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Messages : 1223 Camp : De mon côté. Je mène ma propre bataille !
Sujet: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 11:31
" Quand je compris qu'il valait mieux paraitre en savoir moins que les autres et à tout prendre avoir l'air con , c'est à peu près à ce moment là que je commençais à pressentir que la vie était absurde. "
▄ le contrôle d'identité
nom : Milton-White. Ne vous fourvoyez pas, mon nom n'est pas le fruit générationel d'une longue lignée d'aristocrates consanguins. En vérité il ne s'agit là que de l'alliance des patronymes de mes deux parents. Ma mère ayant toujours rêvé d'un fils, porta à la consécration de son désir de toujours en me donnant également son nom de famille. prénom(s) : Blake. Je n'ai jamais compris pourquoi mes parents m'ont affublé d'un prénom pareil ; il porte les couleurs du "noir" que l'on retrouve dans son étymologie, quand j'aime voir la vie en couleurs multiples... Des couleurs bien souvent dûes aux petits cachets que j'ingurgite durant mes trop nombreuses soirées, mais des couleurs tout de même. Et comme pour me forcer à philosopher sur mon identité, on me donna comme second prénom Hunter. Il est vrai que je me vois bien souvent comme un traqueur cernant sa proie, mais parfois je me dis que mes parents ont dû trop regarder de films moldus à la Hanibal Lecter. âge : dix-huit ans ; l'âge ingrat où l'on se croit tout permis. Croyez-moi, je ne déroge pas à la règle prédéfinie des adolescents de mon âge : je suis un maître du monde, je le nargue, le toise et le déforme selon ma vision des choses, avec insouciance et bien trop de légèreté. date de naissance : je suis né un vingt-cinq Juin. Si j'avais pu choisir mon arrivée, je serai né un vingt-cinq décembre, histoire de me la jouer messie des temps modernes. Mais mes goûts trop prononcés eurent raison de mon orgueil : je hais l'hiver. lieu de naissance : si je voulais vous affubler de ma culture, je vous répondrai "Lýðveldið" , littéralement "terre de glace". Vous l'aurez compris, l'islandais est une langue barbare, c'est pourtant là-bas que je suis né, à Isafjördhur (try to repeat after me...). Néanmoins j'ai passé la majorité de mon enfance dans une petite bourgade non loin de Londres, mon père étant du cent pour cent british. lieu de résidence : A St Lawrence, petite ville sans histoire (du moins lorsque je n'y suis pas) non loin de la capitale du Royaume-Uni. nationalité : Islandais par ma tendre mère, Anglais par mon père. Si vous aviez été attentifs, vous ne me l'auriez pas même demandé.
▄ la fiche d'indentifcation
description physique : J'ai un physique des plus banals ; je ne suis pas fait pour faire la une d'un énième "sorcière hebdo", je n'ai rien d'un éphèbe grec ou d'un mannequin botoxé, mais l'on dit de moi que j'ai un charisme époustoufflant. Le charme... c'est ce que l'on dit des personnes qui ne sont pas belles. Entre nous, je ne me trouve ni véritablement beau, ni même franchement laid, car je vais vous avouer mon secret : je n'en ai absolumment rien à faire. Loin d'être narcissique, je ne suis pas amoureux de mon reflet, mais j'aime ces regards que l'on pose sur moi. Alors, sans doute ai-je véritablement un charme ténébreux, le truc qui fait qu'on se retourne sur mon passage, mais peut-être que ce charisme est dû au fait que je n'en ai absolument rien à faire. J'ai le teint pâle, les yeux noisette et les cheveux sombres, souvent en bataille. Je fais certes attention à mon apparence, mais toujours avec légèreté car je n'ai pas besoin de cela pour me sentir bien dans ma peau... ou non. Je ne suis pas particulièrement grand, je ne suis pas particulièrement musclé, mais j'ai pour moi un regard à vous en faire frémir l'échine et un sourire diablement séducteur. Je n'ai pas le physique d'un bel acteur hollywoodien, mais j'ai ce truc en plus. On appelle cela ; la prestance. description du caractère : Entre ce qu'ils disent de moi, et ce que je suis vraiment, le fossé est immense... ou pas. Je suis un jeune homme atrocement paradoxal ; je peux vous aimer avec autant de fougue que de vous haïr ; sans limite aucune et avec véhémence. Car croyez-moi, mieux vaut ne pas m'avoir comme ennemi. Je m'acharne sur mes pauvres victimes martyrs, ne leur laissant aucun répit, et je me réjouis toujours de les voir pleurer sur leur vie sociale complètement détruite. Je ne me contente pas de vous exploser les genoux comme les junkies avec leurs battes de Quidditch, je m'efforce de détruire complètement votre vie. Car je suis excessif, insouciant, agaçant, mon credo c'est celle de beaucoup de jeunes de mon âge : live fast and die young. J'aime la fête et ses débauches ; la consécration vicelarde de notre jeunesse à tous. Je négocie mes rails tracés à la black card comme je négocie les demoiselles qui vont et viennent dans mon lit ; c'est du pur trading spéculatif, je suis un business man dans l'âme. Pourtant, si l'on me voit souvent comme un salaud imbu de lui-même, arrogant et insouciant, je peux vous assurer que je ne suis pas que cela. Il y a des personnes auxquelles je m'attache, et ma loyauté envers eux est exemplaire... du moins je crois. Je suis égocentrique et fêtard, cynique et cassant ; je ne connais pas la diplomatie, c'est bon pour ceux qui s'octroient d'une vie trop plate et terne. Je suis donc toujours chaleureux, excessif et adepte des plus pures conneries avec mes amis, quant à mes rivaux ; je leur insuffle mon venin quitte à leur ronger les sangs. J'avoue que j'éprouve une satisfaction malsaine à les voir plus bas que terre, je ne suis pas une personne des plus sympathiques, et ma cruauté atteint parfois des sommets. Je blesse par les mots, atrocement, de ce fait je peux vous affirmer que je sais terriblement bien jouer d'un vocabulaire dont les syllabes vous entaillent la chair et l'âme. Quelques qualités s'imposent également à moi, hormis le fait que je sois un jeune homme extrêmement cassant, sombre et froid à mes heures : j'ai de l'ambition. Une ambition terrible qui me pousse à haïr toute forme d'échec. Voilà pourquoi parfois, ma colère vivace et fourbe vous surprend et vous effraie. Je vous hais parfois, et je me hais également de ne pas atteindre la perfection. La fin justifie toujours les moyens chez moi, et je n'hésiterai pas à faire quoique ce soit qui, à vous, vous semble immoral. Ma culture très aiguisée me permettra d'aller loin dans la vie, je le sais, mais j'avoue que je ne suis pas le meilleur élève de Poudlard malgré mon intelligence véritablement pointue : je bâcle en général mes devoirs, malgré mon potentiel, car je ne m'investis que dans ce qui m'intéresse vraiment. Et lorsque je m'investis, je me donne toujours à fond. Je suis un passionné, de tout mon être et de toute mon âme, j'excelle dans la folie des excès. On me dit parfois mystérieux, tant je ne parle jamais de moi, j'avoue que je n'aime guère parler pour ne rien dire. En résumé je suis vil, vicieux, mal élevé, insouciant, honnête, taquin, salaud, têtu, pervers, tiraillé, excessif... je suis un artiste.
▄ curiculum vitae
composition de votre baguette : Elle doit mesurer dans les deux cent soixante-seize millimètres, sculptée dans du bois noir, bois d'Acacia pour être plus précis, dont la provenance est australienne. Elle demeure gravée de mes initiales, un luxe que voulut à tout prix m'offrir mon père quand du haut de mes onze ans je n'en avais en vérité rien à cirer. Elle contient à l'intérieur un crin d'Yggdrasil ; cheval islandais à six pattes que l'on qualifie chez nous de "cheval d'Odin". année d'étude : Huitième année. Encore deux autres longues et lentes années m'attendent. la forme de votre épouvantard : Cela va sans doute vous paraître étrange, mais ma plus grande peur demeure ma mère ; folle à lier et perturbée. Ce n'est pas sa propre personne qui m'effraie, mais sa condition, je sais que le fait d'être alliéné mental ne se transmet pas, et pourtant cela demeure pour moi une peur terrible ancrée dans ma chair. Je ne veux pas devenir comme elle, je ne veux pas devenir fou. la forme de votre patronus : Il prend la forme d'un loup de l'Arctique. L'on dit de la sympbolique de cet animal qu'il représente la sauvagerie, la débauche et la force mal contrôlée qui se manifeste avec fureur et sans discernement. Cela sied véritablement bien à ma personnalité.
▄ le moldu que tu es
pseudo ou prénom : Elo =) âge : en âge de voter avatar utilisé : Ed Westwick code du règlement : la poudre d'escampette s'en va au loin autre ? : spéciale dédicace à mon louloup qui se reconnaîtra ('fin j'espère '-') Plus sérieusement, magnifique design
Dernière édition par Blake Milton-White le Lun 18 Mai - 17:09, édité 18 fois
Blake Milton-White
Depraved prince • sex, drugs && rock'n roll
Messages : 1223 Camp : De mon côté. Je mène ma propre bataille !
Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 11:39
▄ la biographie
histoire générale :
••• ONE ; In examinations, the foolish ask questions the wise cannot answer.
La folie n'est pas tant effrayante, lorsque l'on sait la cerner. Je me suis toujours convaincu du fait qu'un fou était plus heureux qu'un homme sain d'esprit : il vit dans son monde et personne ne vient percer sa bulle. Blake ~ extrait de son journal.
Asile : toit promptement nommé ainsi pour abriter non pas les simples d'esprit, ni même ceux dont on jure que la façon de penser est anormale, aucune définition d'aucun dictionnaire ne faisait le poids à mes yeux. Ma mère n'était pas internée dans les locaux psychiatriques de Ste-Mangouste, elle était à l'hopital depuis quelques années déjà. Je me souviens de ce jour-ci comme si c'était hier, car il marqua les prémices de mon reniement total envers ma mère qui pourtant m'aimait tant. Ce vingt-quatre Janvier fut celui où officiellement, du haut de mes neuf ans, je devins un ingrat fiché d'un manque de reconnaissance totale pour tout et pour tout le monde. Comme tous les samedis, je venais rendre visite à ma mère en compagnie de mon paternel. L'odeur écoeurante de ces médicaments donnés à outrance et la puanteur de la maladie et de la douleur suintant par tous les pores du mur me donnaient la nausée. L'hopital grouillait de gens pressés, une véritable foumillière bien réglée et régentée à la minute près : lorsque la petite aiguille de la trotteuse aura passé midi, Miss Herfire passerait le seuil de la porte en scandant un : "L'Apocalypse, l'Apocalypse ! Je suis l'ange de l'Apocalypse". D'ailleurs la pauvre vieille n'avait pas tardé suite à ce spectacle habituel, après avoir crié ces prédilections diaboliques, à se battre comme une démente contre une infirmière, m'arrachant un sourire amusé sous l'oeil réprobateur de mon père. Mon père qui d'ailleurs, demeurait un médicomage reconnu de Ste-Mangouste. Nous avançions donc dans les couloirs puant l'amoxicilline et autres substances médicamenteuses ; la magie ne parvient pas toujours à soigner ses patients.
Nous étions arrivés dans cette chambre pourvue de blanc seulement, comme si les alliénés ne supportaient pas d'autres couleurs. Comme à son habitude, mon père alla se poster auprès du lit de ma mère, lui tenant la main dans une douceur infinie. Et comme à mon habitude, je pris place dans un fauteuil, le regard indifférent porté sur le livre de mathématiques que je venais de sortir de mon sac. Le samedi n'était pas chose aisée pour moi ; aller voir ma mère, folle à lier, qui ne se rappelait ni de mon nom ni même de mon existence, me serrait le coeur à tel point qu'au fil des mois, j'avais appris à esquiver la douleur : je ne la regardais plus dans les yeux. Car elle ne se souvenait ni d'avoir un fils, ni d'avoir un mari, et tous les samedis elle levait ses grands yeux verts dans un sourire divin, car dieu que sa beauté était transcendante, nous répétant encore et toujours la même question : Qui êtes vous ? Et la voir oublier de mon nom jusqu'à mon existence me mettait hors de moi, bien que je demeurai serein extérieurement. Car j'en voulais à ma mère, terriblement, d'avoir voulu mettre fin à ses jours. Elle qui, pourtant, avait une vie parfaite ; une famille aimante et une maison de rêve... J'ai conscience pourtant que le bonheur n'est qu'illusoire, l'on ploie tous sous le poids des soucis qui nous rongent malgré ces sourires qui nous affirment que tout va bien. La race humaine n'est pas simplement atroce, elle est aussi hypocrite. Ma mère l'avait été jusqu'au bout, feintant être complètement heureuse lorsque, assaillie par la douleur de perdre son propre père dont elle était si proche, elle décida de mettre fin à ses jours. Une tentative qui échoua et qui la transforma en légume.
Mon père se tourna vers moi dans un soupir agacé ; il supportait difficilement de me voir non chalant et froid lorsque la situation était difficile pour nous tous. Aussi, exténué par mon indifférence agressive, il me somma de l'attendre dans le couloir. Je ne me fis pas prier, et embarquais mon sac se ballottant contre mon épaule, livre sous le bras et airs de petit prince ténébreux véritablement las. Prenant place sur une chaise posée dans le couloir non loin de la chambre à la porte entrouverte de ma mère, je fus bientôt rejoint par un camarade de classe que je connaissais déjà. Sorcier, lui aussi, venu rendre visite à son grand-père atteint d'une dragonnite aiguë dont il enjolivait les terribles symptômes. A mon sens, son grand-père n'était atteint que de la goutte ; c'était un alcolique notoire terriblement pervers qui japait des gémissements de plaisir à la vue d'une belle blonde ou d'un verre de vodka. Me rappelant la morale terrible de mon père sur la diplomatie, je ne lui fis pas part de mes pensées que je trouvais pourtant fort amusantes, et commençais la conversation avec Josh. Mais l'enthousiasme des retrouvailles avec mon ami fut vite brisée par la voix de mon père qui parvint jusqu'à moi : il scandait mon nom avec entrain. Lorsque je relevais la tête, je le vis sortir en compagnie de ma mère, si belle et éthérée dans sa chemise de nuit blanche immaculée. Mes parents restèrent sur le seuil de la porte, et bientôt mon paternel tourna les talons dans une course effreinée, sans doute à la recherche de quelques infirmières quant à sa "trouvaille" du jour : ma mère avait, aujourd'hui, fait preuve de quelque chose qu'elle ne faisait pas habituellement ; elle nous avait reconnu... Du moins en partie. Je demeurais silencieux, mon regard noisette braqué sur cette femme si belle qui me souriait. Et alors vint ses mots si terribles, m'enserrant le coeur dans une douleur, une tristesse et une joie farouche.
-- Blake... Blake c'est toi ?
Un détail pour vous, un énorme pas en avant pour elle et nous. C'était la première fois qu'elle prononçait mon nom sans que je n'avais à le lui répéter sept ou huit fois. Dans son regard brillait cette douceur que je n'avais plus vu depuis tant d'années. Puis, la voix de Josh, railleuse et amusée, me sortit de ma léthargie. Et avec elle, toutes mes pensées s'envolèrent.
-- Cette folle, c'est ta mère ? -- Non. Je ne la connais pas. Bon tu viens ?
La fixant une dernière fois dans les yeux, je sautais de ma chaise avant de fourrer mon livre dans mon sac et de tourner les talons en compagnie de mon ami. Plus jamais, je n'entendis de nouveau ma mère faire preuve d'un début de lucidité. Elle ne sortit pas de sa folie, tandis que je m'engouffrais dans la haine à son encontre, infondée et ingrate.
••• TWO ; de l'importance d'une vie débauchée.
Je voulais atteindre les sommets du pouvoir, construire ma vie tout en m'amusant. Je devins le prince des débauchés ; ma petite bande et moi-même nous érigions en tant que figures incontournables de la génération vodka et musique sourde. Aucun adulte ne nous a jamais autant détestés que ceux qui aimaient faire régner l'autorité. Blake ~ extrait de son journal.
-- Blake, ton QI frôle le génie.
Wow, non c'est vrai ? Sérieux la révélation du jour changeait ma vie, merci m'sieur huit-ans-d'études-derrière-le-bac de me sortir un fait que je connaissais déjà. Les gens sont cons, c'est pas nouveau, mais parfois certains cas vous fichent limite la trouille tant ça dégouline de connerie. L'homme faisant face devant moi était un énième médecin de Ste Mangouste, je crois bien que je connaissais ces immenses locaux par coeur tant mon père m'y trainait de force. Célèbre médecin, il voulait que je mette à profit mon intelligence exemplaire au service de la médecine, pour suivre ses traces. Ce qu'il ignorait, c'était que je voulais bien plus d'une simple couverture sociale à taux moins élevé comme reconnaissance. Je voulais faire partie des sphères très prisées du pouvoir ; ce rêve hantait mon esprit. Je soupirais face à ce psychologue qui restait agréablement surpris de mon quotient intellectuel, je n'avais que douze ans et on me disait petit génie. Mais entre nous, cela ne fut pas une révélation pour moi, pas plus que cela ne me changeait la vie. Lové dans mon "je-m'en-foutisme" corrompu, je préférais m'investir dans ma vie sociale, sans en oublier bien sûr mes ambitions. Mais quitte à être jeune, autant profiter de ma jeunesse. Au fil des ans, et au grand désespoir de mon père, je devins le fêtard incontournable des banlieues de Londres ; aucun alcool ne m'était inconnu, aucune drogue non plus malheureusement, et j'avais déjà testé toutes les marques de cigarettes, blondes ou brunes, pour n'en retenir que la Lucky à laquelle j'étais resté fidèle. Par ailleurs il n'y avait qu'envers la nicotine que ma fidélité était sans faille; les filles allaient et venaient dans mon lit sans préavis. A Poudlard malheureusement, je me devais de ne pas dépasser les limites strictes instaurées, mais hors de murs je retombais dans l'excès. Bientôt, par manque de temps mais aussi à force de baisser les bras, mon père n'en vint plus à me réprimander, il me laissait faire tout en abandonnant son rôle paternel. Entre nous, il n'y avait plus de communication, je n'avais jamais été très proche de cet homme trop froid, de toutes façons...
-- C'est pas possible... C'est du 34, je devrai rentrer dedans ! -- Mets du 36. -- Traite moi de grosse aussi !
Delilah et Lust, deux de mes amis proches m'arrachèrent un sourire amusé alors que je portais une bière à mes lèvres. Je toisais la divine Delilah alors qu'elle tentait d'agrapher sa robe, et elle me rendit ce regard plein d'envie. Elle, c'était ma cousine. Délicieuse, appétissante et divine cousine. Elle m'avait toujours voulu pour elle, et en vérité la seule chose pour laquelle je lui résistais résidait dans le fait que nous avions le même sang. J'étais un débauché, mais tout de même, l'affaire de consanguinité des familles ce n'était pas mon trip le plus pur. Lust soupira avant de reprendre place derrière sa batterie, laissant Delilah pester contre sa robe devenue trop petite...
-- C'est moi ou tu as grossi ? -- Quoi ? Tu crois... ?
La phrase fétiche pour faire baliser ma cousine qui se précipita vers le premier miroir de notre squat aménagé dans le sous-sol de Lust. J'eu un sourire sadiquement amusé, fourrant une cigarette au coin des lèvres lorsque ma Becky me rejoignit, se calant au creux de mes bras. Rien d'une idylle, ni d'un amour, entre nous ce n'était que l'osmose parfaite d'une amitié sans faille.
-- J'ai pas envie de retourner à Poudlard.
Dans sa voix s'installait la sincérité de ses propos ; ce Gallner allait nous rendre la vie dure. Je posais ma tête contre la sienne, pensif, la prenant dans mes bras pour faire cesser ses frémissements. Je n'étais peut-être pas la personne en qui l'on faisait le plus confiance, mais à mes yeux notre liberté à tous était bien plus précieuse que mon propre orgueil. Moi non plus, je ne souhaitais guère revenir à Poudlard, mais demeurait taciturne face aux frissons de ma belle Becky.
Dernière édition par Blake Milton-White le Lun 22 Juin - 18:00, édité 19 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 11:50
*saute partout* Coooooooooooooooooooooooopaiiiiiiiiiiiiin Tu t'appelles Blake maintenant ? '-'
Bon bienvenue sur Cave Elo =)
Svetlana R. Vasilyevna Svetlana V. ;▬ What happened to the revolution?
Messages : 377 Age : 34 Localisation : Huuum, prie pour que ça ne soit pas derrière toi. Camp : De mon côté. Je mène ma propre bataille !
Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 11:54
Tiens, Elo+ un pseudo comme ça + Ed Westwick(messemble que c'est lui)= quelqu'un que je connais ou qu'il me semble connaître (: Je vais me faire taper sur les foigts à flooder sur une présentation alors que j'ai pas fini la mienne u.u Mais là, c'est spécial (a) Mon grand méchant loup, c'est toi? *____________* Ici Alice, Yaya, Kiki ou enfin tout ce que tu veux xD Sauf si je me suis trompée de personne dans lequel cas je me serais fait passer pour une grosse boulette >.<
Bref, bienvenue <333 *
Blake Milton-White
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Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 11:56
han bon ça va =o on me reconnait tant que ça '-'
*pousse Kiki chérie et saute sur son louloup* <3 oui je m'écris une toute belle histoire donc je change de perso... donc en conclusion ma fiche risque de trainer un peu '^^
Svetlana R. Vasilyevna Svetlana V. ;▬ What happened to the revolution?
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Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 12:01
Ouep, t'es reconnaissable, en même temps, t'as ta marque de fabrique (: Mais roooh, ça ne se fait pas de me pousser comme ça >.< Je boude, tiens TT *ou comment sortir d'un sujet sans coupure brutale, bref, je me comprends* Désolée pour l'intrusion, même si te nem quand même <333
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Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 12:34
héhé. Mais qui reconnais-je là ? Ne serait-ce pas, Elo ? <3
Bienvenue ! (L)
Blake Milton-White
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Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 17:07
huhu ma kiki d'amour
BenJ ? '______'
edit : ah bah oui c'est marqué dans ton pseudo xD *blonde* han c'est trop bien *o* <<3
. . . . . . . . . .
edit : j'ai fini ma fiche, j'espère que le fait qu'elle soit écrite à la première personne ne dérange pas :/
Dernière édition par Blake Milton-White le Lun 18 Mai - 17:23, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 17:20
Ouiiii ! Yeah ! It's me ! fufu ! Bienvenue ! <3
Invité Invité
Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done} Lun 18 Mai - 18:16
Bon ben alors te voir parti pour Gryffondor =o Sans dec j'ai vraiment adoré la première partie
Allez te voilà pour vivre chez les vipères cher ami dépravé *sbaaaaaaaaf*
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Sujet: Re: Blake • find a girl, have a drink & play {done}