U can't touch This ( PV )

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Ce que le monde est chiant ! Ce que les gens faisaient chier. Non, mais c’est vrai. Arrêtez de soupirer je vous entends. Écoutez un peu. Charly n’aime pas les gens, en fait, il y en avait très peu qu’elle appréciait. Cette année, elle faisait des efforts immenses pour réussir à s’approcher des gens. C’était la première fois qu’elle avait autant d’amant, en plus. Elle ne se sentait pas à l’aise au tout début. Ce paragraphe n’est pas destiné à parler de ses amants, non, plutôt de ses ennemies et du monde qui la fait chier. Elle détestait la terre entière, sauf exception. Elle avait les gens profondément enfoncés dans le cul. La Serpentard se pointait rarement aux fêtes ou dans les soirées où il y a plus de trois personnes. Elle trouvait toujours les embrouilles, même si elle faisait des efforts pour ne pas déclarer une bagarre. Combien de fois Charly n’avait pas fini par se bagarrer avec des jeunes femmes ou des jeunes hommes ? Hum, laissez-moi réfléchir… rarement. Elle n’était incapable de rester sage et laisser les gros nuls se vanter. Bien trop difficile pour la blondasse. Charly était une jeune femme extrêmement violente. Elle éclatait, même si elle se promettait de ne rien écouter de ce que l’idiot dit. On ne pouvait rien faire contre la nature explosive de Charly, elle devait se contrôler par elle-même, mais elle en est incapable tout simplement… que les gens lui tapaient réellement sur les nerfs, comme jamais. De toute façon, qu’est-ce que les gens avaient à faire de savoir qu’elle avait passé une mauvaise journée et qu’elle aimerait avoir la paix ? Personne, les gens s’en foutaient ou encore en bon québécois s’en Calissait carrément. Ce que le monde avait à faire de sa petite personne. Les gens ne se souciaient pas d’elle, c’était une mal-aimé comme une autre. Elle n’était pas différente des autres mal-aimés, sauf qu’elle ne se gênait pas pour cogner ou blesser les gens. De toute façon, qu’est-ce que Charly avait à faire de vous ? Rien du tout. Elle vous déteste jusqu’au dernier… de toute votre être, elle vous hait.

Passé de longues heures enfermées étaient déjà meilleure que d’endurer tous les regards posés sur elle. Charly en avait marre de se promener dans un couloir et être pointé du doigt parce qu’elle était l’erreur de la famille Nicholls. Elle n’avait pas besoin qu’on lui rappelle. On pourrait qualifier Charly de fausse méchante, mais une partie en elle était bien, comme l’autre… horrible. La partie horrible était bien plus présente que la partie gentille. Elle a terriblement peur des gens, son agressivité est un mécanisme de défense. On pouvait comparer Charly a un petit animal terrorisé ce qui n’était pas faux, en fait. Elle avait peur de sortir avec des gens, de trop s’attacher à eux, mais ça… elle ne le disait pas. Pourquoi racontée la vérité ? Ça sert à quoi ? Les gens n’ont pas à savoir ce que Charly a sur le cœur depuis des années. C’est pour plusieurs autres raisons que Charly était restée de longues heures enfermées dans son dortoir. Elle était assise dans son lit avec son chocolat près d’elle. Elle n’avait pas resté ici sans rien faire, elle s’était occupée à lire un livre. Ce n’était pas plaisant de fixer le vide, quand le vide était vide. Il n’y avait rien d’amusant de fixer un point fixe qui n’avait rien de très passionnant. Elle passa le souper. Elle montait rarement pour souper avec les autres élèves, Charly était réellement éloignée des autres élèves. On devait lui tordre un bras pour qu’elle monte, mais même en lui tordant un bras, elle ne montait pas. Trop orgueilleuse ! Il n’y avait que quelques uns qui étaient capables de la faire bouger, même si elle n’était pas toujours contente de le faire. C’est tout simplement ses amis qui comptent beaucoup à ses yeux. Ils sont uniques à ses yeux. Ses amis sont sa famille, car elle n’a pas vraiment de famille, surtout quand on sait ce qui s’est passé avec ses frères. Qui aurait aimé être à sa place ? Personne. Charly sentait parfois son ventre gargouillée, elle le calmait avec le chocolat qui était dans la petite boîte près d’elle sans toutefois arrêtée de lire. Ce qu’elle lisait, c’était un roman policier moldu. La serpentard était partie dans un autre monde. Elle était carrément dans son histoire.

C’est quand elle entendit les autres filles se coucher qu’elle comprit qu’il était tard. Elle n’avait pas encore pris sa douche . Elle était en retard sur tout. Elle n’avait pas fait ses devoirs, mais cela ne la dérangeait pas. Charly laissa son livre et prépara des vêtements et un sac qu’elle prépara avec tous ce qu’elle avait besoin pour prendre une bonne douche. Elle remarqua qu’il était aux alentours de onze heures. Elle s’était décidée tard de laisser son livre, mais vaut mieux tard que jamais. Charly parti prendre une douche. Elle se dépêcha pour la prendre. Elle se sécha. Elle laissa ses cheveux mouillés tomber en cascade sur ses épaules. Elle mit une chemise de nuit lui arrivant à la mi-cuisse. Charly mit des petits shorts qui ressemblaient à des cuissards. Celle-ci se déplaça jusqu’à la salle commune des Serpentards ainsi vêtu. Charly s’assit dans un sofa sans gêne. Elle réfléchissait et s’ennuyait. Elle avait envie de s’éclater un peu, mais il n’y avait rien. Où était Blake ? Elle n’en avait aucune idée. Puis elle n’avait aucune envie de dormir seule ce soir. Elle ne savait pas où était Zsander non plus. Le dernier qu’elle aurait pu penser c’est d’aller déranger Luce. Pourquoi ? Hum, il semblait être en couple. Peut-être lui tordre un bras ? C’était ce qu’elle avait l’intention de faire. Elle se leva et se dirigea vers le dortoir de Luce où elle se dirigea vers le lit de celui-ci. Elle monta sur le lit et vint se placer au dessus de lui.

« Allez Princesse on se réveille maintenant ! » Avait-elle susurré à son oreille. Charly remonta la tête pour le regarder. Ce qu’il était beau ! Elle souriait pour une de ses fois. « J’ai dit debout la belle au bois dormant »

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Charly : « Allez Princesse on se réveille maintenant ! J’ai dit debout la belle au bois dormant »

Luce : « Qu’est-ce que tu fous là Charly ? Je t’ai dit que je ne voulais pas que tu viennes me rejoindre. »

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Ce que Charly pouvait agir bizarrement par moment. Elle avait un cœur après tout, mais elle l’avait perdu son cœur, malheureusement pour les autres. La Serpentard était considérée comme un être ignoble, même si elle l’était réellement, elle n’était pas toujours ce qu’elle faisait ressortir. C’était une façade. Elle détestait les gens. La blondasse était incapable de regarder un élève dans les yeux sans vouloir lui cracher au visage. Elle était agressive et violente, mais pourtant elle était capable d’aimée. Oh oui ! Mais elle aimait trop. C’était violent ce sentiment et ça finissait toujours par lui faire du mal. Oh je vous le jure ! Elle se disait par moment qu’elle aurait du être un homme. Elle aurait eu moins de problème, moins de mal. Les gens l’auraient accepté. Ses parents auraient été heureux. Les gens n’auraient pas cru qu’elle était un garçon à cause de son prénom. La Serpentard aimerait être comme tout le monde. Elle aimerait avoir des amis sur qui compter. La blondasse était jalouse de la chance que d’Autre avait. Quel le Chance !?! La chance d’avoir une famille et un copain. Elle aimerait sérieusement avoir un copain, mais elle n’a pas aimé ses quelques expériences, surtout qu’elle finissait par les aimer plus que tout au monde. Elle s’y brûlait à chaque fois et en souffrait en silence. La Serpentard ne parlait jamais de ce qu’elle ressentait. Le mal qu’on lui faisait. Était-elle vraiment sauvage ? Non. Elle aimait le calme, c’était certains… Mais elle était douce quand on la connaissait. Au fond, Charly n’était pas une mauvaise fille, c’est qu’elle ne sait pas comment se calmer face aux qui l’énervent. Une seule personne sait la vérité, en fait trois, Lust et ses frères. Réussira-t-elle à le confier à quelqu’un ? Peut-être, mais elle n’avait pas envie qu’on la prenne en pitié. Elle se doutait que les gens allaient la prendre de cette façon. Tout ça pour dire que Charly était une Serpentard à la fois douce et gentille, mais qui avait bien sur les défauts et les qualités d’un Serpentard. C’est vrai, tout ça c’était empiré par les évènements qu’elle avait vécus. C’était bien triste en fait, car elle aurait pu peut-être avoir une chance de se trouver une deuxième meilleure famille par son entourage à Poudlard, mais à cause de sa famille, elle vivait toujours des moments pénibles dans sa deuxième demeure qui était bien sûr Poudlard.

Poudlard était un endroit fantastique. Je dois vous le mentionner. Cette école offrait une hospitalité fantastique. On pouvait faire tout à Poudlard, même s’il y a des choses interdites, comme le sexe. Pourtant, qui ne se fait pas une partie de jambe en l’air dans un racoin ? Même les professeurs le font. Ne me faite pas à croire que c’est faux ! Pourtant, ce n’est pas ici que Charly a eu sa première expérience comme la plupart des gens. Elle l’avait eu chez elle de façon malheureuse. Revenons plutôt au sujet de Poudlard. Poudlard était avant tout un lieu pour apprendre des choses importantes. Pourtant, les cours étaient optionnels pour certains, comme Charly par moment. Elle aimait apprendre, mais apprendre dans des conditions difficiles n’en valaient pas la peine. La Serpentard s’écoeurait de voir les gens la regardés de travers parce qu’elle est différente d’eux. Elle avait le droit à l’apprentissage comme tout le monde. Les gens ne voulaient pas comprendre ça. Ils se disaient qu’elle était certainement trop différent, trop violente et agressive ou encore qu’elle était une mal aimée, qu’elle ne pouvait aimer apprendre comme certains. Charly adorait connaître les choses. Elle aimait s’instruire, même si la plupart du temps, elle le faisait seule puisqu’elle ne se présentait pas toujours aux cours. Parfois, elle préférait se balader dans Poudlard seule ou encore… se trouver avec Blake dans un placard. Toutefois, elle ne faisait pas que ça dans ses temps libres. Poudlard était une école étrange par moment, Charly s’amusait à découvrir les racoins les plus sombres de Poudlard, même si elle était là depuis déjà sept années. Qui connaissait entièrement Poudlard ? Je crois que personne ne connait l’école au complet, surtout que même les fondateurs ignoraient certaines choses. Alors, imaginez un peu les élèves comment étaient-ils dans l’ignorance ? Pourtant, la vérité n’est jamais bonne par moment, alors ignorance ou non, ils vivaient comme des gens normaux dans une école… qui était étrange.

Charly avait lu toute la journée. Elle s’était trouvée un moyen de s’occuper pour ne pas aller en cour. La Serpentard avait passé sa journée sagement assise dans son lit. Elle se rendit compte qu’il était déjà tard quand elle avait réussi à sortir du monde de son livre. Elle Avait été se laver, comme à chaque soir. Elle s’était dépêchée, puisqu’il était tard. Elle se foutait de l’heure tardive, mais pourtant, elle ne devait pas se faire prendre à cette heure prendre une douche. Charly avait mis une chemise de nuit lui arrivant à la mi-cuisse après s’être séchée. Elle avait laissé ses cheveux tombés en cascade sur ses épaules, après tout ça, elle était retournée dans la salle commune, mais elle n’était pas fatiguée et elle voulait s’amuser un peu. Elle avait donc décidé de monter dans le dortoir des garçons pour passer la nuit avec un de ses « amants ». Elle avait envie de voir Luce. Charly savait où se trouvait le lit de Luce. Elle adorait passé dans son lit. Oh je vous le dis ! mais malheureusement, ce dernier était en couple. Ce que ça pouvait être chiant pour la petite Charly. La blondasse s’était glissée dans son lit et s’était mise au dessus de lui. Elle lui avait soufflé à l’oreille de se réveiller. Elle le fixa droit dans les yeux noirs de Luce.

« Qu’est-ce que tu fous là Charly ? Je t’ai dit que je ne voulais pas que tu viennes me rejoindre. »
« Je sais que tu en as envie Luce. » Elle sourit et approcha son visage de celui de Luce pour venir frôler ses lèvres contre les lèvres douce de Luce. « Ça se sent, ce genre de truc… » Avait-elle dit dans un souffle en frôlant toujours ses lèvres contre celle de Luce. Charly caressa délicatement le bras de Luce en même temps qu’elle le cherchait… « T’es en manque… ça se voit ! »