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 What do you mean A.? You'll see. /terminé/

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MessageSujet: What do you mean A.? You''ll see. /terminé/   What do you mean A.? You'll see. /terminé/ EmptySam 23 Mai - 14:34




Asphodèle...

Nospheratov.❜



❛What if you could have the life of a demi-god? Anything you want you could have with a sheer flutter of eyelash. People would owe you deference and high regard, and no deny shall you suffer. If you could enjoy unlimited power, under only one condition... that your life shouldn't be yours anymore. Now, What if your life shouldn't be a life at all? Would you? Dante...❜
❛Do you mean you know what is life at all, you little thornless rose Asphodèle?
You know nothing.❜

What do you mean A.? You'll see. /terminé/ Hb8

    le contrôle d'identité
      nom :Nospheratov.
      prénom(s) :Asphodèle Mandragora Gillian.
      âge : 20 ans.
      date de naissance : 23 décembre 2072.
      lieu de naissance : Officiellement, elle est née sous le toit du sombre château Nospheratov, tout comme Rosarjo. Mais ce n'est pas ce qui s'est passé dans les faits.
      lieu de résidence : Elle vit entre la cour Bathory et le château de Vlad A. Nospheratov, en Transylvanie.
      nationalité :Transylvaine.

    la fiche d'indentification

    description physique : Asphodèle a à la fois les traits de la femme mature et de l'innocence, c'est un subtil mélange qui ne semble pas subir les effets du temps, mais à son âge ce serait tout de même surprenant. La jolie métisse a les yeux améthyste, une couleur peu banale et saisissante, d'autant que ses yeux ont tendance à s'assombrir au grès des humeurs de la demoiselle. Le hale dorée de sa peau et très semblable à celui de sa soeur et une fois encore, peu courant. Elle a les traits fins et le regard particulièrement expressif. Il y a une noblesse indéniable dans sa façon de se tenir, ses gestes, ses expressions et même dans sa voix toujours posée. Ses cheveux courts, noir de jais lui laisse toute la prestance du chef qu'elle ne saurait tarder à devenir, sans lui donner pour autant l'air autoritaire qu'elle sait très bien prendre quand il le faut. Elle dégage également une certaine froideur qui, même si elle est plutôt jolie, ne donne pas envie de l'approcher.
    description du caractère :

    Elle est très fière, très froide et très hautaine. Asphodèle n'est pas quelqu'un qui se laisse approcher comme ça. Elle n'aime pas les gens et ne va pas s'en cacher: c'est une élitiste de la pire espèce. La qualité du sang elle s'en contre fiche (bien qu'il n'y paraisse pas), mais en revanche si vous n'êtes pas assez estimable à ses yeux, ne comptez même pas qu'elle vous adresse un regard, elle ne vous verra même pas vous n'existerez pas. Si toute fois il vous venez l'idée de vouloir vous faire remarquer, prenez bien garde car la demoiselle à la langue tranchante et la réplique blessante. Elle se sait au dessus de tous, elle est très stricte avec elle même et parfois très méprisante avec ceux qui ne sont pas suffisamment exigeant avec eux même. Elle a une intelligence fine et vive, et n'a pas l'habitude d'être la deuxième peu importe le domaine. On l'a élevé à avoir le sang froid peu importe la situation, qu'il faille lever la baguette ou rivaliser de finesse sur le parchemin ou à l'oral, Asphodèle est un adversaire redoutable et redouté.


    la biographie


    EN RESUME.

      Une enfant merveilleuse, épanouie et choyée. Elle fait l'émerveillement de tous, c'est elle l'aînée. Rosarjo est forte et fière, l'élève d'Enkil, le plus respecté entre tous. Elle manie les armes comme personne et on la connait impitoyable. C'est qu'elle a dans son ombre, une créature a protéger. Une enfant plus jeune de deux ans. Asphodèle. Pour elle, pas de courbettes, pas de sourire, elle est la préférée de Vlad Alexandrei Nospheratov, du moins celle qu'il juge la meilleure malheureusement pour elle. Si Rosarjo regarde sa soeur avec amour et non jalousie c'est qu'elle sait que la position d'Asphodèle n'a rien d'enviable. Pour elle point de douceur, seulement la rigueur, la violence... le poids de l'excellence. Le jour et la nuit élevés côte à côte, l'enfer pour le paradis et vice versa. Pas de plaisir pour Asphodèle, elle est sous la coupe de Nospheratov qui veut en faire son héritier car des deux soeurs, c'est elle qui a le meilleur potentiel, c'est elle qui deviendra vampire, c'est à elle que devront obéir les clans soumis au fil des âges. Alors on ne lui pardonne rien. Elle a toujours été responsabilisée, dès lors qu'elle a su parler. Elle a toujours été en avance sur les autres et ce, à force de travail acharné, de duels déséquilibrés et impitoyable. Elle s'est endurcie au point de ne jamais plus ciller devant autre que son tuteur.
      Elle a grandit sans autre amie que sa soeur aînée et on a toujours eu soin de les séparer autant que possible. Celle de toute la famille qui déteste le plus cet enfant, c'est bien sa tante Transylvania. Une femme frivole, baignée dans le luxe, passablement raciste d'ailleurs pour ne rien lui enlever. Elle ne manque pas une occasion de la critiquer bien qu'Asphodèle semble ne pas être disposée à répondre.
      Asphodèle a était élevée par son précepteur, Menoch, du moins en grande partie puisque qu'elle a également bénéficié des instructions d'Enkil, le précepteur de Rosarjo. Menoch et Asphodèle sont devenus particulièrement proches au fil des ans. Le vampire a toujours veillé à protéger cet enfant malmenée bien qu'il n'a jamais pu lui éviter la compagnie d'un certain Dante...

      Aujourd'hui, Asphodèle et Rosarjo entre à Poudlard pour s'enrichir, une dernière année avant l'université transylvaine. Menoch les acocmpagne. Lui et Rosarjo doivent veiller sur Asphodèle, s'assurer qu'elle n'ait pas trop de contact avec des gens qui ne seraient pas dignes d'elle.

    curiculum vitae
      composition de votre baguette : 23 centimètre de bois d'ébène endurci à l'essence de mandragore. Elle contient une plume de phoenix et un cheveux d'ancien. C'est une baguette rigide, particulièrement vive et donc, idéale pour les duels.
      année d'étude / matière enseignée : 10ème année.
      la forme de votre épouvantard :Une femme égorgée.
      la forme de votre patronus : Un sinistros.

    le moldu que tu es
      pseudo ou prénom :Lily, Elo Turk.
      âge :21 ans
      avatar utilisé :Halle Berry.
      code du règlement : la poudre d'escampette s'en va au loin, je crois (c'est mon deuxième perso, j'ai pas re-relu le règlement XD )
      autre ? : :ll:


Dernière édition par Asphodèle Nospheratov le Dim 24 Mai - 22:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: What do you mean A.? You'll see. /terminé/   What do you mean A.? You'll see. /terminé/ EmptyDim 24 Mai - 22:20




    Le pacte de naissance conclu par Aurora Mayfair stipule que ses enfants reviendront de droit au dit Vlad Alexandrei Nospheratov et qu'ils seront élevés jusqu'à un certain âge par une famille choisi par le seigneur suscité, en Transylvanie. Ce pacte devra resté tu sous peine de mort.


    ______________________

    Le Choix que Je n’ai Jamais eu…

    ______________________



    Cette partie de la Transylvanie, dans ces coins là était encore très tranquille, endormie sous son voile de brumes épaisse, coupée du monde, presque médiévale malgré l'époque. La ferme était très isolée. Et il y avait encore des loups, les chasseurs ne les avaient pas encore menés à l’extinction. De vrais loups s’entend. Pour ce qui était des autres loups, elle en avait vu un une fois dans l’étable. Enorme, le dos hérissé de poils noirs et épais, les babines dégoulinantes de sang. Mais de ses loups là, on avait rarement l’occasion d’en reparler quand on les rencontraient.
    Ce soir c’était son tour d’aller mettre l’eau à l’étable justement. Il n’y avait pas de quoi se faire connaître, une de ses grosses vaches rousses des Highlands, trois moutons et quelques poules.
    Il fallait dire que les Barrie n’étaient pas très riches. Ils avaient trois filles, toutes blondes comme le lin sur le fuseau. Elles avaient les yeux noirs, et les traits forts mais c’était de gentilles filles. Il y avait Lison, Lavande et Lesleigh. Le seul regret de Finn Barrie, leur père, c’était qu’il n’eut pas eu un fils, qu’il aurait sûrement appelé Leland, ou peut-être Louis parce qu’il aurait bien aimé connaître le français. Mais sa femme, Joann, lui rappelait toujours qu’ils étaient bénis que le seigneur leur ai donné ses trois enfants là et de leur avoir laissé. Et puis il y avait eu les deux petites de mars. Monsieur Barrie était justement en train de soupirer disant qu’il aurait bien voulu au moins un autre enfant. Mais il ne leur naissait plus d’enfant depuis longtemps déjà. Il faisait encore bien froid à cette époque de l’année alors quand en ouvrant la porte, ils avaient vu deux petites serrées l’une contre l’autre, ils n’avaient pas eu le cœur à les laisser dehors.

    Avec la belle saison on leur trouvera un foyer…


    La plus grande devait avoir dans les cinq ans pas plus. La plus petite ne parlait pas, du moins elle s'abstenait. Mais elle faisait beaucoup de travail. Des petits travaux bien sûr, du raccommodage, passer le balais, ce genre de choses. Elle était trop petites pour être envoyée à l’étable avec les autres filles. Puis le temps passant les Barries avaient gardés leur deux petites filles de Mars.

    La petite dernière poussa donc la porte de la maison pour sortir vers le puits. Elle avait peur la nuit. Surtout depuis que Rosario n’était plus là. Il y avait quelques jours déjà que la petite brune n’était pas revenue du marché. Pourtant ce n’était pas très loin, elle avait l’habitude. Les quatre grandes avaient l’habitude de faire ce trajet régulièrement. On avait fait des battues, mais rien. Ca avait laissé la famille comme en deuil. La petite dernière ne pleurait jamais quand les autres étaient là, mais quand elle était toute seule c’était différent. Elle ne connaissait rien d’autre que sa grande sœur.
    La pompe du puits grinça, elle était lourde. Mais elle voulait faire le travail de sa sœur. Le sot pesait sur ses petits bras et contre sa jambe au point qu’elle en renversa beaucoup sur elle. Il lui fallut se résoudre à mener un sot à moitié plein qu’elle versa dans l’abreuvoir avant de retourner au puits et de revenir. La vache rousse la regardait avec un drôle d’air. La petite passa une main douce dans son toupet fourni et la bête se laissa gratter complaisamment. Alors il eut eu un coup de vent glacé qui fit claquer la porte et de peur elle renversa son sot vide et la bougie avec laquelle elle s’éclairait. Par chance la paille qui faisait la litière des bêtes étaient très humide et le feu ne pris pas. La vache lui souffla dessus puissamment. Elle serra ses petits poings d’enfant contre elle, et scruta l’obscurité comme si elle allait avoir à ce défendre de quelque chose mais il n’y avait plus de bruit. Plus de bruit du tout. Puis ce fut un épouvantable raffut. Parce qu’il y avait quelque chose dans l’étable qui se mit à effrayer les bêtes mais qu’elle ne pouvait pas voir ce qui lui faisait encore plus peur. Elle était dans un pays dont elle ne connaissait pas la langue, ni les légendes et son ignorance la terrifiait d’autant plus que pour elle c’était tout comme être livré à une bête sauvage pieds et poings liés voire les yeux bandés. C’était l’impression que lui faisait sa vie quotidienne depuis qu’elles étaient arrivées en Angleterre. C’était pour ça qu’elle faisait toutes ses choses dans la maison, parce que ça donnait un peu de sens à son quotidien. Quoiqu’il en fut, à ce stade là de notre histoire, ce n’était pas son malheureux sot de bois et sa chute de bougie qui allaient lui être d’un grand secours.
    La « chose » soulevait la paille sur son passage, un instant elle eut l’impression que c’était pendu au plafond comme une chauve souris sauf qu’elle ne voyait rien puis, plus rien.
    La gamine alla se réfugier dans un coin minuscule sous le tas de planche, cachée par les moutons qui s’étaient tous entassés là devant. Elle tremblait, ses genoux serrés contre elle.
    La chose était dans la maison. C’était sûr. Mais il n’y avait toujours aucun bruit.
    Alors on entendit la voix de Mrs Barrie qui c’était sûrement levée pour voir si elle était rentrée. Mrs Barrie était toujours très soucieuse avec ses enfants. Sa voix fit un hurlement strident. Aussitôt on entendit le plancher martelé par une flopée de pas précipités. La petite ferma les yeux très fort, mais elle entendait tout. C’est Mr Barrie qui cria cette fois, il y avait comme un bruit de bagarre. De l’étable elle entendit un Oh mon Dieu ! Seigneur non : quelle horreur !, puis des meubles et de la vaisselle qui valsait. Puis de nouveau : plus rien.

    Elle faisait de son mieux pour contrôler sa respiration, pour calmer les battements de son cœur qui lui paraissait faire un boucan d’enfer. Il ne fallait pas, surtout pas faire de bruit. Avec un peu de chance l’odeur de l’étable la dissimulerait à la chose et elle s’en irait loin sans la remarquer. Mais la porte de l’étable grinça sur ses vieux gonds rouillés. Elle, ne bougea pas d’un pouce. Les bêtes gardaient l’œil fixé sur la porte. On vit une grande silhouette entrer. La lune pas encore pleine la découpait parfaitement dans l’encadrement. Elle resta un instant immobile. Puis approcha comme si elle avait su exactement l’endroit. Mais la porte se referma.
    La petite attendit bien une heure avant de sortir de sa cachette, pas complètement rassurée. Sans savoir pourquoi, elle prit la petite fourche qui servait à Lison pour le foin frais. Elle posa sa main ambrée sur le panneau de bois qui tenait lui de porte à l’étable et ayant bien regardé alentour, elle entra dans la maison. Sous ses petites chaussures, les morceaux d’assiettes et de verres crissèrent puis se fut un pied de la table qui céda, lui faisant faire un bond d’un mètre au moins tellement elle avait eu peur. Mais ce n’était rien que la table qui avait mal supporté un coup. Il n’y avait toujours personne…
    Elle leva les yeux comme pour essayer de voir à travers les fentes du planché si il y avait quelqu’un où quelque chose à l’étage. Elle avançait comme ça le nez en l’air, morte de peur. Il y eut un autre truc qui s’effondra en haut, peut-être dans la chambre que se partageaient les filles, puis quelque chose lui tomba sur le visage. C’était liquide. Froid. Un peu épais et visqueux peut-être. Elle se recula un petit peu, et contourna la ‘source’, passant une main sur son visage pour s’essuyer avec un vague dégoût plus du au fait qu’elle ne savait pas ce que c’était. Alors elle alluma une autre bougie. Le manche de sa petite fourche d’enfant raclait le plancher derrière elle comme elle s’apprêtait à monter les escaliers. A chaque marche l’outil se cognait à la manière d’un tic tac particulièrement fort. Tic. La première marche. Tac. La deuxième. Tic-tac tic tac… la voilà bientôt en haut qui pousse un hurlement d’épouvante. La fourche redescend toute seule les escaliers, alors que l’enfant se met à pleurer et va secouer Mrs Barrie qui se cache le visage contre le plancher parce qu’elle non plus ne veut pas voir. Mais Mrs Barrie fait mine de ne pas entendre, et ses mains sont glacées et son corps est si lourd…
    L’enfant ne sait plus quoi faire. Elle s’allonge contre sa protectrice et attend. Elle ne comprend pas vraiment la mort. Encore une chose qu’elle ne connait pas du haut de ses quatre ans et demi. C’est une drôle de rencontre. Elle entortille une longue mèche de châtain clair soyeux autour de son poing et pleure à chaudes larmes jusqu’à ce que ça s’arrête. Puis elle se releva déterminée, elle ne voulant plus voir, ni gorge saignée, ni sœurs blanches comme la mort. Elle descendait les marches, mécaniquement. Comme si pour se protéger elle se repliait sur elle-même. Elle retourna dans l’étable caresser la vache. Alors elle se sentit soulevée de terre. Un homme grand. Grand comme la silhouette de tout à l’heure. Il avait les yeux d’un gris bleu fascinant et malgré l’horreur qu’elle ressentait, parce qu’elle savait, elle ne pouvait détacher ses yeux sombres de ceux de cet homme aux mains tièdes. Il l’emmena avec lui, sans qu’elle ne dise rien.

    Vlad-Je t’appellerais Asphodèle.






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MessageSujet: Re: What do you mean A.? You'll see. /terminé/   What do you mean A.? You'll see. /terminé/ EmptyDim 24 Mai - 22:30

terminée ;)
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MessageSujet: Re: What do you mean A.? You'll see. /terminé/   What do you mean A.? You'll see. /terminé/ EmptyDim 24 Mai - 22:35

    Bonsoir,

    Serpentard ? Oui. Ce sera parfait *zbaf*
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MessageSujet: Re: What do you mean A.? You'll see. /terminé/   What do you mean A.? You'll see. /terminé/ EmptyDim 24 Mai - 22:56

oui expdr. Merci ;)
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MessageSujet: Re: What do you mean A.? You'll see. /terminé/   What do you mean A.? You'll see. /terminé/ Empty

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