Joyce Elen Sullivan _ J.

Invité

nom du personnage ; Joyce Elen Calliope Sullivan

▄ le contrôle d'identité

Nom :

Prénom(s) :

âge :

date de naissance :

lieu de naissance :

lieu de résidence :

nationalité :

▄ la fiche d'indentifcation

description physique (10 lignes minimum)

description du caractère (10 lignes minimum) :

Invité

▄ la biographie

histoire générale (25 lignes minimum) :

Elle est pas d’accord, elle est passionnée’

Le soleil tapait dur ce jour là, ses rayons laissaient une empreinte sur le paysage italien qui resplendissait sous cette lumière. Promenons nous du côté de Naples, loin de la ville dans une vallée fleurie ou l’on peut voir des fleurs violettes partout ainsi que des fleurs multicolores, un paysage des plus idylliques n’est-ce-pas ? On peut entendre les cris des loups au loin, loup ? Oui vous lisez bien mais rapprochons nous du village loin de tout qui est seul parmi ce paysage qui peut nous prendre à des rêveries passagères. Il n’y a pas beaucoup de personnes ici, pour dire pratiquement personne. Le centre du village regroupe toutes les maisons du village aux couleurs tendres et vives à la fois, là-bas on peut retrouver un bar, une épicerie et une pharmacie pas plus et pas moins. On peut voir aussi une grande maison à l’écart de tout, assez grande elle est entourée de parcs et de prés divers où l’on peut voir des animaux de toute sortes. L’homme qui y vit s’appelle Aaron Sullivan, même si les apparences sont trompeuses il n’est pas éleveur et encore moins fermier et si vous voulez tout savoir Aaron est célèbre dans le monde entier et y est demandé. Pourquoi ? Parce qu’il est dresseur, apporter lui un animal et il saura vous en faire n’importe quoi. Il est particulièrement demandé pour le cinéma à travers le monde et il est le meilleur dans sa catégorie, personne ne le surpasse. Chez lui on peut voir des loups, tigres, lion ou encore des chevaux.

D’ailleurs on peut le voir revenir d’une ballade à cheval, il faut dire que c’est un homme d’extérieur et cela ne l’empêche pas d’être des plus doux et d’avoir un caractère des plus forts. Heureux d’avoir fait cette petite ballade il m’y pied à terre, dessella sa monture en vitesse et rangea les affaires. Toutes les journées ne se ressemblaient pas et oui on pouvait dire qu’il avait du travail par-dessus la tête. La maison, c’était Elena la vieille voisine qui s’en occupait avec plaisir en échange Aaron lui rendait quelques services. D’ailleurs la voilà qui arrive, digne d’une belle italienne avec ses longs cheveux blonds attachés dans un chignon et qui parlait avec le bel accent de la ville. Elle avait un caractère fort Eléna et c’est ce qui faisait son charme, parfois on l’entendait écouter des vieilles chansons en été et elle chantonner lorsqu’elle passait la serpillière, c’est une personne tout à fait exceptionnelle. Cependant, elle n’était pas seule car elle tenait dans ses bras un bébé enveloppé dans un linge, d’une voix forte elle dit :

« Aaron ! Viens par ici, une femme à déposée cet enfant pour toi avec cette lettre. »

Alors qu’Aaron approchait à grands pas, la vieille femme sortit de sa poche une longue lettre manuscrite, avant de regarder le bébé Aaron lut la lettre rapidement. Cette dernière disait ceci :

‘Aaron,

Je suis désolée de te mettre ainsi devant le résultat mais je suis en danger. Je t’ai souvent parlé de magie et tu as tout de suite accepté que je sois différente de toi. Cependant pour certains je suis trop fouineuse et apparement j'ai contrarié quelques mauvais plans alors que j'étais à mon boulot.

Voici notre fille Joyce Elen, je sais cela te dois sembler invraisemblable mais c’est la stricte vérité et je ne veux qu’il lui arrive rien de mal. C’est pourquoi je te la laisse, prend bien soin d’elle.

Je pense à toi,

Elen.’

Oui, il connaissait cette Elen Carlson et avec elle il avait découvert le monde magique qui l’entourait. Ils s’étaient rencontrés alors qu’Aaron faisait une de ses énièmes ballades. Ce jour là, alors qu’il galopait sur une plaine il vit un corps sans vie sur le côté habillé comme lui mais avec un balai. S’approchant rapidement, il se trouva nez à nez avec une jeune femme brune aux yeux bleus à demi inconsciente. Ni une ni deux sans réfléchir, il prit le balai, installa la jeune femme sur son cheval et rentra chez lui afin de soignée l’inconsciente. A son réveil, la jeune inconnue disait des mots qui le comprenait pas tel qu’Auror, Quidditch ou alors Sainte mangouste. Mais plus elle redevenait consciente et plus le moldu commença à en apprendre sur la jeune inconnue. Elle se nommait Elen Carlson et faisait parti de l’Aristocratie Anglaise. Mais aussi sorcière, c’est ainsi qu’il comprit que le monde n’était pas que moldu mais aussi magique et si au début il eut très peur ce fut avec la belle sorcière qu’il commença à prendre confiance et aussi à l’aimer. Il apprit qu’elle était joueuse de Quidditch professionnelle et une des meilleures, elle joua dans de grands matchs et apparemment était venue ici pour en disputer un contre les Chaudrons de Rome. Elle avait chuté à cause d’un cogneur et avait divagué jusqu'à la province. Quand elle fut rétablie Elen aurait put partir mais elle resta au contraire et s’attacha a cet homme si particulier et proche de la nature. Ils restèrent ainsi un an ensemble à s’aimer sincèrement, à se parler et à vivre loin des malheurs qui peuplent la terre ainsi. Cependant un jour la jeune femme est partie sans laisser de trace, loin de lui et pourtant il ne lui en voulait car jamais il ne pourrait lui en vouloir.

Elle est passagère, elle est pacifiste’

Le soleil est parti depuis quelques semaines maintenant sur la petite plaine de l’Italie, un vent doux souffle dessus faisant plier les branches souples des oliviers et des autres arbres qui s’y trouvent. Au mois de septembre, la température est agréable et douce on peut s’y promener bien que dans le coin de Naples où nous nous trouvons les touristes sont rares au grand bonheur des habitants qui certes sont accueillants mais ne veulent pas en être envahis. La pénombre à maintenant pris place donnant encore plus de charme à cet endroit loin de tout. La maison qui domine la colline quand à elle ne s’effrite pas par le temps et on peut sans dire qu’elle à le charme italien et chaud que l’on peut attendre d’elle. Grande, spacieuse et chaleureuse c’est une maison appréciable par ceux qui y habitent. Un homme sort de la maison, un peu inquiet on peut l’entendre crier :

« Joyce ? Joyce où es tu ? C’est l’heure de manger ! »

Il fit quelques pas jusqu'à ce qu’il entende une petite voix fluette dire clairement :

« Je suis là papa ! »

Se dirigeant vers la voix, il retrouva l’objet de ses recherches entourés de loups qui pourtant n’avaient pas l’air très dangereux. Là voila la petite Joyce avec ses longs cheveux sombres et ses yeux clairs qui semblent déjà en déranger plus d’un, le soleil de l’Italie n’a l’air d’avoir aucun effet sur elle et son sourire était des plus doux. La cage où elle se trouvait était grande et plusieurs loups y étaient certains en train de dormir, d’autres mangeaient mais le reste de la meute était en présence de la petite mais étaient aussi doux que des agneaux. Le chef était assis à ses pieds et ne semblait pas être contrarié de sa présence mai plutôt l’apprécier qui est rare chez des humains. Joyce à maintenant six ans, oui six années se sont déroulées depuis le jour où Aaron avait recueilli son enfant avec un amour dont il était capable. Il ne s’était pas posé trop de question et essayait d’élever la petite avec soin et patience en compagnie d’Elena que Joyce considérait comme sa grand-mère. La petite parlait un italien parfait et semblait très proche de la nature et des animaux que son père avait dans des cages. Il l’a retrouvait bien souvent dans les cages des fauves ou alors sur le dos d’un cheval qui broutait, ce qu’Aaron ne comprenait pas c’est qu’alors qu’il prenait du temps pour les dresser et les apprivoiser pour le cinéma, il suffisait qu’elle arrive alors les animaux pourtant sauvage devenait doux. D’un côté Aaron savait que la magie y était peut être pour quelque chose et même s’il s’inquiétait le père ne pouvait s’empêcher d’être fière de la petite qu’elle devenait. Intelligente, malicieuse mais aussi souriante et rancunière elle avait quelques traits de son père et de sa mère et parfois Aaron y retrouvait son sourire dans celui Joyce. D’ailleurs ce dernier savait qu’elle était comme sa mère, quelques pouvoirs magiques faisaient leurs apparitions à cause de quelques crises et l’on ne pouvait douter que la petite Joyce était une sorcière. Mais elle n’y pensait pas du tout, pour l’instant elle ne pensait qu’aux animaux et à sa vie présente, elle ne pensait pas du tout à ce que l’avenir allait lui jouer comme tour. Ses journées étaient rythmées au travail de son père et d’Elena qui l’éduquait afin qu’elle devienne une italienne digne de ce nom. Bref, la vie ne pouvait être mieux ?

‘Elle est pas inspirée, elle est patiente’

Un plop vient de se faire entendre dans la campagne italienne alors que la nuit noire et sombre venait de tomber. Ce plop est comme tous les sorciers vous le diront celui d’un transplanage d’ailleurs nous pouvons voir la silhouette gracieuse qui marche vers la grande maison où l’on peut voir encore quelques lumières allumées signe que les propriétaires ne dorment pas encore. L’inconnu gravit la petite colline sans problème et une fois dans la cour est accueillit par les grognements des loups et autres fauves qui montent la garde dans leurs cages, cependant cela n’impressionne nullement la voyageuse qui se dirige vers la porte d’entré où elle frappe deux fois. Une longue cape la recouvre et ne laisse rien apparaître de sa personne ou de ses émotions, on pouvait dire tout le contraire des Copered car le père comme la fille sont des personnes qui ne laissent pas faire et qui disent tout ceux qui pensent sans aucune pitié, la franchise une affaire de famille.

La porte s’ouvre enfin, Aaron à la porte ne semble pas surpris de cette visite mais plus contrarié qu’autre chose, bien qu’avec une personne normale il l’aurait laissé entrer cette fois ci, l’homme préféra refermer la porte derrière lui afin de se retrouver seul avec l’inconnue. Cette dernière enleva sa capuche laissant une trainée de cheveux bruns apparaître, sa peau blanche et ses yeux verts en faisait une femme belle et cependant lui manquer de respect serait impensable, peut être à cause de son maintien ou de son attitude qui sont toutes les deux des plus soignées. Si beaucoup d’hommes auraient put tomber sous le charme et pourtant Aaron semblait impassible, il prit la parole avec une voix presque cassante et qui n’avait rien de chaleureux :

« Que faite vous ici, October ? »

La jeune femme prit la parole répondant d’une voix guère plus chaleureuse mais on pouvait y retrouver toute une éducation derrière.

«

Je viens vous parler, Joyce a presque sept ans, il faut qu’elle connaisse l’autre partie d’elle-même.
-

Ce n’est pas l’heure ! Et de toute façon elle ne se pliera jamais à vos règles stupides d’aristocratie sorcière, c’est une Sullivan.
-

Elen aurait aimé qu’elle nous connaisse.
- Bon euh.. très bien, je vais la chercher. »

Alors qu’Aaron était mécontent, un sourire se dessina sur les lèvres de la sorcière qui avait maintenant atteint son but. October Carlson est la sœur ainée d’Elen la mère de Joyce comme vous le savez surement. Sorcière de haut rang au ministère, elle vit avec son conjoint Auror dans une belle maison de Londres grâce à leurs revenus des plus confortables. Les Carlson sont une très grande famille pas de sang pur mais faisant parti du beau monde sorcier et n’ont jamais eu de problème avec les autorités loin de là, cependant une règle est dans la famille depuis des bonnes dizaines d’années et October étant la dernière de la famille tenait à l’appliquer :

« Toute personne ayant un lien avec les Carlson doit être considéré comme l’un des nôtres. »

Le sort de Joyce n’aurait pas intéressé October si elle n’avait pas appris quelques mois plutôt qu’elle ne pourrait jamais avoir de progénitures, donc la petite Sullivan est l’héritière d’une des plus grandes familles anglaises qu’elle le veuille ou non. Aaron revint tenant la petite fille fluette par la main qui semblait assez étonnée de voir une pareille personne ici. Son père prit la parole alors qu’October souriait poliment :

« Joyce voici ta tante October, la sœur de ta mère. Ecoute, il faudra dorénavant que tu ailles six mois de l’année avec elle et les six autres avec moi. Il faut que cela se passe comme cela, tu as compris ma chérie ?

Joyce acquiesça car de toute façon elle n’allait pas avoir le choix mais avec une pointe d’amertume dans le cœur de devoir quitter cet endroit si magique dans ses yeux.

Invité

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‘Elle est pas intégriste, elle est pas seule sur terre’

Vous ne croirez jamais l’enfer que j’ai vécu chez ma tante October, oui vous avez bien vu que je laisse un peu de repos à mon inventrice pour parler un peu car c’est mon histoire après tout ? Donc alors que j’avais sept ans je passai la moitié de l’année chez ma tante October et son mari James à Londres. Aristocratie sorcière vous connaissez ? Et bien le beau petit monde qui est toujours invité aux soirées, aux fêtes et se retrouvent entres petits bourges du même monde, enfin vous voyez le tableau. Et bien maintenant essayer d’imaginer une jeune fille qui à été élevée à l’air libre et parmi une campagne loin de toute. Cette gamine c’était moi.

Dès mon arrivée à Londres, ma vision du monde changea complètement. La misère, la violence, la mort et le savoir vivre frappa à ma porte sans que je ne l’aie invité ce qui me consola quelque peu. October décida de faire de moi la petite Carlson qu’elle aurait voulut avoir, sauf que j’étais tout sauf cette personne. Libre et sauvage sur les bords, je ne me pliais pas à sa volonté facilement ce qui l’énerva au début, cependant une autre chose l’énerva encore plus c’est que je n’étais pas arrivée seule à Londres. Et voilà pourquoi …

Ah, l’arrivée d’Opium je m’en souviens comme si s’était hier et heureusement car ce fut une rencontre mémorable. C’était un jour un peu après la rencontre avec cette October Carlson ma soi-disant tante, environ deux semaines je dirais. Mon père était rentré tard ce soir là et avait posé quelque chose sur mon lit et moi à moitié endormie ne m’étais rendue compte de rien. Mais le matin je fus réveillé par des léchouilles incessantes, ouvrant les yeux je me retrouvai face à une petite boule poile blanche aux yeux jaunes qui n’étais pas très grande et qui semblait joyeux de me voir enfin réveillé. Un peu surprise par ce mystérieux visiteur, j’appelai mon père qui me présenta mon cadeau d’anniversaire en retard. Il s’appelait Opium et était un chien loup, bien qu’il tenait beaucoup plus du loup qu’autre chose. Je remarquai un joli collier autour de lui ainsi qu’une capsule et mon père me précisa que je ne devais jamais m’en séparer et ne jamais lui enlever le collier qu’il portait. Heureuse d’un tel cadeau, je ne pus que sourire maintenant obnubilé par ce si beau cadeau qui ne me quitte plus encore maintenant.

Tous les deux nous allions à Londres dans le grand manoir des Carlson. En premier lieu October m’instruit sur ce qui est une sorcière et ce que représentaient les pouvoirs que j’avais obtenus à ma naissance par ma mère. Puis ma tante m’offrit de beaux vêtements qui me rendait belle mais véritablement inconfortable. Vint le savoir vivre, les bonnes manières et tout ce qui faut pour bien se conduire. Je peux vous dire que cela me faisait CHIER ! Oui exactement et le plus souvent je partais en courant des longues et interminables heures où elle m’apprenait. Et au fil du temps, October devint moins dure, compris que cela ne servait à rien de me gronder car je ne changerais jamais. C’est ainsi qu’elle me parla de ma mère, de sa passion effrénée pour le Quidditch, de son caractère aussi sauvage que le mien et le même regard outre-mer. Elle m’apprit la musique, le chant, la danse ou encore la peinture ce fut des moyens pour m’exprimer sans crier pour tout le monde, j’étais comme ma mère. Peu à peu j’acceptai de venir aux fêtes bien que cela ne me plaisait pas mais où je cachais qui j’étais véritablement, enfin tout le monde s’en fichait.

Et le reste des six mois je restais chez mon père à me reposer, à vivre, à m’amuser avec les animaux et à aider celui que j’aimais. Et je grandissais, je murissais et la lettre de Poudlard arriva.

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‘Elle dit qu’elle partira ou elle est même pas venue ’[/color]

Que dire de Joyce depuis maintenant six ans ? Oui, les années sont passées depuis que le choipeau l’a répartie dans la maison qui lui correspondait le mieux. L’adolescente est maintenant une belle jeune femme et même si elle reste la même on peut ressentir aussi l’éducation que sa tante lui procure. Adepte des ballades nocturnes, Joyce est connue maintenant à Poudlard pour être quelqu’un qui reste souvent seule et qui a peu d’amis malgré qu’elle soit sociable. Quand à son passé, personne ne le connaît ou presque il faut dire que ce n’est pas une chose qu’elle raconte sur tous les toits et préfère vivre l’instant présent plutôt qu’autre chose. Dire qu’elle fut une bonne élève serait une erreur car même si parfois cela l’intéresse elle peut très bien avoir l’envie de faire enrager les professeurs par tous les moyens possibles même si cela se produit plus rarement maintenant. Ses matières préférées devinrent les potions, le Quidditch, les sortilèges ou encore la métamorphose. Doué quand elle voulait oui c’était ce qui convenait le mieux aux bulletins de la jeune femme.

Mais maintenant tout est redevenu calme à Poudlard, les éternelles luttes entres les maisons reprennent ainsi que les matchs. Cependant la lutte entre les différentes maisons faisait de Poudlard un terrain de jeux privilégiés et maintenant que Joyce est en septième année, elle s’attend à tout et n’importe quoi …

The end ?

[list]▄ curiculum vitae

composition de votre baguette

année d'étude / matière enseignée

la forme de votre épouvantard

la forme de votre patronus

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▄ le moldu que tu es

pseudo ou prénom :

âge :

avatar utilisé :

code du règlement :

autre ? :

Invité

Fiche finie !

Invité

Fiche corrigée normalement ;)

Il te manque l'épouvantard x)
Ta fiche est réellement bien écrite, c'est pourquoi je vais la valider (et que ça m'a fait étrange de retrouver des noms de persos que j'ai joué XD )

Gryffondor.

Invité

Oup's j'ai corrigé ><

Merci beaucoup !
Tu as joué une Joyce Sullivan ? O_O

Nan, une Opium =D
& Carlson XD

Slytherin

Ajoutée au groupe =D

Invité

Mdr effectivement !

Merci =)