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![Leonie Payne [100%] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) |  Sujet: Leonie Payne [100%] Dim 31 Mai - 16:26 | |
| Leonie Payne ;![Leonie Payne [100%] Qn99368102528](https://2img.net/h/www.imagefreehost.com/files/31052009/qn99368102528.png)
nom : Payne
prénom(s) : Leonie
âge : 19 ans
date de naissance : 24 août
lieu de naissance : Londres
lieu de résidence : Londres
nationalité : Anglaise
▄ la fiche d'indentifcation
description physique : Le physique de Leonie ne fait pas parti de ceux qui font l’unanimité, on aime ou on n’aime pas… Du haut de ses un mètre cinquante huit, elle peut paraître un peu trop petite, pourtant vous ne la verrait jamais porter de hauts talons, la nature l’a faite ainsi, elle ne se parera donc pas d’artifice pour y changer quoique ce soit, sans compter qu’elle trouve ça des plus inconfortable. Menue, elle peut sembler frêle et fragile, ce qu’elle est assurément … Possédant un style vestimentaire bien à elle, Leonie privilégie le confort à l’esthétisme. Même si elle peut se le permettre, elle ne dépense pas une fortune en vêtement de marque. Elle n’est pas du genre à dépenser quarante gallions pour un bout de tissu aussi minuscule que ridicule. Lorsqu’elle achète quelque chose il faut que cela lui ait tapé dans l’œil ou bien qu’elle en ait vraiment besoin, mais surtout il faut que cela soit confortable, c’est son mot d’ordre. Ses longs cheveux blonds sont une source de tracas pour elle, elle ne sait jamais quoi en faire alors elle les laisse toujours libres et ne s’occupe pas réellement d’eux. Heureusement ses boucles qui semblent indomptables la laisse en paix. Ses grands yeux sont d’un joli bleu, mais il n’y a que cela que l’on puisse vraiment trouver ‘joli’ chez elle. Ses joues rondes, son nez retroussé, ses lèvres fines et sa frêle silhouette ne font pas d’elle une de ces filles qui font rêver les garçons. Est-ce que cela la tracasse ? Pas vraiment…
description du caractère : Tout le monde connaît ces adolescentes à la plastique souvent parfaite, mise en valeur par des vêtements, une allure et un maquillage opportun. Oubliez immédiatement cette image préconçue car Leonie en est tout l’opposée. Accordant beaucoup moins d’importance à l’apparence physique en générale, elle ne comprend pas les étiquettes dont la société affuble ses membres. On dit d’elle qu’elle est un garçon manqué, parce qu’elle est un peu casse coup, qu’elle ne se pare pas de bijoux et autres accessoires fantaisie, pourtant sur le papier elle est bel et bien une fille alors pourquoi chercher plus loin ? Ceux qui prête de l’importance à ce genre de détails sont des sots, c’est du moins l’idée qu’elle s’en fait. Franche, peut être un peu trop, elle ne se rend pas compte qu’elle peut blesser ou gêner quelqu’un avec ses propos déballés à chaque fois avec beaucoup d’innocence. Parlons en de son innocence ! L’un de ses plus gros défauts, ou handicapes… Leonie est quelqu’un de naïf, mais pas juste un peu, vraiment naïf ! Aussi il est aisé de se jouer d’elle, tellement que cela en est déconcertant, voir risible… Elle ne voit pas les intentions malsaines de l’Homme, ce qui la met perpétuellement en danger autant physiquement que moralement, car les déceptions sont souvent trop grandes pour son cœur de petite fille bien trop fragile. Elle ne prête nullement attention aux ragots ou bruit de couloir... toute l'école peut affirmer la même chose, elle préfère découvrir les gens par elle-même plutôt que d'écouter les autres. Encore une fois, cela peut lui attirer bien des problèmes car elle peut très bien se lier à la pire personne du monde, elle n'y verra que du feu si elle sait jouer un minimum la comédie. Elle est aussi capable de trouver maintes excuses au pire des comportements, persuadée que chaque personne à une part de bonté en elle, elle ne peut croire qu’on puisse simplement être mauvais et encore moins sans raison.
Curieuse, elle n’hésite pas à poser n’importe quelle question sur n’importe quel sujet afin de ne pas rester dans l’ignorance. Parfois cela peut faire sourire, tant elle peut paraître sotte dans ses interrogations, mais elle ne s’en formalise pas. Elle préfère demander que de rester dans l’ignorance ou de se fourvoyer complètement, comprenant les choses de travers. La discrétion est sa meilleure amie, elle aime être transparente, ne pas attirer les regards et les commérages, elle veut tout simplement une vie d’étudiante tranquille et calme afin de pouvoir travailler sans des éléments perturbateurs autour d’elle. Jamais elle ne lèvera la main en classe, parler devant autant de monde la terrifie tout simplement. Malgré cette discrétion presque maladive, elle n’en est pas moins une excellente amie, bien que n’étant pas celle qui fera la premier pas, ceux l’ayant approché et ayant construit une amitié avec elle peuvent se rendre compte de sa loyauté. Il arrivera malgré tout qu’elle aille d’elle-même vers les gens mais en de très rares occasions. Généralement, la douleur morale ou physique d’autrui la pousse vers la dite personne. Toujours en retrait dans un groupe, elle n’en exprimera pas moins ses opinions si cela est nécessaire. Respectueuse de l’autorité en générale, elle n’a encore jusqu’à ce jour jamais enfreint de règlement. Les lois sont faites pour être respectées n’est-ce pas ? Pourtant, elle sait que certaines causes valent qu’on viole quelques lois et se sont sûrement celles là, les plus belles.
Depuis le récent décès de sa mère, elle est perdue et fragilisée. Ayant gardé ses émotions pour elle afin de soutenir son père dans cette épreuve, elle en est rongée de l’intérieur. Elle ressent le besoin de s’accrocher à quelque chose de concret…
histoire générale :
Leonie n’est pas née dans un contexte familial ordinaire, elle est le fruit d’un pêché, celui de l’adultère… Alors qu’elle était déjà mariée, Abigaëlle Payne, fille unique d’une grande famille prospère, rencontra Valery Vactrish un moldu plus âgé qu’elle, dont elle fit la connaissance lors d’un brève passage dans Londres non sorcier. Il était beau, intelligent, raffiné, et tellement charmant qu’elle ne pu que tomber sous son charme indéniable. Son mariage arrangé par ses parents ne la rendait pas heureuse, pourtant elle avait le plus merveilleux des maris, son meilleur ami depuis l’adolescence… Lui, il l’aimait plus que de raison mais jamais il ne lui avoua, se trouvant déjà chanceux de l’avoir pour épouse. Il l’a traitait avec tout le respect dont elle méritait, la couvrait de cadeau, la complimentait à longueur de temps, mais malgré tout ça, elle ne trouvait pas le bonheur avec lui. Alors qu’avec Valery… tout semblait pareil à une romance idyllique. Ils furent amants, pendant plusieurs mois, se cachant des regards indiscrets, jusqu’à ce qu’Abigaëlle n’apprenne sa grossesse. Ce fut l’élément déclencheur, elle décida de quitter son mari et de fuir avec son véritable grand amour. Mais ce dernier, refusa de but en blanc cette folie. Lui-même marié, l’idée de quitter sa femme lui était tout simplement inconcevable, pour la simple et bonne raison qu’il s’était finalement rendu compte qu’il l’aimait. Anéantie par le chagrin, elle avoua toute la vérité à Jonathan, son époux. Ce dernier ressenti la déchirure de la trahison et pourtant, il l’aimait tellement qu’il la pardonna. Il ne pouvait décemment pas laisser celle qui faisait battre son cœur depuis toujours sombrer dans les abysses de la tristesse. Il resterait auprès d’elle, élèverait cet enfant comme si il était le sien, d’ailleurs personne ne saurait jamais qu’il en était autrement, pas même leur famille, et il ferait tout, absolument tout pour que Abigaëlle et son enfant aient la plus belle des vies.
Les jours s’écoulèrent paisiblement au sein de cette famille au secret bien gardé. Leonie aimée et choyée n’avait rien à envier à qui que ce soit. Elle avait des parents aimants, ne manquait absolument de rien et le bonheur semblait acquis pour eux. La seule chose qui manqua réellement à Leonie fut un frère ou une sœur, ou bien même un ami de son âge. Car l’enfant fut comme surprotégée de ses deux parents et à part eux, et quelques membres de la famille, Gabrielle n’avait pas vraiment de contact avec d’autre personne. Ce manque, elle ne le ressentit pas lors de son enfance, aujourd’hui encore, ce n’est pas quelque chose dont elle se plaindra, mais cela contribua à son développement et exacerba sa déjà trop grande timidité.
Elle était âgée de tout juste dix ans lorsque ses pouvoirs firent leur apparition. Ayant grandi entourée de magie depuis son plus âge, cela ne fut pas un moment traumatisant dans sa vie, comme pour certain moldu, bien au contraire. Elle les avait attendu patiemment depuis qu’on lui avait dit qu’elle aussi, elle en disposerait un jour. La première manifestation magique fut somme toute assez banale… Sa mère avait préparé amoureusement un gâteau au chocolat qui faisait saliver Leonie, mais il fut hors de question qu’elle puisse y goûter aussitôt. Si Leonie est patiente, tout ce qui se rapporte au chocolat a tendance à la faire s’agiter. Aussi, assise sur une chaise de la cuisine, elle n’avait pu qu’observer dans un premier temps cette merveilleuse pâtisserie mise hors de sa portée. Elle le désirait tellement qu’elle sentait la faim venir tordre son estomac, alors qu’elle avait mangé peu de temps avant… mais à force de saliver, la faim était revenue à grand pas. La magie opéra alors d’elle-même, sous les yeux ravis de Leonie. L’objet de ses convoitises était entré en lévitation et était venu se poser bien sagement sur la table. Cela fut sûrement le résultat de sa grande concentration sur la pâtisserie, son envie quasi irrésistible de l’avoir entre les mains afin de le dévorer. Peut être… ou peut être pas… Mais le résultat était là. Ce fut la bouche recouverte d’une couche de chocolat qu’elle alla annoncer la nouvelle à sa mère, et le meilleur dans tout cela : elle ne se fit même pas gronder !
Vint alors le jour de son entrée à Poudlard. L’idée d’entrer dans un internat et d’être séparée de ses parents fut une angoisse pour la fillette. Jamais elle n’avait fréquenté d’autres enfants de son âge, enfin si une fois mais pas en si grand nombre. Quelques terreurs nocturnes virent même l’assaillir peu de temps avant son départ et le jour où ils se retrouvèrent devant le train, elle pleura plus que de raison. Etre si loin d’eux et ce, jusqu’à Noël était une épreuve bien trop difficile pour elle… Ses parents se voulurent rassurant, promettant de lui écrire toutes les semaines et qu’au moindre problème, elle pourrait rentrer à la maison. Bien sûr ce dernier point n’était que parole afin de la réconforter quelque peu, ils étaient persuadés que rien de bien fâcheux ne pourrait arriver à Leonie là bas, mais ils essayaient tant bien que mal d’apaiser les angoisses de leur enfant. Et avant qu’elle embarque dans le train la menant à son école, ils lui offrirent un adorable chaton du nom de Irina pour qu’elle ne se sente jamais seule…
Ses craintes furent légèrement mises de côté lors de son arrivée. L’école était d’une beauté architecturale comme elle n’en avait jamais vu, les jardins peuplés de plantes magnifiques étaient d’une beauté à couper le souffle et surtout, le tout semblait bien moins terrifiant qu’elle avait pu imaginer. La répartition fut une épreuve pour elle, mise en avant devant toute une assemblée, elle aurait voulu courir se cacher plutôt que devoir affronter tous ces regards. Son plus grand soulagement en cette journée fut lorsque cela fut terminé. Elle alla à sa table sous les applaudissements de ses camarades, en courant presque comme pour s’y réfugier. Elle resta plus ou moins à l’écart et mangea en silence alors que les autres faisaient connaissance. Elle, elle préféra rester de son côté, bien trop timide pour se mêler à leurs discussions et surtout, n’osant pas s’imposer.
Lors des années qui suivirent, sa priorité fut ses études mais elle se fit tout de même quelques amis, bien que discrète, sa gentillesse ne passa pas inaperçue. Elle alla même parfois vers les autres, seulement lorsqu’elle se sentait poussée vers eux, mais cela restait dans de très rare cas. Son cercle d’amis s’élargi au fil du temps… ses camarades lui en présentant d’autres, ses sourires et son innocence en marquèrent quelques uns. Respectueuse des règlements, elle n’eu jamais de problème avec le corps enseignants, bien au contraire… très bonne élève, y lui arrivait souvent de donner un coup de main à ses camarades pour leurs devoirs.
Tout se déroula sans encombre jusqu’à la fin de sa huitième année… la mère de Leonie décéda alors des suites d’une maladie. D’abord atteinte d’une infection des poumons, la maladie non prise en charge rapidement se transforma bien vite en Pneumothorax. Cette maladie peu connue des sorciers emporta Abigaëlle, l’arrachant à ceux qui l’aimait. Comme on peut facilement s’en douter, cette tragédie dévasta complètement le père de Leonie. Il venait de perdre la seule femme qu’il n’avait jamais aimé, celle qui malgré toutes ces années n’avait jamais oublié son amour passé, le véritable père de son enfant. Mais il l’était lui, il était le vrai père de la jeune fille, assurément plus que cet homme n’ayant jamais cherché à la connaître. C’était lui qui l’avait vu grandir, lui qui l’avait élevé, lui qui l’aimait comme un père ! Cependant, Jonathan avait beau avoir accompli sa tâche à la perfection, tenu sa promesse sans jamais faillir, il ignorait malgré tout que sa défunte épouse avait pendant tout ce temps envoyé lettres et clichés de son enfant à celui qui l’avait lâchement abandonné. Mais certains secrets ne sont pas faits pour être gardés sous scellé indéfiniment et ce sera un jeune homme de l’âge de Leonie et parenté à elle qui lèvera le voile…
Suite à la perte de sa mère, Leonie fut plus forte qu’on ne l’aurait cru… Elle passa son été à s’occuper de son père, à remplacer sa mère dans son rôle de femme au foyer et décida même de mettre fin à ses études afin de pouvoir rester près de son père et ne pas le laisser seul. Ce dernier s’opposa farouchement à cette idée. L’avenir de sa fille était bien trop important pour qu’il puisse la laisser le gâcher sans broncher. Elle était appeler à faire de grandes choses –il en était persuadé- il ne lui enlèverait pas les chances de les accomplir. Ce fut alors avec le cœur lourd que Leonie quitta son père pour entamer sa neuvième. |
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