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| « Give me some kind of love... ' ' Katheryne. | |
| | Auteur | Message |
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Hazeyneel M. Anjeston
Messages : 348 Camp : De mon côté. Je mène ma propre bataille !
| Sujet: « Give me some kind of love... ' ' Katheryne. Dim 12 Juil - 16:17 | |
| Beurk. J'aime pas mon post '_'
« Un rouleau de parchemin pour la semaine prochaine. Allez, maintenant, oust. », voix rauque, non douce et dure. Il regardait d’un air mauvais les élèves qui s’échappaient par la porte. Le jeune professeur dévia son regard vers une jeune élève. Katheryne McGregor. Une excellente élève dans son cours. On ne se demande pas pourquoi. Il regardait intensément la jeune fille puis lui demandait « Excusez-moi miss McGregor. Puis-je vous parler. » Cela lui permettrait que les deux autres élèves qui étaient avec elle s'en aillent. Qu’ils restent seuls touts les deux. Qu’ils soient seuls dans la pièce lui apportait énorme satisfaction. Les deux jeune filles regardèrent Katheryne d’un regard furtif et s’en allèrent. Quand l’intéressée vint à la rencontre de Hazeyneel, celui-ci la regarda d’un air étrange. Il la regardait tel un oiseau qu’il ne voulait pas voir s’envoler. C’est que c’était pas simple Katheryne et Hazeyneel. Une relation pécheresse. Une mauvaise relation. Interdite par le règlement de Poudlard et des professeurs. Une relation défendue. Anormale. C’était le mot. C’était une relation comme on en voit souvent à la télévision. Vous savez, une relation à la Roméo et Juliette. Et à la fin les deux partis sont contents. Enfin, il se pourrait bien que cette relation finisse aussi mal que celle de Roméo et Juliette. Si jamais ceci venait aux oreilles de Gallner. Enfin pour le moment ça n’est pas le cas et il vaut mieux. Hazeyneel et Katheryne se regardaient dans les yeux. Le silence était roi de la pièce et ce fut Hazeyneel qui brisa ce silence horrible. Ils devaient touts les deux jour le jeu. « Je tenais à vous féliciter », il accentua le mot « pour vos dernière notes dans ma matière. » Il s’arrêta là.
Les deux jeune gens sortirent de la classe, empruntant la porte de bois de la salle de cours. Ils arrivèrent en suite dans un couloir. Le couloir du quatrième étage en réalité. Un couloir que Hazeyneel connaissait bien. Un couloir qu’il avait emprunté maintes et maintes fois désormais. Les deux jeune gens se regardaient puis baissaient tout les deux la tête. Interrompant leurs discussions, un gamin de troisième année, vraisemblablement, vint à la rencontre des deux jeune gens.
« Monsieur… monsieur. », commença-t-il. Hazeyneel regarda le jeune gosse avec perplexité. Pourquoi fallait-il que des mioches viennent perturber tout ?
Enseigner dans cette école était surement la meilleure chose qu’il soit arrivé à Hazeyneel. Seulement certaines fois il désespérait à voir le niveau faible de l’ensemble de l’école. Il n’était pas sans savoir que les trois quarts de l’école avaient un niveau équivalent au T comme Troll. C’était quelque chose de désolant. Et les plus brillants finissaient sur le trottoir d’une rue de Londres ou à fouiner chez les antiquaires magiques. C’en devenait désolant. Ils pourraient faire tellement mieux. Certains, dont Katheryne, avaient un QI tellement élevé qu’ils pourraient, ensemble, devenir tous ministres. Mais certains avaient autant d’ambition qu’Hazeyneel ait de chance de tuer un jour son pire ennemi, c’est-à-dire, une ambition nulle. Le niveau de l’école était tel que certaines fois, le jeune professeur avait eût l’impression qu’il allait démissionner de son poste. C’est que certaines personnes ▬ que cela soit de l’équipe éducative ou des élèves ▬ étaient réellement incompatibles avec Hazeyneel. Dès son arrivée, il avait posé les choses comme elles étaient. Il ne chercherait pas broutilles tant qu’on lui en chercherait pas. Évidemment Gallner n’avait pas l’air tellement d’accord. Et cet homme aussi sénile que Hazeyneel roi des îles caraïbes, était un vrai pourri, si vous me permettez l’expression…
« Qu’est-ce qu’il y a ? », demanda-t-il d’un air mauvais au garçon. Un mioche de plus qui voulait lui poser une question… « Je… Je voulais vous parler. ». Hazeyneel regarda le jeune homme d’un air mauvais et lui demanda « Te faut-il des lunettes jeune homme ? Je parle avec cette jeune fille donc tu me parlera plus tard. Allez, oust. » L’autre regarda son interlocuteur d’un air rond, frustré. Il fermait et rouvrait les yeux d’un air de robot. Puis il détourna la tête puis son corps entier dévia pour partir en sanglots. Pou Hazeyneel ce ne fut rien. Il s’en fichait quelque peu… | |
| | | Katheryne McGregor
Messages : 97 Localisation : Derrière ton ombre Camp : Du côté de Truescott. Vive la rébellion !
| Sujet: Re: « Give me some kind of love... ' ' Katheryne. Dim 12 Juil - 19:45 | |
| « Un rouleau de parchemin pour la semaine prochaine. Allez, maintenant, oust. » « Oh non, il abuse… On file avant qu’il nous surcharge encore plus ?! » Amusée par la réaction de son amie, Katheryne ne put s’empêcher de sourire. Oui, Katheryne ne restait pas avec les plus assidus du travail. La vie était faite pour être vécue et étrangement, la jeune Gryffondor semblait mettre un temps fou pour rouler son parchemin et ranger sa plume dans son sac. Intentionnellement ? « Excusez-moi miss McGregor. Puis-je vous parler. » … Il y aurait des chances, en effet. Prenant un air interrogateur, Katheryne haussa les épaules lorsqu’une de ses amies lui demanda pourquoi le professeur voulait la voir. Après tout, il était déjà rare que la Gryffone soit dans les dernières à sortir alors, mieux valait ne pas éveiller des soupçons inutiles. Regardant ses amies partir après leurs avoir promis de les rejoindre près du terrain de Quidditch, Katheryne s’assura qu’elles ne l’attendent pas sur le rebord de la porte avant de marcher en direction du bureau du professeur Anjeston, le cœur léger. Etrangement, son habitude de fuir les cours disparaissait en un coup d’œil, dans cette étincelle noisette éclatant. Le cœur a ses raisons que la raison même ignore. C’était le cas. Miss McGregor n’était pas réputée pour être des plus raisonnables, ni même sa famille, cependant, on pouvait dire que personne n’avait osé ce qu’elle avait osé. Mais, cet exploit n’en méritait pas le nom car il n’était qu’une suite logique, malgré une grande différence d’âge. Qui peut être puni pour avoir écouté ce que son être réclame ? Les risques étaient grands et le secret rajoutait du piment. Se perdant dans le regard de son professeur, la jeune fille attendait, profitant d’un instant de calme dans une relation conflictuelle. Jouer la comédie faisait partie intégrante d’eux-mêmes. Ils n’avaient pas le choix. « Je tenais à vous féliciter pour vos dernière notes dans ma matière. » S’il y avait bien une matière dans laquelle Katheryne semblait totalement à l’aise, c’était bien celui des mythologies. La première cause était dû au fait qu’un oncle lointain avait bercé son enfance avec de vieilles légendes et de vieux contes moldus puis sorciers afin qu’elle puise s’endormir. C’est ce qui avait fait développer son caractère d’intrépide. « Merci… professeur. » Le terme de professeur résonnait de façon étrange. Sept années auparavant, sa connotation était purement professionnelle mais aujourd’hui, le ton avait changé. Et tournent les violons. Décidant d’un commun accord de sortir de la salle de classe qui était propice à diverses rencontres non-désirables, élève et professeur marchaient d’un même pas, d’un même élan en une direction inconnue. Malheureusement pour eux, les couloirs comportaient souvent plusieurs élèves, voire même quelques professeurs. Une conversation des plus banales sur une quelconque légende conservait les apparences. Le jeu de l’amour ressemblait-il à cela ? Au jeu prudent du chat et de la souris que chacun revêtit à tour de rôle ? Peut-être bien. Dans tous les cas, c’est ce qui se produisait ici-même. L’attirance devait constamment être contrôlée. Le risque de l’interdit était si enivrant que la paume de la main de la demoiselle était irrésistiblement attirée vers celle de son professeur, comme un aimant magnétique. Oui, le risque de l’interdit est enivrant, voir même entêtant… « Monsieur… monsieur. » … mais, il reste défendu. Comme pour cacher discrètement son geste aux yeux du petit morveux qui passait par là, Katheryne fit mine de remonter son sac sur son épaule, comme s’il était en train de glisser. Le petit avait été comme un rappel à l’ordre. Il était bon de transgresser les règles. Autant ne pas se faire prendre… sous peine d’énormes risques pour les deux partis. Ils en étaient conscients mais n’en parlaient pas. Complicité muette. « Qu’est-ce qu’il y a ? » Oui, le petit venait de remettre à l’ordre deux grands rêveurs. Deux insouciants. Peut-être même deux fous ? Mais qu’importe. La vie serait bien plate sans un peu de folie. Or, la terre est ronde. « Je… Je voulais vous parler. » Le troisième année semblait devoir rassembler tout son courage pour être venu parler à son professeur, l’interpellant dans les couloirs. Katheryne se surprise à rechercher son écusson, aux douces couleurs de Serdaigle. Normal alors qu’il ose venir déranger un professeur taciturne alors qu’il en tremble de peur par avance. « Te faut-il des lunettes jeune homme ? Je parle avec cette jeune fille donc tu me parleras plus tard. Allez, oust. » La réponse d’Hazeyneel fit sourire la jeune fille. Froide et directe, comme son propriétaire. Le petit semblait avoir du mal à s’en remettre. Avec tout le courage que cela lui avait demandé, Kathy en fut presque peinée pour lui. Le professeur Anjeston n’était pas réputé pour sa bienveillance et sa gentillesse auprès de ses élèves, au contraire du professeur de SACM. Les larmes commençaient à couler sur les joues de l’étudiant, comme si elles adouciraient son refus. Voyant que cela ne semblait pas fonctionner – et surement frustré par ce refus – il partit, le dos courbé, tel un être délaissé. Regardant le petit partir, Katheryne en oublia le contexte, le lieu et ses alentours. « Tu aurais peut-être dû l’écouter. N’est-ce pas le rôle d’un professeur ?! Peut-être veut-il être le nouvel Indiana Jones… » Un instant d’insouciance mêlé à un autre de compassion. Après tout, cela aurait pu enrailler de mauvaises langues et camoufler les apparences, bien qu’au contraire, elle appréciait de pouvoir passer un moment seule avec lui. Une fois de plus. Une relation basée sur un jeu est-elle vivable ? Reprenant sa route, Katheryne ralentit son pas afin qu’elle puise marcher aux côtés d’Haz’, lui souriant tout en relevant la tête. L’un de ses sourires à la fois heureux mais mystérieux. Un sourire qui peut cacher bien des choses. « Est-ce que… » Katheryne n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’ils furent une fois de plus coupé. La poisse. Les couloirs étaient décidément bien trop bondés. Ici présent, il s’agissait d’un fantôme. Vous savez, ses êtres qui avaient la capacité de se faufiler de partout derrière les murs, pouvant ainsi bien mieux espionner les habitants du château. « Tiens bonsoir professeur Anjeston. Bonsoir jeune fille. Belle journée, n’est-ce pas ? Madame Kinston, le charmant fantôme du troisième étage m’informait à l’instant que la journée allait se dégrader pour finir par des averses. C’est affligeant. Blablablabla » Et voilà. Le problème avec les fantômes, c’est que vu qu’ils sont morts, ils ont une irrésistible envie de piailler encore et encore. Il ne restait qu’une solution : la fuite. Or, une fuite entre professeur et étudiant n’était pas une bonne idée pour préserver les apparences. Le directeur risquait rapidement d’être au courant…et les amis de Katheryne aussi. Help. Tandis qu’ils arrivaient au carrefour des couloirs, la jeune fille ne trouva pas d’autres excuses pour pouvoir se libérer… « J’ai oublié mon manuel en classe. Je suis désolée, je vais devoir y aller. Au revoir. » … et mieux se retrouver plus tard. Laissant le temps à Hazeyneel de se libérer tranquillement du fantôme, la jeune fille leur sourit doucement avant de rebrousser chemin. Néanmoins, bien qu’elle refit le chemin en sens inverse, Katheryne s’arrêta afin d’entrer dans une salle de classe abandonnée. Néanmoins, le professeur Anjeston n’étant pas voyant, elle laissa la porte entrouverte en plus de déposer son livre de mythologie au sol, juste devant la porte. Certes, beaucoup de personnes pourraient le voir et le ramasser mais, quand on regarde le caractère du professeur, on se doute que peu de personnes apprécient réellement son cours. Jetant son sac sur l’une des tables, Katheryne s’assit sur l’une d’entre elles tout en attendant, prenant son mal en patience. C’est alors que la porte finit par se rouvrir… « C’est gentil de me ramener mon livre ! » Taquinerie accompagnée d’un sourire face au nouvel arrivant. Les meilleures choses sont souvent les plus cachées. Vivez le temps présent et ne vous occupez pas de demain…
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| | | Hazeyneel M. Anjeston
Messages : 348 Camp : De mon côté. Je mène ma propre bataille !
| Sujet: Re: « Give me some kind of love... ' ' Katheryne. Mar 14 Juil - 17:14 | |
| Pas terrible - again --'
Katheryne regardait à présent Hazeyneel. Elle avait l’air d’avoir eu de la compassion pour le jeune homme qui fila droit puisqu’elle répliqua. « Tu aurais peut-être dû l’écouter. N’est-ce pas le rôle d’un professeur ?! Peut-être veut-il être le nouvel Indiana Jones… ». Ce n’était pas totalement faux. Enfin juste la première partie de la phrase. Parce que Hazeyneel doutait fortement que le jeune homme devient le prochain Indiana Jones, film avec un succès épique, même pour un film moldu. Il en doutait surtout en sachant que le degrés de maturité d’un enfant de cet âge équivaut au degrés de mentalité d’un enfant de six ans. « Il est vrai que c’est mon rôle mais franchement, je n’ai pas que ça à faire que de les materner. Et je doute fort qu’il devienne un Jones, puisque son nom est Pitzegh. », irone au bout de la phrase qu’il avait porté…
« Est-ce que… » La jeune fille qui tenait une grande place dans le cœur de Hazeyneel avait voulu, visiblement, commencer une phrase. Seulement , une fois de plus, un obstacle vint barrer la route des deux amants. Un fantôme cette fois. Les fantômes. Ces créatures à la fois fascinantes et barbantes à souhait. Le fantôme commença. « Tiens bonsoir professeur Anjeston. Bonsoir jeune fille. Belle journée, n’est-ce pas ? Madame Kinston, le charmant fantôme du troisième étage m’informait à l’instant que la journée allait se dégrader pour finir par des averses. C’est affligeant. Blablablabla » Dans l’esprit d’Hazeyneel les dires du fantôme étaient comme de vagues sons. Bla, bla, bla. Il parlait, il parlait. Mais Katheryne, comme Hazeyneel, semblaient s’ennuyer des paroles du fantôme.
« J’ai oublié mon manuel en classe. Je suis désolée, je vais devoir y aller. Au revoir. » Ou l’art d’esquiver la moindre conversation. Eh bien, Katheryne était donc une jeune fille qui ne manquait véritablement pas de ressources. Loin de là. Et d’ailleurs elle n’était pas du genre à mettre des gants ou quoi que ce soit. Ce que Hazeyneel appréciait chez la jeune fille ? Sa liberté d’esprit, son franc parler, sa beauté aussi. Mais Hazeyneel non plus n’était pas un homme charmant, très gentleman. Hazeyneel, c’est le portrait type de la chauve-souris mal lunée qui parle très peu et qui adore donner des heures de retenues aux élèves. Enfin c’est-ce qu’ils pensent. Pourtant, le jeune professeur n’était pas si méchant au fond. Il n’était certes pas le plus grand sentimental de Poudlard mais si il était aussi injuste avec les élèves, c’était pour les voir réussir et pas pour les voir flancher à l’examen final des buse. C’était du gâchis que de faire cela. Il les préparait physiquement à la vie extérieure. A l’étape suivante dans la vie. Au monde des sorciers. Aux dangers. Aux francs parlers des « patrons » des entreprises magiques.
Pourtant, Hazeyneel devait se débarrasser au plus vite de l’impitoyable et assommant fantôme, avant de sombrer dans un coma. Il n’avait pas peur de froisser le fantôme. Loin de là. Il était de ceux dont les répliques sont cinglantes, froides et brusques. Hazeyneel, c’est le méchant professeur que tout le monde déteste. Il toisait à présent le fantôme d’un air songeur.
« N’avez-vous rien d’autre à faire ? Si ce n’est pas le cas, moi j’ai pas mal de choses à faire. Je vais donc vous laisser à vos occupations de fantôme… » Et en regardant d’un air mauvais le fantôme, le jeune professeur s’en retourna, revenant à son chemin initial. Il marchait à présent dans le couloir. Des élèves ici et là le toisaient, tel un vulgaire animal à abattre. Hazeyneel, en réponse aux regards songeur, leur lançait des regards noirs. Il les regardait d’un regard méchant et sans vie, de telle façon que les jeune gens baissaient à présent la tête à sa vue.
Le professeur de Mythologie était à présent seul dans le couloir. Des portes là et là étaient fermées. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait que Katheryne, aussi intelligente soit-elle, avait décidé de ne pas retourner dans la classe mythologie mais de rester dans une salle, seule. Ils seraient bien tranquilles comme ça. Ca ne dérangeait pas vraiment Hazeyneel, ça l’arrangeait même. Se retrouver dans une salle de cours, où des élèves auraient eu cours toute la journée, ne l’enchantait guère.
Il arrivait au quasi milieu du couloir. Il regardait là et là, les murs, le sol. Le professeur marchait toujours dans le couloir, qui était désert en se demandant où Katheryne avait-elle pu aller pour que cela soit aussi éloigné. Il regardait les portes, fermées, une par unes, puis en découvrit une. Une seule. Ouverte. Un livre sur le côté, à terre. Il savait pertinemment à qui ce livre appartenait et n’eût même pas besoin de regarder la couverture pour découvrir qu’il s’agissait d’un livre de mythologie. Il les connaissait bien les livres de Mythologie. Il les voyait tout les jours. Pas besoin de regarder la couverture pour en découvrir le contenu donc.
Il tenait à présent le livre dans la main et entrait dans la salle où la jeune fille l’attendait sagement. Chastement devrais-je dire ? La jeune fille esquissait à présent un sourire. Hazeyneel s’avança.
« C’est gentil de me ramener mon livre ! ». Une taquinerie de plus dans leur tableau des blagues foireuses et des pics lancés. Le jeune professeur auquel le sourire était presque prohibé en esquissa un. « Tu croyais vraiment que j’allais te laisser toute seule ici ? Tu rêves ma belle. », une autre taquinerie, un ton ironique, venais d’accompagner sa phrase… « Alors ? Comment était le cours du cher professeur Anjeston ? », un rire ponctuant la phrase... | |
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