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 Je réalise.uc

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AuteurMessage
Ivy Truescott

    faithless • je ne crois pas au destin, chaque homme a le choix.

Ivy Truescott


Messages : 107
Age : 46
Localisation : mystère.
Camp : Du côté de Truescott. Vive la rébellion !

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MessageSujet: Je réalise.uc   Je réalise.uc EmptyJeu 28 Mai - 19:44

_________Je réalise.
______________________________________________

      J'ai compris que l'être Humain ne fait rien d'autres que saigner,
      que dans la vie se faire du mal est plus facile que s'aimer.

    « On n'imagine pas à quel point la vengeance peut nous conduire à commettre des actes irréparable. La faiblesse est de ne pas assumer. La faiblesse c'est de revendiquer la faute au destin. Je ne crois pas au destin, je suis existentialiste, je pense que l'existence précède l'essence. Notre personne n'est pas gravé dans la roche, non, elle change, et par nos choix, ce que nous faisons. Nous avons beau naitre dans une situation particulière, nous avons toujours le choix, celui de changer, ou ne pas choisir, mais lorsqu'un ne choisit pas, nous faisons un choix; celui de ne pas choisir. Jamais je n'ai laisser les autres choisir pour moi, du moins si, avant. Avant. Avant que je veuille me venger. Avant, j'étais la petite fille, celle qui ignorait son passé, sa vie. Mon passé oublié fait partie intégrante de moi. J'assume tout le acte, je revendique cette vengeance, et je n'excuse pas mes actes, je les affirme. Je me vengerai, et ça, j'en fait le serment.
      Je rejette votre réalité. Et la remplace par la mienne, pour un monde meilleur, mon monde. »
            ivy truescott.




_________Violence.
______________________________________________


    J'avais si mal. Mal. Les larmes brûlaient mon visage. Les coups le faisait saigner. Je brûlais; littéralement, mes joues en feu, brûlante, saignante. Je réalise que l'homme est un monstre. Je réalise que la confiance est la plus horrible des chose. Ils me frappaient, tout les deux. Eux. Je les avais tellement aimé; je les avaient tellement aimé. Mais c'est là que je réalise que dans la vie il est plus facile de se faire du mal que s'aimer. J'avais mal, physiquement. Oui, mal. Mais moi, à l'intérieur je souffrais. J'avais si mal au cœur, si mal. Sa main frappa mon visage, avec force, violence et hargne. La force de cet homme me maintenant au sol, incapable de me relever. Le visage ensanglanté, les mains tremblante, le corps quais dénudé. Des larmes ruisselantes; mes yeux vert marron rougit par les larmes. Mon regard demandant pitié. Je voulais qu'ils arrêtent. Il me regarda, le regard rempli de haine, et me frappa au visage une fois encore. Je m'écrasais contre le sol, souffrante. Je n'hurlais pas. Non. Je pleurais. Elle me tira par les cheveux, mes cheveux noirs emmêlé lui serait de prise. Elle me tirait par les cheveux, elle me faisait mal. J'hurla, de ma voix frêle. J'avais si mal. A seize ans, j'aurai pu me défendre ? Deux, contre deux adultes, qu'aurai je pu faire ? Elle le leva. Mes jambes ne me portaient qu'à peine, que trop peu. Le sol tanguait. Ses yeux remplis de larmes donnait une vision floue du monde qui m'entourait. Elle me gifla avec violence. Il me tira vers lui de toute sa force, avec haine. Elle me fixa un instant, il me regardait avec mépris les yeux dans les yeux. Une haine visible pour mon être. Moi, mes yeux lui demandait grâce. L'espace d'un instant j'ai cru voir dans ses yeux le regard d'autrefois, mais... illusion. Juste une illusion. Il repris ce regard que je méprisais, c celui qui me disait que j'allais souffrir, encore plus, encore plus. Sans amour, sans compassion, sa main serra mon bras, d'un geste, rapide, net, et hargneux, il me balança contre la table de nuit, puis contre le mur. J'aurai du parer l'impact contre le mur avec mes bras, mais incapable de me servir de mes muscle, je restais inactive, subissant. L'impact fut rude, j'avais vu pire. Je m'écroulais, incapable de me relever, la lampe de la table de nuit se brisa en morceau, le porcelaine brisé entailla alors son ventre nu. J'ai saignais. Sans un cris, je sanglotais. Ils ne me faisaient plus rien, mais je sentais sur mon corps presque nu leur regards haines, assassin, rempli de rancœur. J'avais tellement cru qu'ils m'avaient aimés, j'avais tellement l'espoir qu'ils m'aiment encore.

    Ils quittèrent la pièce, muets, sans un bruit, me laissant ensanglanté, sanglotante, souffrante, appuyé sur la table de nuit, ayant pour seuls vêtements mes sous vêtements. J'avais mal. Mon cœur brûlait. Il avait mal, si mal. A seize ans, je n'aurai pas dû finir ainsi. J'étais brillante. Je pleurais. Je pleurais sur mon triste sort. Moi, sorcière, victime de mon propre sort, ils me reprochaient cela, le fait d'être sorcière. Chaque été je subissait leur colère, chaque été depuis mes onze ans je le subissais. D'abord des gifles. Puis des coups. Et aujourd'hui, violence, haine, coups, sang et hargne. J'avais mal. Mon cœur brûlait. Il avait mal, si mal. A seize ans, je n'aurai pas dû finir ainsi. J'étais brillante. Je pleurais. Je pleurais sur mon triste sort. Moi, sorcière, victime de mon propre sort, ils me reprochaient cela, le fait d'être sorcière. Chaque été je subissait leur colère, chaque été depuis mes onze ans je le subissais. D'abord des gifles. Puis des coups. Et aujourd'hui, violence, haine, coups, sang et hargne. La sorcière, c'était le détail de trop. J'avais haïs être une sorcière. Mais j'ai appris plus tard que les regrets nous pénalise. Affalée, je tentais de me lever. Sorcière, oui. Beaubâton m'avait accueillit, j'étais brillante, moi la fille de moldus. Le trébucha sur la lampe cassé, me retint au lit, j'avançais titubante vers la porte de la salle du bain. Ils avaient reçu cette fichue lettre, «  nous avons le plaisir de vous annoncer que votre fille a reçu les meilleures notes à l'examen de sorcellerie, merci de répondre à cette lettre afin d'étudier les possibilité future d'orientation de votre fille ». ils m'avaient encre plus détesté, parce que j'étais un brillante sorcière. J'avais découvert avec stupéfaction que j'étais une sorcière, et à partir de là, ma vie si parfaite à pris une tournure cauchemardesque, je suis passé de l'enfant chérie et la fille non désirée relégué a chaque vacances dans sa chambre, celle que l'on violente. J'entrai péniblement dans sa salle de bain. Péniblement. Ma main couverte de sang agrippa fébrilement la poignée et la tourna avec le peu de force qu'il me restait. J'entrais en peine à rester debout. Choc. Moi. Mon visage. J'avais été belle. Là; je ressemblais à rien. Le visage couvert de sang. Les yeux rouges. Presque nue. Je n'étais plus que l'ombre de moi même. Qu'avais je fais pour mériter cela. Et bien j'étais née comme ça.

    Les parents. J'avais cru qu'ils m'aimaient. Comment pouvaient ils mutilé les fruit de leur amour ? Je m'étais souvent posée cette question. Ils n'avaient jamais levé la main sur Jérôme. Jamais. Je serrai avec ardeur mes poings ensanglantés. Mais là, devant cette glace, là où je me tenais, pitoyable, je savais pourquoi. Ils me détestaient, tout simplement. J'étais le monstre. L'enfant monstrueux. La fille magique, la sorcière. Mes cheveux noir décoiffé étaient sales, ils m'avaient enfermé dans ma chambre, comme à chaque vacances. Du haut de mes seize ans, je n'en pouvais plus. Trois semaines que j'étais enfermé, trois semaines. Ivy, c'était le nom qu'ils m'avaient donnée, mes parents, Ivy Truescott, d'un père anglais, d'un mère française & allemande, du moins, ça je l'avait toujours cru. J'avais selon eux hérité de l'accent de ma mère; l'allemand. j'avais toujours su que sur ce point ils me mentaient, je n'avais pas l'accent allemand, c'était autre chose. Aussi étrange que cela puisse paraître, je n'ai aucun souvenir d'avant mes huit ans, ces derniers ont invoqué une chute m'ayant fait perdre la mémoire, mais aucunes photographie d'eux et moi n'existait, il n'y avait que Jérôme sur ces photo, mon petit frère. Je ne m'étais jamais posée beaucoup de question, avant. Un sortilège, une pensine. J'avais tout fait pour me souvenir d'avant. Soupire. Avant. Avant. Avant mes huit ans. J'aurai cru découvrir l'amour sincère de deux parents et d'un frère. Je n'ai rien trouvé de cela, j'y ai trouvé le chaos. Adopté, voilà ce que j'avais été, à huit ans. Avant. Avant. Avant j'étais la fille De Illitch Svaldiltchenkov, et de Masha Badylenko. Lui, mon père, sorcier de sang pure, venant des pays de l'est, adepte de la magie noire, et elle, ma mère, ukrainienne, douce, de sang pure, sorcière. Mais l'histoire de mes parents est une toute autre histoire, une bien plus longue histoire j'ai appris plus tard beaucoup, beaucoup de choses. Dans mon passé, je n'étais pas Ivy, j'étais Ventesslava Masha Svaldiltchenkov. Je ne voulais plus être Ivy. Je me regardais le le miroir, je n'y voyais qu'Ivy, la fille subissant, tout à chaque instant.

    Haine. Haine. Je fermais les yeux. Ils me brûlaient, les larmes me brûlaient. Je retenais un sentiment depuis si longtemps. Mes poings serrés je contemplais l'ombre de moi même, je contemplais Ivy, cette fille dépourvu de courage. Je voulais qu'elle s'efface, je voulais qu'elle s'efface. Oui, ici maintenant. J'ouvris mes yeux rouges, contemplai mon reflet. Le sourire absent depuis longtemps se dessina fébrilement sur mes lèvres. timidement, je remplaçais une mèche de cheveux derrière mon oreille. J'avais la haine. La haine. Je marchais, sortant de la salle de bain, je titubais légèrement, mais rempli d'espoir et de détermination, j'en oublias la douleur. Assise par terre, j'ouvris le parquet et en extirpa un bout de bois, une baguette magique. Trente huit centimètre, bois d'ébène, & à l'intérieur de la poudre de fée, mêlé à une dent de dragon en poudre, et un crin de sombral, je la saisissais. Je referma à toute hâte la cachette, lorsque des bruits arrivèrent dans le couloir. La porte s'ouvrit, après le bruit successif des vérou s'ouvrant. Je me releva doucement. Il écarquilla les yeux Jérôme écarquilla ses deux yeux bleus. Il s'apprêta à crier, je murmura « silencio ». sa bouche grande ouverte, aucun son n'en sortait. Il allait courir au dehors. Je le tira à l'intérieur de la chambre et ferma la porte. Il me frappa, avec violence. Il me frappa plusieurs fois, encore et encore. avec argne. Je le tira avec violence. Je l'attrapais par le col de sa chemise, je le trainais de force jusqu'à la salle de bain. Je ferma la porte derrière moi lorsque nous fûmes face à face. Un an de moins que moi. Violent, lui il avait abusé de moi, à quinze ans, il avait tout du pervers compulsif. Il sorti de sa poche un canif, et se jeta sur moi. Il dit alors, «  crève salope. » je m'en souviens, il m'a blessé. Sa lame entailla son épaule. Jamais je n'avais été entaillé à l'arme blanche, cette douleur me fendit en deux. Je dégluti avec peine et hurla alors. Je le repoussais de toute ma force. Nous nous battirent comme des bêtes. La lame à quelque centimètre de mon cou tremblait, je le retenais de toutes mes forces. Il avait ce regard rempli de haine. Il ne m'aimait pas. Lui, il ne m'avait jamais aimé, même avant que je sache que j'étais sorcière. Je le poussa violemment contre la baignoire, sa tête due se cogner contre les toilettes, je saisit le couteau. Il se jeta sur moi, et le couteau entailla de lui même Jérôme dans la poitrine. Il s'était rué sur moi, son visage exprima alors une douleur intense, puis, il cessa de se débattre et s'écroula sur le sol. Mes mains couvertes de sang, j'hulais. Je n'avais pas fait exprès, je me répétais cette phrase, en boucle. Ce n'étais pas de ma faute. Je n'avais pas eut le choix. Si, j'avais fait le choix de tenir le couteau, de lui prendre des mains, et lui, il avait décidé de se jeter sur moi, sans prendre gare à ce dernier qui était venu se loger dans ma poitrine. Après les cris mes « parents » forcèrent la porte de ma chambre. Ils appelèrent la police moldus. Ils voulaient me faire incarcérez. Mais l'histoire s'est déroulé tout autrement.


___Légitime défense.
______________________________________________


    Légitime défense. J'étais sauvée. Mes parents eux pas. Condamnés pour violence sur leur enfant. Six mois de procès. Six mois. J'ai souffert. J'ai gardé le nom de Truescott, on ne m'a pas laissé le choix. Truescott, je porterai ce nom jusqu'à mon mariage, si jamais ce jour venais. Ivy me collait à la peau. Cette fille peureuse élevé dans la crainte de ce qu'elle était. Mais Ivy avait disparu le jour où j'avais retrouvé ma mémoire. Ventesslava était là. Ma mère ma vraie vraie, je m'en souviens, elle m'appelait Masha, qui était mon second prénom. Leur condamantion ne m'avait pas touché, au fond de moi, Ivy était bouleversée. Eux, ils étaient sa famille, pour Masha, ils n'étaient rien. J'ai toujours été scindée en deux depuis ce jour là. Ivy, l'apparence, la fille douce, calme, ayant le sens de l'organisation, et l'autre Ventesslava, ou Masha, plus sournoise, plus intelligente, loin d'être naïve. J'avais grandit. J'étais plus intelligente, encore plus intelligente j'avais la capacité de comprendre beaucoup de choses. J'étais fine, et capable de manipuler les gens sans qu'ils s'en rendent compte. Fine diplomate j'étais sans l'ombre d'un doute la meilleure élève de Beaubâton, mais étrangement, seul la divination m'intéressait, alors que moi, j'aurais pu faire n'importe quel métier. Je devins enseignante et a seulement vingt ans je me vis proposer le poste de directrice de Pouldard. Ambitieuse, audacieuse j'avais fait mon bonhomme de chemin et avait su frapper aux bonnes portes aux bons moments. J'aimais Poudlard, j'y avait vu un moyen de parvenir, mais l'éducation de ces enfants m'intéresse, m'implique. La pédagogie, j'aime cela. Pourtant, moi, je n'ai jamais vraiment eut de modèle en ce qui concerne l'éducation. Pas de réel modèle fascinant.
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