'avait bluffé et impressionné, la surprise l'avait désarçonnée. Quelques secondes passèrent où ils se contentèrent de s'affronter des yeux et les deux enfants s'écartèrent. C'est ainsi qu'elle rencontra ce garçon, Mike. Elle se rapprocha vite de lui, et ils purent se voir souvent. Il était son seul contact extérieur, et elle voyait en lui un intérêt terrifiant à recevoir des informations intéressantes. Lui la voyait comme une petite sœur à protéger et l'adorait plus que quiconque. Elle était courageuse et disait ce qu'elle pensait, étant parfois blessante.
Elle acquit très vite ce côté franc et provocateur. Elle n'avait pas le don des discussions mais défendait fièrement ses idées et se fichait pas mal qu'on la croit ou non, se disputant très régulièrement avec ses nombreuses nourrices et ne prétant pas d'importance au nombre si peu important de ses relations.
Mike, qui n'avait qu'un an de plus qu'elle, disparut totalement lorsqu'elle eut 10 ans. Plus de nouvelles, seulement un hibou et une lettre de temps à autres, où il s'excusait de ne pas pouvoir passer la voir, prétendant être malade. Un soir, alors qu'elle jouait l'un des nombreux morceaux de piano qu'elle connaissait, elle reçut l'une de ces lettres bizarres arrivant par Hibou. C'est Marlène qui le lui amena, disant qu'une fois encore Mike lui avait écrit. Mais elle savait bien que ce n'était pas lui, cela était impossible, il lui avait écrit la semaine précédente. Ouvrant difficilement le courrier, elle du relire trois fois la lettre pour la comprendre mot par mot.

" Marlène, la magie existe ? "
Un sourire se dessina sur le visage de la nourrice. Poudlard avait finalement écrit. Elle n'avait pas failli à sa mission de M. Pritchard. Elle était plutôt fière d'elle, le directeur de l'école de St Mangouste la récompenserait certainement de voir sa fille à Poudlard.
" C'est une chose dont seuls les vrais sorciers peuvent prétendre l'existence. "

C'est ce qu'elle lui avait répondu, mais ça lui avait suffit à comprendre. Elle partit en direction de Poudlard environ six mois après avoir reçu cette lettre, prétendant à sa mère qu'elle allait en internat (Grâce à l'aide de Marlène) afin qu'elle est un peu de relations sociales. Jamais à sa mère elle ne révéla l'existence de la magie, et cette dernière s'intéressant que très peu à l'éducation de sa fille, plongée dans son éternelle célébrité, elle n'y vit que du feu. Elle retrouva, à son plus grand plaisir, Mike qui était à une année supérieure qu'elle, et dans une maison différente. Mais ils restèrent amis, sans pour autant trop s'afficher ensemble.
Et à Poudlard, plus le temps passa, plus son caractère s'affirma, et son asociabilité également... N'hésitant pas à dire les quatre vérités d'une personne et traiter tout et n'importe qui passant devant elle, elle fait fuir la plupart des gens. Ses notes sont très bonnes, peut être un peu trop, dans toutes les matières, exceptée une seule : La Botanique. Mais elle se fiche pas mal des cours et de l'école, elle préfère de loin s'afficher dans l'établissement en tant que " trouble-paix " et défendre sa justice. Car elle estime que c'est la seule qui mérite qu'on s'y attarde. D'ailleurs, ses heures de colles et ses rapports sont nombreux pour plusieurs des Duels et Bagarres à mains nues qu'elle a provoquées et auxquelles elle a participé. Sa baguette, de 45 centimètres en bois d'If l'a toujours protégée et aidée dans toutes les situations.
Son cœur ne s'est jamais plus développé que dans son enfance. Meurtrie, elle est persuadée que s'attacher à des personnes ne sert à rien si ce n'est à se berner d'illusions. Elle ne croit personne et n'accorde jamais sa confiance. Néanmoins, elle déteste les forts s'attaquant aux faibles et défendra toujours quelqu'un en difficulté... Elle intrigue et est une brillante joueuse de Quidditch. Son rêve ? Hm... Il semblerait que l'ambition l'amène à vouloir devenir Ministre de la Magie... Imposer ses idées ne serait pas une mauvaise chose. Néanmoins, les limites de sa patiente sont vite atteintes et elle ne supporte pas les importuns sur son passage.

Pour le moment, les jeux n'en sont pas à ce point. Elle vient souvent ici, devant le château. Elle contemple sa beauté, celle du ciel, et parfois, il arrive qu'à travers une fenêtre, elle voit se dessiner une silhouette. Mike la regarde, à travers le verre. Elle devine un léger sourire se dessiner sur ses lèvres, puis elle disparait. Retour en cours, en attendant d'être Ministre...

Invité

Voilà, je pense avoir fini tout ça.
Désolé s'il y a quelques fautes de frappes où autre, et aussi s'il manque des informations cruciales, étant donné que j'ai un peu bâclé la fin... =/

Je n'ai plus qu'à attendre votre jugement fatidique, Oh grands Admins \(^o^)/

Bonsoir,

J'adore ta fiche. Je pense qu'elle fera une magnifique Gryffondors =).

» ▬ Perle, Harmony Grey
» Learn to hate me ; relationship
» Hate is a strong word but I really don't like you... |Gaby