| | | j'ai peur de toi, j'ai peur des voix || fini |  |
| | | Auteur | Message |
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|  Sujet: j'ai peur de toi, j'ai peur des voix || fini Mar 26 Mai - 19:36 | |
| pseudo ou prénom : Zinala
âge :
avatar utilisé : Eddie Redmayne
code du règlement : La poudre d'escampette s'en va au loin |bwaha
autre ? : Hum, j'en ai marre de tousser ! ><
Dernière édition par Faust C. Van Hellsing le Mar 26 Mai - 23:02, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: j'ai peur de toi, j'ai peur des voix || fini Mar 26 Mai - 19:39 | |
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« Il y a des voix dans ma tête, elles me hantent, me donnent des ordres. J'ai peur. J'obéis. Elles me demandent de faire des choses & me disent que j'irais en enfer. Que je suis un damné. Un Van Hellsing...
Faust Caym Cerberus Van Hellsing
nom : Van Hellsing. Se traduit, de l’enfer chantant. Pour ceux qui ne connaissaient pas la légende de cette famille ce nom n’est qu’étrange. Pour les autres par contre, il prend un toute autre signification.
prénom(s) : Faust Caym Cerberus
âge : 17 ans. Il va sur ses dix huit.
date de naissance : un premier mai, après la fête du printemps. Faust est ce qu’on appelle dans les vielles croyances, un « ange de mai ».
lieu de naissance : Roumanie, Manoir des Van Hellsing. Sa mère a refusé d'aller à l'hôpital. Au final elle y est allée quand même, car Faust a eu une naissance difficile.
lieu de résidence : manoir secondaire de Van Hellsing à Godric's Hollow
nationalité :il a les deux nationalités. Roumaine et Anglaise.
composition de votre baguette :la baguette de Faust est en bois de Lierre, mesure 28 cm, elle contient une écaille de dragon des mers & une larme de licorne. Faite sur mesure par son grand-père, elle est souple & vernis pour qu’elle garde toute sa splendeur. Dessus sont écrites ses initiales, « FVH ».
année d'étude / matière enseignée : 7ème année
la forme de votre épouvantard :l’épouvantard de Faust est très étrange à comprendre. Il se voit au bord d’un précipice, incapable de faire un choix et manquant de tomber vers le gouffre sans fin du néant. D’ailleurs on lui a souvent demandé s’il avait peur de l’altitude. Mais non, il n’a pas peur de l’altitude mais de ses secrets les plus profonds.
la forme de votre patronus : Une petite louve ailé.
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[list]▄ la fiche d'indentifcation
description physique (10 lignes minimum) :
Faust. Il ressemble à un ange malgré son esprit torturé. De grands yeux bleus innocents qui cache une âme damnée. Ses yeux sont océans, quand il est en colère ou terrifié ils deviennent d'un bleu marine aux reflets noirs, ce qui n'enlève rien à son charme. Quand on le regarde, on a du mal à comprendre pourquoi cet adolescent est si étrange... Son visage de porcelaine est comme, figé dans une expression entre l'innocence, la naïveté & la peur.
Il n'est pas bien grand, disons dans la moyenne. Fétiche, presque maigre, il reste pourtant athlétique. Souple et très rapide, il n'a, par contre, pas beaucoup de force. Ses cheveux sont d'un beau noir ébène presque brun cependant. Si la malédiction des Van Hellsing n'était pas sur lui, ses cheveux seraient sûrement plus clairs. Un désordre de mèche plus ou moins ondulé tombe sur son front, tandis qu'il a abandonné depuis longtemps l'idée d'arriver à se peigner correctement.
Faust se décourage facilement, on a toujours l'impression qu'il a le diable à ses trousses. Il rase les murs quand il marche, de peur de se faire remarquer. Seul les gens qui le détestent vraiment essayent de le persécuter. Car, Faust a le don de faire « pitié » aux autres. Il ne se défend pas, se laisse frapper, se contente de gémir pendant que les voix dans sa tête lui hurlent de tuer les imprudents qui ont osés le toucher.
Mais s'attaquer au beau petit Faust, c'est avoir sur le dos, la famille Van Hellsing qui est très protective avec lui, & beaucoup d'autres personnes. Il faut croire que son air angélique et innocent attire l'amitié des gens comme des aimants. Même si les filles ont renoncé depuis longtemps à essayer de le charmer, elles n'en restent pas moins très gentilles avec lui.
Faust préfère les garçons. Ou plutôt il ne supporte pas qu'on le touche intimement. Car, cela réveille les voix en lui aussi facilement qu'un bon litre de café. Sauf Aaron, son cousin. Mais lui c'est différent. La relation physique entre lui et Aaron doit rester secrète. Il a presque peur de son cousin autant qu'il le désire.
Mais enfin, il se trouve déjà assez répugnant comme ça, alors autant ne pas en rajouter.
description du caractère (10 lignes minimum) :
Faust, ah, Faustounet. Il est bien dur à comprendre à vrai dire. Les gens le prennent pour un fou naïf. D'ailleurs c'est bien pour ça qu'il est la vingt-deuxième carte du tarot de sa cousine Azaelle. Il est le fou, le Mat, la carte sans numéro. Depuis sa naissance, Faust entend des voix. Elles sont dans sa tête, lui parle à longueur de temps. Il n'est pas un Van Hellsing pour rien. Les liaisons consanguines de sa famille ont frappé le poufsouffle. Les voix lui parlent, lui disent qu'il doit faire des choses ou alors il lui arrivera quelque chose. Lui dise qu'il est malsain, qu'il finira en enfer. Ou même qu'il doit prier le diable. Parfois les voix se contentent de lui faire des suggestions, mais souvent ce sont des ordres qui résonnent dans sa tête. Et dans ce cas-là, Faust ne peut qu'obéir. Les voix lui disent de sauter dans la rivière, il le fera. Elles lui disent de s'entailler les bras, il ne le fera. Pire il ne peut pas désobéir sans en souffrir. Souvent la nuit, il se réveille en hurlant, car il s'est vu tombant d'un précipice. Mais c'est exactement ça. Faust n'a pas conscience qu'il est au bord d'un précipice, qu'il risque de tomber mais qu'il a le pouvoir de s'envoler. Il ne sait pas qu'un chien le suit près à le mordre mais qu'il est capable de le semer.
Mais le jeune Faust n'a pas que des défauts. Il est un génie il faut l'avouer. Pourtant, il n'en a pas conscience. Son imagination et son ingéniosité pourraient le faire briller. Il est d'une immense gentillesse et d'une loyauté à toute épreuve. Toujours doux, docile, incapable des faire des choix. Il doute, encore et toujours. Pourtant, il sait apporter la lumière aux autres, leur offrirent du réconfort. Il est un poète, ses paroles sont douces comme le vent, il est gracieux, pleins de volupté.
Faust pourrait faire craquer plus d'une fille s'il ne restait pas dans l'ombre... Mais de toute façon, il ne s'intéresse pas aux filles. Lui c'est les garçons. Mais il est trop peureux pour l'avouer. Et de toute façon son cœur est déjà prix.
Depuis longtemps, son cousin Aaron a plus de contrôle sur lui que personne d'autres. Faust a beau pleurer, lui dire qu'il ne veut pas, crier à moitié, son jaguar de cousin arrive toujours à ses fins avec le bel ange qu'est Faust. Mais même en se débattant, il le désire plus qu'il n'y parait. Il veut qu'il l'aime. Il veut qu'il l'embrasse. Il le veut lui. Aaron arrive à empêcher les voix de parler dans la tête du garçon. Quand il est avec elle, plus de voix dans la tête du jeune Van Hellsing.
Dernière édition par Faust C. Van Hellsing le Mer 27 Mai - 18:19, édité 3 fois |
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| | Sujet: Re: j'ai peur de toi, j'ai peur des voix || fini Mar 26 Mai - 19:39 | |
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histoire générale (25 lignes minimum) :
« J’ai peur.
-De quoi as-tu peur, Faust, dit moi Faaust de quoi as-tu peur, diit le moi, révèle moi tes secrets, Fauust.
-Je vais tomber.
-Où vas-tu tomber, Fauust?
-Dans le gouffre sans fin de l’enfer.
-Mais Fauust, n’y es-tu pas déjà en enfer ?
-Le seigneur me punira pour tous mes crimes, contre-nature.
-Fauust, petit Fauust, Les Van Hellsing sont déjà punis, l’aurais-tu oublié ? Vous êtes damnés… »
Faust & les voix…
« Maman »
Une femme, assise sur un fauteuil de cuire, tourna doucement la tête vers le petit garçon. Il était en pyjamas, tenant un chiffon en guise de doudou. Il ne devait pas avoir plus de quatre ans. La femme, elle, était grande et mince, elle respirait la douceur ,mais aussi une très grande fermeté. Ses longs cheveux noirs encadraient son visage pale. Seuls ses yeux n'étaient pas rassurant à vrai dire. D'un bleu froid, comme lointain.
Elle s'approcha du petit garçon au teint pale & s'accroupit pour être à sa hauteur.
« Qu'est ce qu'il y a Faust ? Tu n'arrives pas à dormir mon chéri ? »
Le gamin au regard d'ange, terrifié, secoua la tête.
« Les voix... Les voix me disent que je vais aller en enfer. Elles me disent que ce n'est pas bien. Elles, elles...veulent que je fasse des choses...J'ai peur... »
L'enfant se mit à trembler violemment, Emma Eurydice Hécate Van Hellsing soupira silencieusement. Marié au ministre de la magie en Pologne, elle avait eu quatre fils & une fille. Mais de ses cinq enfants, Faust était le plus étrange, le plus perturbé. Cela n'avait rien d'étonnant quand on connaît la légende des Van Hellsing. Les liens consanguins de cette famille avaient eu des conséquences sur la santé de Faust. Il entendait des voix. Depuis l'accouchement plutôt douloureux de son troisième petit garçon, ce dernier n'avait cessé de lui répéter que les voix lui parlaient. Elle ne l'avait pas cru. Mais au bout de quatre ans, Emma avait fini par le croire. Un jour les voix lui avait dit de se jeter dans la rivière, il l'avait fait. Une autre fois, les voix lui avait dit que s'il ne s'écorcher par le bras, elles allaient lui voler sa maman. Alors, il l'avait fait. Incapable de résister à l'attraction de ses voix, à la peur qu'elles lui inspiraient. Pauvre Faust, trop naïf, trop soumis, trop obéissant pour comprendre que les voix finiraient par le tuer.
Emma qui était d'habitude une femme très dure, était obligée avec lui de se montrer plus attentive. Elle prit le gamin dans ses bras et le berça doucement.
« Qu'est ce qu'elles te demandent ce soir ?
- Elles me disent que Chiffon va disparaître si je ne vais pas dans la chambre de Scylence pour lui cacher ses lettres...mumura-t'il à l'oreille de sa mère. »
Scylence était le frère aîné de Faust, l'héritier qu'avait choisi Akim, son mari, lui léguant sa fortune à sa mort. Emma en aurait ri. Cette fortune importait peu. Les Van Hellsing n'avaient pas besoin d'argent, ils en avaient déjà. Elle posa son regard sur le chiffon que son fils tenait serrer dans ses petits doigts. C'était les voix qui lui avaient dit de l'appeler Chiffon. Elle en était sûr. Puis un souvenir remonta à la surface. Faust lui avait dit un jour que s'il n'obéissait pas aux voix, il souffrait horriblement. Emma fronça les sourcils. Pour s'empêcher d'aller cacher les lettres de son frère & descendre la voir en bas, il avait du souffrir atrocement.
Elle croisa le regard d'un bleu semblable au sien mais complètement terrifié de son fils. Déposant un baiser sur le front de Faust, elle dit :
« Ça va aller Faust. Tu verras. Ça ira mieux avec le temps. »
Persuadé que sa mère ne se trompait jamais, il acquiesça dans un sanglot.
Mais Emma se trompait, les voix allaient le poursuivre.
Faust & sa famille…
« Priie le diable, Faustounet, priie le diable pour que ton cousin ne te touche plus.
-Mais en as-tu vraiment envie, Faustounet, tu veux qu'il te touche. Tu veux l'embrasser. Tu le veux lui. Heiin Faustounet ?
-Non, non, non. Je ne veux pas que... Aaron... me touche. Je ne prierai jamais le diable... Non ! Je ne veux ...Oh mais TAISEZ VOUS. »
Le hurlement de Faust ébranla le premier étage du manoir. L'orage dehors, claquait aux fenêtres. Il sanglota. La nuit dernière, Aaron avait encore eu raison de lui. Pauvre Faust. Piège dans son incertitude, piégé dans tant de sentiments contradictoires. Il se sentait sale, comme salis par son cousin. Pourtant, au fond, est ce qu'il n'en redemandait pas encore ? Il était soumis. Complètement soumis. Incapable de se défendre. Incapable de protester. Ou si, mais il finissait toujours par s'abandonner aux caresses de Aaron. Mais de toute façon, il n'avait pas le choix. Lui, il se contentait de pleurnicher. De chialer comme un gamin. Il se dégoûtait lui-même.
« On a toujours le choiix, Faustounet. »
Il sanglota de plus belle. Quand tout à coup, une jeune femme passa la tête par l'entrebâillement de la porte. Lucyfer....Sa soeur. Celle qui arrivait à le consoler. Elle avait un an de moins que lui. Il essuya d'un geste ses larmes, se mordant les lèvres pour ne plus sangloter. Il ne voulait pas qu'elle le voie si pathétique. Sans un mot, Lucy s'assit à coté de lui et doucement le serra dans ses bras, en le berçant d'un rythme lent.
« Je suis pathétique, hein Lucy ? hoqueta-t-il sur son épaule.
-Mais non, Faust, mais non...Tu n'y peux rien...Ces voix, elles t'aideront peut être un jour. Répondit-elle, hésitante. Trop hésitante pour qu'il la croit.
Elle était celle qui le comprenait le mieux pourtant. Ses frères surtout l'aîné en avaient un peu marre d'entendre le pleurnichard qu'était leur frère. Sinon ils restaient très liés. Mais c'était Lucy qui restait la plus compréhensive. Combien de fois était-elle venue le consoler pour l'avoir entendu pleurer dans son lit ? Ou même hurler ? Faust était tellement imprévisible, comme déconnecté. Perdu, ne se rendant pas compte qu'il était au bord d'un précipice mais qu'il avait des ailes pour s'envoler. Il était un génie dans tous les sens du terme. Mais les voix avaient pris toute la place. Il avait le pouvoir de s'élever au-dessus des autres & pourtant, il errait encore et toujours.
Il était un poète né. Sa douceur et sa gentillesse traversaient chacune de ses paroles. Il pouvait s'exprimer avec grâce & volupté. Alors, pourquoi, pourquoi avait-il fallu que des voix viennent tout lui prendre ! L'expression de naïveté sur le visage du jeune Faust avait souvent amené les gens à prendre sa défense ou parfois à l'enfoncer. Mais à Poudlard, sa famille avait toujours servis d'arrière rempart. Persécuter Faust, c'était persécuter un membre des Van Hellsing. Et l'imprudent le payait si jamais son crime était découvert.
Le tonnerre gronda & ses pensées se dirigèrent à nouveau vers Aaron. Il était malsain, il avait laissé son cousin le toucher, il était répugnant....Alors, pourquoi en avait-il envie ?! Demain il retournerait à Poudlard dans la maison des Poufsouffles pour sa septième année.
À nouveau la voix résonna dans sa tête.
« On a toujours le choiix, Faustounet. »
THE END
Dernière édition par Faust C. Van Hellsing le Mar 26 Mai - 23:44, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: j'ai peur de toi, j'ai peur des voix || fini Mer 27 Mai - 20:32 | |
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| | | | Romy Lolà Carmichael
jeunesse lève-toi. Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre.
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Camp : Du côté de Truescott. Vive la rébellion !
| | Sujet: Re: j'ai peur de toi, j'ai peur des voix || fini Jeu 28 Mai - 12:33 | |
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| | Sujet: Re: j'ai peur de toi, j'ai peur des voix || fini | |
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