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 « la plus belle vue du château. » pv Brennan

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Romy Lolà Carmichael

    jeunesse lève-toi. Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre.

Romy Lolà Carmichael


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MessageSujet: « la plus belle vue du château. » pv Brennan   « la plus belle vue du château. » pv Brennan EmptyMer 22 Juil - 23:06

    Toujours plus hauts. On a tous envie de décrocher les étoiles. On avait souvent dit à Romy, que même si on visait la Lune, et qu'on manquait, on atterrissait quand même dans les étoiles. Elle y avait cru une bonne partie de son enfance, oui, comme tout les gamins, elle avait cru à la bonne fée qui disait que tout les rêves se réalisent, d'une manière ou d'une autre. Faux. Cette vérité que l'on donne aux enfants pour calmer leur soif de réponses n'est qu'un pure et simple mensonge. Romy avait voulu avoir des parents, ils étaient morts. Elle avait voulu être heureuse en amour, elle n'y avait gagné que des larmes. Souvent, on perd foi en nos rêves, trop souvent, et parfois, on ne s'en relève pas vite, et dans le pire des cas, on ne s'en relève pas du tout. Romy avait peur de ne jamais se relever, jamais. Les attentats étaient derrière elle, mais le spectre, le sentiment de peur qu'elle avait éprouvé, faisait partie intégrante d'elle, et ne semblait pas décidé à la quitté de sitôt. Elle essayait d'en faire abstraction, de retourner vers les autres. Mais rien, incapable, de bouger et d'aller vers les gens, elle préférait de loin prendre son livre de l'histoire de poudlard sous le bras et de monter dans une des tours, seule, pour s'évader un peu. L'homme nourrit parfois des rêves phénoménal, mais là, le sien était juste de pouvoir être un moment au calme, ce qu'elle attendait depuis longtemps. Lorsqu'elle quitta le dortoir de serdaigle, elle passa par le hall, où le professeur Gallner venait d'afficher une étrange affiche.

    Le bal, il ne manquait plus que ça pour faire déprimer Romy. Elle voyait, les couples autours du panneaux se sauter dans les bras, rire et roucouler, se promettant mutuellement d'être leur cavaliers réciproque. Ces effusions d'amour écœurèrent purement romy qui s'empressa de tourner les talons serrant contre elle son seul amour, son livre de l'histoire de Poudlard. Il en avait vu ce dernier. Tellement vu. Il la suivait depuis sa première année, et romy aurait juré que s'il avait eut la parole, il aurait dit d'elle qu'elle était ennuyante à mourir à toujours lire. La sorcière monta une à une les marches, ne croisant personne, elle poussa un soupire de soulagement arrivée en haut. Là, elle était bien, elle voyait le parc don les arbres jaunissaient a grande vitesse. D'ici, elle ne voyait pas le terrain de quidditch, au moins. Elle refusait de s'y rendre depuis son retour de st mangouste, son mal de dos la paralysait, elle était comme incapable de remonter sur un balais, un comble pour elle don le quidditch était la passion, elle avait peur de se décevoir elle même en n'étant pas à la hauteur de son niveau précédant. Romy était douée, mais les attentats avaient affecté ses capacités physique, bien que le médicomage lui a dit qu'il n'y avait plus aucun soucis, elle était certain que tout, tout, tout, tout était dans sa tête.

    Elle tourna la tête de gauche à droite, inspectant. Personne dans les environs. Un sourire pointa doucement le bout de son nez et s'installa doucement sur les lèvres de romy, et il s'accrochait, oui, si bien que lorsqu'elle vint près du rebord pour regarder dehors, elle le conservait. La vue était tout ce qu'il y avait de plus splendide. De loin, il s'agissait de la meilleure vue que parc que l'on puisse avoir, elle en était persuadée. Elle venait souvent ici, avant, avant, lorsqu'elle n'était qu'un véritable petit rat de bibliothèque, lorsque ses seuls amis étaient Dwayn et les livres. Ces temps avaient un peu changé, désormais, elle avait d'autres amis et tentait d'occupé son temps d'une autre façon. La sorcière s'adonnait aux joies des discussions entre amis, au quidditch, et au rire. La sorcière posa par terre son livre de l'histoire de poudlard ( ce dernier aurait été outrée d'être posé à même le sol s'il fut toutefois dotée de parole ! ). elle pris la peine de le poser comme il fallait, après tout il était son livre préféré, son livre de chevet, c'était fou tout ce que l'on pouvait apprendre sur le château en lisant ce livre ! La sorcière aimait savoir beaucoup de chose, elle emmagasinait une quantité folle de connaissance, elle était certes la fille invisible aux yeux de beaucoup de personne, mais, elle restait néanmoins, une fille hyperintelligence, dotée d'un qi très élevé, mais c'était bien une chose dont elle se vantait pas, jamais. Règle numéro un, ne jamais se vanter.

    L'automne était là. La grande majorité des élèves étaient là, en bas, profitant pleinement des derniers rayons de soleil, roucoulant une dernière fois sous cet arbre là bas. Loin de tout ce réjouissance, romy regardait le paysage autour d'elle. La solitude avait du bon se disait elle a elle même, elle nous permet de réfléchir pleinement affirmait elle comme pour se convaincre elle même. Elle poussa un profond soupir on voyant tout ces gens, heureux d'être ensemble. Encore une fois, dwayn était collé avec ce maudit Gallner, elle avait si peur pour son meilleur ami, si peur, ce type était un véritable fou furieux, même son grand père en était convaincu ( en même temps alecto ledwyn n'a jamais aimé le ministre parce que question de principe on aime pas ceux qui nous refuse une promotion sur de faux motifs. ) la sorcière était accoudée au rebord, quand elle tourna le dos au parc, pour s'asseoir à côté de son livre, tournant la tête pour voir le parc, mélancolique, si disant que la solitude avait de bon côté, mais aussi le fâcheux coté de vous isoler du monde, peu à peu, créant autour de vous, une sorte de mur invisible, hermétiques aux autres. Personne ne viendrai dans le tour n'est ce pas pensa t elle alors.

    Personne, tout le monde était dans le parc, sauf apparement Brennan Yeaxcley qui préférait venir dans cette tour. Romy garda pour elle quelque juron en espagnole, sa langue paternel. Elle regardait vers le parc, lorsque ses yeux se posèrent sur le jeune homme qui arrivait après avoir monté un sacré bon nombre de marche ( qui fatiguaient romy, mais qu'importe la fatigue, la vue était tellement magnifique, que selon elle, cela méritait bien un peu de fatigue. ) Brennan. Ah, c'est une sacrée longue histoire n'est ce pas. Si je vous dis, deux famille ennemis de pareil grandeur, dans le beau monde des sorciers. Elle leva les yeux, et dit alors, avec un soupçon de bonne humeur, et une pincée de courtoisie, avec sa voix douce et calme ; « Salut Yeaxcley. » elle ne l'appelait pas Brennan, bien qu'ils soient devenu aussi étrange que cela puisse paraitre, amis, enfin, ou quelque chose du genre. elle n'appelait Yeaxcley, parce qu'il l'appelait Carmichael, parce que c'était comme ça et surtout pas autrement.
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Brennan B. Yeaxcley

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MessageSujet: Re: « la plus belle vue du château. » pv Brennan   « la plus belle vue du château. » pv Brennan EmptyMer 22 Juil - 23:50

    Pas que l'envie n'y était pas. Pas que je n'avais pas envie de me mêler aux va et viens de tout ce petit peuple gentillet de sorcier. Mais voilà, j'avais une envie aujourd'hui...C 'était de me retrouver seul. D'ailleurs à vrai dire, cette envie était assez récurant chez moi. Je préférais pour la plupart du temps déambuler seul que de me retrouver coincé à écouter les péripéties désastreuses des jeunes de mon âge. "Des jeunes de mon âge"! Mon dieu je me surprenais parfois à sortir de telle réflexion, comme si j'avais des dizaines d'années de plus qu'eux! Dans un sens je me sentais tellement souvent à des années lumières de leurs petits problèmes. Trouvant leurs querelles puériles et stupides. Je devais avoir des dizaines d'années de plus au final. La haine et la perpétuelle envie d'être un autre devait sûrement vous faire avancer plus vite ou je ne sais quoi. Tout ce que je sais c'est que ces derniers temps je n'avais pas envie de me mêler à ce genre de chose. Je n'avais pas envie de rire ou simplement d'être un gentil garçon ou même un affreux garçon. J'avais envie d'être seul et arrêter deux minutes de me poser autant de question sur ma vie, sur ma famille, sur ce monde qui n'était pas le mien dans un sens. Ohhhh! J'aimais la magie, mais cet univers de compétition, d'idiotie était si puéril, si misérable à mes yeux. Et pourtant même si je ne l'aimais pas, j'aimais en observer les contours et me rassurer d'être si différent. J'étais toujours en opposition. A aimer, à détester la même chose. A dire oui et non en même temps. J'étais si usant parfois que même moi j'aurai aimer ne pas me voir durant un moment.

    L'automne dévoilait ses couleurs avec lenteur. Cette saison que beaucoup détestait, moi je l'aimais et la chérissait, la tristesse et la froideur qu'elle apportait, réchauffaient mon cœur. La pluie lente et fine faisait naître en moi la personne que j'aimais tant, celle qui préférait la poésie à toute cette idiotie de premier âge, celle qui philosophait à des heures interdites sur le sens d'un mot ou d'un comportement. J'aimais l'automne mais détestait encore qu'il ne fasse pas assez froid pour profiter paisiblement du parc. Trop d'élèves arpentaient encore ce dernier profitant des derniers rayons de soleil chaleureux. Profitant encore de compter fleurette sous les arbres magnifiques du parc. Profitant encore d'hurler et de partager des moments quasi pseudo inoubliable avec leurs amis. Je haïssais cette profusion d'amour, simplement parce que j'avais grandit dans l'amour d'une unique personne. Comment pouvait-on donner autant à tellement de monde? Je n'avais guère beaucoup d'ami mais mon comportement quasi associable expliquait beaucoup. Je jouais plus les gentils petits Serpentards pour agacer les miens et ma famille que pour être réellement le gentil garçon. Je n'étais pas détester outre mesure mais on ne me sauter pas au cou. Je ne cherchais que peu le contact et à bien des reprises avait brillé par mon insolence aussi bien au niveau des Serpentards que de Gallner que je rendais bien souvent fou.

    Fuyant donc le parc tant aimé, trop bruyant, trop bondé. Je me dirigeais vers un endroit très peu fréquenté mais qui renfermait également à lui seul une magie inexplicable tellement la beauté qui en découlait était admirable. Oui cela contrastait également beaucoup chez moi, mon dégoût de l'humain et mon amour de la nature, pour quelqu'un qui avait grandit dans un contexte totalement à l'opposé je faisais réellement figure de cas à part. Un jolie cas comme aimait à me rassurer ma douce mère.

    Je montais les marche rapidement, aisément à vrai dire. Je n'avais jamais voulu exceller dans le sport uniquement par opposition à la volonté de mon père, et pourtant je savais pertinemment que ma condition physique aurait fait de moi un excellent sportif. Enfin, peut être dans une autre vie, un autre lieu, un autre moment... Un étage, deux... Trois... Six... La tour s'offrit alors à moi, paisible, calme, dépourvu de vie autre que la mienne et... Oo Oo

    CARMICHAEL...

    Romy Carmichael était devant moi, assise à même le sol, me fixant sûrement du même regard dont je pouvait la fixer. Peu surprise, peu dérangée de me voir, toujours aussi surprise de la tournure de notre relation, toujours aussi intriguée de tout cela.

    Il y en avait des raisons pour cela. Des tonnes, des centaines... Notre histoire commune se déroulait sur des générations. Des générations de Carmichael/Ledwyn et de Yeaxcley... Nos familles avaient cultivé au fur et à mesure du temps une haine sans nom, une haine sans limite, une haine éternelle. J'avais été élevé dans la culture de cette haine et durant de nombreuses années j'avais méprisé cette famille, unique vestige de l'éducation de mon père, sûrement la seule chose qu'il avait réussi à m'imposer. Cette haine...

    Et un jour, un jour de plus où je décidais de le décevoir encore, j'avais pris cette décision de le faire souffrir en pactisant avec l'ennemi, son ennemi... Mais le jeu avait vite tourné et j'avais découvert en cette fille plus qu'un simple objectif de destruction du lien qui pouvait unir mon géniteur à mon être. J'avais rencontré une personne qui faisait partie entièrement de ma vie et qui étrangement me reposait. Qui ne me menait jamais à la baguette même si cette sorte de petit jeu s'était installé entre nous. Elle me soulageait et me rendait parfois heureux, étrangement heureux, dangereusement heureux.


      CARMICHAEL!


    Je lui adressait un signe de tête, aucun sourire pas de besoin particulier et elle ne m'en voudrait pas, je lisait en elle comme un livre ouvert et sa présence ici renfermait le traumatisme de ces dernières semaines chaotiques. J'avançais à pas lent, fixant tour à tour ma nouvelle camarade et l'horizon. J'avais eut besoin d'être seul mais sa présence ne me dérangeait pas étonnement. Comme si sa présence était des plus normales. Oui... Elle l'était...

    Ahhh, il criserait le vieux Yeaxcley et je suis persuadé que bon nombre d'ancêtre aussi ahuri que lui se tournait actuellement dans leur tombe à cette scène quasi intolérable.

    M'installant à côté d'elle, je touchait son livre du bout des doigts et sourit enfin portant alors mon regard à nouveau sur l'horizon.

    Toujours à traîner ce vieux livre. Je le plains, il doit en avoir assez, mais dans un sens ta compagnie vaut cent fois celle de tous les autres élèves réunis de l'école.

    Je souriais encore étonnement, à repenser que cinq minutes auparavant je n'en avais pas envie. Quel étrangeté ces instants si déroutants...


      Alors on fuit la population de l'école comme le vieux fou que je suis selon certain?
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Romy Lolà Carmichael

    jeunesse lève-toi. Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre.

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MessageSujet: Re: « la plus belle vue du château. » pv Brennan   « la plus belle vue du château. » pv Brennan EmptyJeu 23 Juil - 19:11

    A même le sol. Des dizaines de filles auraient été outrées de s'asseoir à même le sol. Pas Romy. Non. Elle se foutait royalement de salir sa jupe, elle la laverai, c'est tout. Elle n'était pas une chochotte, ça non, elle n'avait jamais été une chochotte, elle daignait dire qu'elle avait mal lorsqu'elle souffrait vraiment. Une dure diront certains, une « warrior » affirmeront d'autre, divers expression pour la désigner. Elle avait l'habitude des surnoms peu gracieux, l'intellectuel, la fille là bas, l'autre, celle là, romy truc. Bref, elle avait tellement de nom, si bien qu'elle n'y prêtait pas attention, pourtant Romy n' était pas un nom bien difficile à retenir, juste quatre lettre, deux consommes et deux voyelles. Mais, avec le temps, on découvre que les seuls noms que l'on retient sont ceux des personnes que l'on adore détester, et de ceux que l'on admire et envie. Elle n'était pas de ceux là, elle affirmait ne pas vouloir en être, mais au moins au fond de chaque personne, il y a une partie de vous qui ne désire qu'une seule et unique chose, devenir quelqu'un, par n'importe quel moyen. Chez certains, ce desir est quasi absent, chez d'autres, il s'agit d'une véritable obsession, pour romy, c'était un peu des deux. Partagée entre le désir ardent de devenir quelqu'un d'aimé, de populaire, et qui a des nombreux amis. Partagée entre le désir de garder sa petite vie, avec si peu d'amis, mais sa petite vie paisible, vraiment paisible.

    Carmichael, il avait dit ce mot sans l'ombre d'un sourire, une tête si neutre. Entre eux, cette scène aurait fait dressé le poil aux membres respectifs de leur famille. Alecto Ledwyn ( le patriarche de la famille de romy ) l'aurait tué sur le coup, ne pas insulter l'ennemi de la famille relevait quasiment d'un crime chez sa famille. La haine, c'était bien une chose que Romy n'avait jamais compris, ils les détestaient, et devaient les détester à jamais, sans raison particulière. Lorsqu'une haine était justifié, Romy trouvait que c'était normal, mais dans le cas présent, elle ne se sentait nullement concernée par cette situation, elle ne haïssait personne, non. Elle était en gros la Suisse dans tout ça, le pays neutre, bien que sa famille la forçait à prendre au sérieux cette haine. Vivre avec une haine injustifiée jusqu'à la fin de ça vie ? A quoi bon ? Romy entendait faire ce que sa mère avait voulu faire, apprendre à voler de ses propres ailes, et voler seule, sans toutefois renier sa famille, elle ne la renierait pas, mais eux la renieraient surement. Qu'importe. Romy savait ce qu'elle voulait faire, elle savait plus ou moins, où elle allait pour son avenir. Elle serait médicomage ou bien infirmière. Son séjour à l'hôpital avait renforcé cette volonté de venir en aide aux autres. Profondément altruiste, la haine gratuite rebutait complètement la jeune fille, cette haine gratuite était le moyen, selon elle, de ses donner des airs importants, la haine donne le privilège de haïr gratuitement quelqu'un, ce privilège vous donne de l'importance. N'importe quoi pensa romy.

    Elle fuyait. Par la barbe de ce vieux dumbledore qui gît six pieds sous terre dans le parc, il avait bien raison. Elle fuyait la population de poudlard, avec laquelle elle avait l'impression d'avoir si peu de lien. Des groupes, formés de quelques élèves, des groupes ultra fermé. Dur, dur de se faire une place lorsque l'on ne fait pas la fête, lorsque l'on ne boit pas afin d'être capable de vendre son corps au premier mec qui passe. Romy n'était pas ainsi, elle n'était pas dévergondée comme bon nombre des filles de poudlard. Non, elle n'était pas comme une bonne soeur, il ne faut pas exagérer, mais, elle ne se sentait pas à sa place lorsqu'elle se trouvait à côté de ces gens. Elle préférait de loin s'isoler. Et puis, les gens qui roucoulent dans le parc, il y avait sérieusement de quoi la faire vomir, réellement. Vous connaissez la chanson, je hais les couples qui me rappellent que je suis seule. Romy n'aimait pas les couples, seulement parce que selon elle, l'amour était la pire chose du monde, celle qui cause le plus de souffrance. Comme elle le disait, elle préférait être clouée au fond du lit plutôt que de souffrir de cette chose insurmontable, terrible et effroyable sentiment amoureux. Elle sourit, et rit presque. Ce vieux fou, pensa t elle pour elle même. Elle le regarda alors, laissant disparaître son sourire. Elle dit alors de sa voix douce ;

    « je prefère être ici, plutôt que de voir glousser les filles dans le parc, qui sont hyper heureuses de roucoler comme des animaux en chaleur. » lâcha alors romy. franche ? je n'ai jamais dit qu'elle choisissait ses mots pour parler. parlons peu, parlons bien, telle était sa devise. Une fille franche, qui ne soucis pas franchement des réflexions que l'on puisse faire sur son franc parler. Elle avait passer l'âge de mesurer ses mots. Mais soyons franc, ces filles qui roucoulent, et attendent sagement, ou pas d'ailleurs leur prince charmant du soir, celui qui les emmènera au septième ciel dira t on. Ce genre de fille couraient plus les couloirs de Poudlard que l'on pouvait le penser. La sorcière détourna le regard du jeune homme, le laissant divaguer sur le parc, comme pour preuve à l'appuie. Si on regardait bien, on trouvait bien des filles roucoulant comme des animaux en chaleur, c'était l'effet que leur faisait les derniers rayons de soleil. Romy aimait l'hiver par dessus tout, elle attendait sa venue avec impatience. L'hiver, c'était l'occasion de sortir dans le parc, vierge de toute trace de pas, pour une fois, elle avait la douce impression d'explorer quelque chose. Elle appréciait la solitude des promenades dans le parc, des batailles de boules de neige avec dwayn lorsque la neige venait de tomber. Mais l'automne était là, la saison de transition, elle l'appréciait assez d'ailleurs. Ce n'était pas la saison des amours. Il ne faisait pas si chaud. Les couleurs de l'automne étaient tout simplement majestueuse. Des milliers de couleur assorties pointaient le bout de leur nez. Un déferlement de couleur parfaite pour les yeux. Romy arpentait parfois le parfois, armée de son appareil photo sorcier ( où les photo bougent ). mais ce jour là, elle avait préféré la tranquillité de la tour. Surtout depuis qu'avec son appareil photo quelqu'un lui avait dit que prendre le château et les arbres en photo ne servait à rien, et qu'elle ferait mieux de prendre en photo les stars comme lui. Quel con pensa t elle. « tu n'es âs un vieux fou, juste quelqu'un de moins abruti que ceux qui sont en bas, enfin, peut être ! » dit elle en esquissant un mince sourire, et reposa alors ses yeux azures sur lui.
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Brennan B. Yeaxcley

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MessageSujet: Re: « la plus belle vue du château. » pv Brennan   « la plus belle vue du château. » pv Brennan EmptyLun 3 Aoû - 21:25

    « je préfère être ici, plutôt que de voir glousser les filles dans le parc, qui sont hypers heureuses de roucouler comme des animaux en chaleur. » Elle n'avait pas tord. La fin de l'été aurait pu annoncer des jours plus calmes pour les hormones des adolescents foulant le sol de l'école mais au contraire! Sûrement l'air frais qui donnait cette envie de se réchauffer. Allez savoir! En tout cas, cela ne me faisait ni chaud, ni froid. Évidement je n'étais pas un de ces garçons prudes qui voyaient le sexe comme quelque chose de mal. Je ressemblais à bien des garçons pour ce sujet même si je ne tombais pas amoureux de n'importe qui juste parce qu'elle m'avait adressé un joli sourire. Au contraire, de ce point de vu j'avais mauvaise réputation. Enfin dans un sens je ne m'amusais qu'avec ces filles qui veulent jouer au même jeu que vous en prétextant ne pas y accorder de l'importance. Alors qu'au final, bon nombre d'entre elles espéraient plus. Enfin, je n'avais jamais accordé d'importance à ces filles là. Je passais du bon temps, elles en passaient également et je les avais toujours prévenu que je ne leur accorderai pas plus de ma personne. Je ne me dévoilerai et ne serai qu'un autre Homme pour celle qui le mériterai. C'était d'ailleurs étrange que je pense à cela. Moi qui jamais de la vie ne pensais un jour réfléchir à une relation sérieuse, à accorder ma confiance totale et aveugle à une personne du sexe opposée. Étrange d'imaginer m'ouvrir alors que depuis tellement d'année je faisais en sorte d'être l'antithèse vivante de celui que j'étais réellement. Portant mon regard sur ma nouvelle camarade d'infortune je laissa échapper un sourire lorsqu'elle revint sur mes paroles en précisant que je n'étais pas un vieux fou, juste moins abruti que les personnes qui roucoulaient en bas. En bas, dans cet autre monde. En bas dans ce mélange de corps et de cris. Ahh que j'aimais cet endroit là. Sa hauteur, sa splendeur et son impression d'être seul au monde! Même si Romy était là, elle ne perturbait en rien ces sentiments qui cohabitaient en moi en cet instant. Pourtant il était difficile de me faire apprécier une compagnie mais Romy, même si au départ, représentait un moyen de plus de faire enrager mon paternel était devenue plus que cela. J'avais appris à connaître celle que je devais haïr sans raison valable. J'avais appris à lire en cette fille qui représentait le mal selon les miens.

    Lorsqu'elle posa son regard sur moi d'ailleurs je ressentis à nouveau ce monstre qui se tord dans mes entrailles et qui à chaque fois me coupe le souffle durant quelques secondes. La première fois que je l'avais senti, je me souviens, j'avais rencontré Romy en revenant de la forêt interdite. Je la connaissait déjà, mais cette fois-ci cette bête avait pris naissance au fond de mes entrailles, également lorsqu'elle avait posé son regard azur torturé sur moi. Comme si elle me pénétrait, comme si elle lisait en moi comme un livre, au caractère bien trop gros, ouvert. J'avais tressaillis sur l'instant à cet époque et aujourd'hui je ressentais à nouveau cette peur irrationnelle de me dire que ce monstre n'était pas là par angoisse ou par peur. Non, et rien que de penser à cela me fit réagir subitement. Je détournais le regard et le posais à nouveau sur l'horizon. Je devais éviter de penser à cette bête naissante. Je devais résister même si au fond de mon être une petite voix me disait de ne pas craindre ce qui pourrait arriver.

    Si tu le dis! Romy! Je préférais repartir sur notre discussion que d'affronter à nouveau son magnifique regard. Pourtant à en entendre une bonne paire ici. Je suis la honte de notre maison! Je me mis alors à rire doucement à cette idée. La honte pour mes camarades verts et argents, ce dont je me moquais pleinement, et surtout une honte pour mon père, ce qui me faisais ardemment plaisir. Le vilain petit Serpentard!

    Ohhh qu'ils me font rires!
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Romy Lolà Carmichael

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Romy Lolà Carmichael


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MessageSujet: Re: « la plus belle vue du château. » pv Brennan   « la plus belle vue du château. » pv Brennan EmptyLun 10 Aoû - 21:35

    Romy avait toujours raison. Enfin presque. La raison. Quelle raison ? En mathématique, en science, en magie, en histoire, elle avait sans cesse raison, ses capacités de réflexion très développées lui permettaient d'atteindre la vérité dans ses matières, et ainsi d'avoir raison. Romy avait raison sur bien des choses. Elle avait raison sur tout ce qui était écrit dans des livres, grâce à sa mémoire incroyable, elle parvenait presque à ressortir, mot pour mot, une définition, une citation qu'elle avait lu il y a trois jours dans un livre. Elle bien souvent raison sur ce qui est écrit dans les livres. Les sciences humaines sont peut être écrites dans les livres, mais rien, rien, rien n'aidait la jeune femme à comprendre les autres, rien, rien, rien, rien ne l'aidait à se comprendre elle même. Elle ne saisissait pas le sens de ses désirs, ces désirs qui vous guident, ces désirs qui vous trompent, ceux qui vous font faire n'importe quoi. L'homme, le genre masculin de l'humanité était une des seules chose qu'elle ne parvenait à comprendre. Tantôt guidé par la justice, tantôt guidés par leur amour propre, tantôt guider par une volonté de méchanceté. L'homme était une énigme pour la jeune sorcière, elle avait grandi auprès de son frère, élevée par sa jeune tante, elle considérait qu'après tout, elle avait bien grandit dans un monde de femme. Oui, elle l'avait dit. Elle l'avait dit, Brennan était sans l'ombre d'un doute moins imbécile que tous ces mecs en bas roucoulant. Du moins, elle espérait, d'où, le peut être à la fin de sa phrase. Elle espérait qu'il était moins idiot, elle espérait. Et ce, sans savoir pourquoi. Elle espérait, simplement. L'espoir, un sentiment si étrange. On espère souvent, l'espoir fait vivre. Elle avait cet espoir, celui qu'il soit différent, différent, de tout ces imbéciles en bas. Elle espérait, ce sentiment d'espoir la déstabilisa, jamais, jamais, jamais elle n'aurait dû espéré qu'il soit différent. Jamais. Jamais. Il était un Yeaxcley, il devait être odieux, idiot, méchant et imbu de lui même. Elle ne devrait pas penser autre chose de lui. Non, elle ne devait pas, c'était contraire aux lois des Ledwynn.

    Yeaxcley disait qu'il était la honte de sa maison. Une honte. Elle ne pu s'empêcher d'être au fond, bien triste pour lui. La honte. Ce sentiment si dur à supporter. Romy avait honte parfois, honte d'être cette fille qu'elle était. Elle avait honte d'être intelligente, puisque les filles intelligentes étaient détesté de celle qui ne l'étaient pas. Elle avait honte d'être si timide, puisque les filles timides ne restent que dans leur coin, et ne sont jamais abandonné par personne, puisque les filles timides font l'erreur de croire que quelqu'un va venir vers vous, sécher vous larmes, et dire qu'il est votre ami. Romy a toujours eut honte de sa naïveté outrageuse. La honte, elle l'a eut acquise en première année, lorsqu'un grand a abusé de sa naïveté pour l'enfermer dans un placard, cette honte, elle ne l'a jamais vraiment quitté. Certains avaient la force de caractère pour battre cette honte, et pour s'affirmer, par elle. Elle n'avait pas la force de caractère nécessaire pour combattre le sentiment de honte qui la gagnait à chaque instant. Brennan, lui, en riait. Au moins, il avait la force de caractère de se battre. Elle sourit malgré elle. Il en riait, tant mieux pensa t elle, tant mieux. Il semblait même heureux de ce que l'on disait de lui. Il était étrange, pensa Romy. Étrange. Mais qu'importe, les gens étranges ne sont pas pour autant des gens in fréquentable. Bien que pour la jeune sorcière, rien que son nom le rendait in fréquentable. Mais ne vous a t on jamais dit qu'à l'adolescence, les interdits sont fait pour être outrepassés ? A cette instant, elle aurait dû avoir honte, honte de lui adressé la parole ainsi, sans gène, sans hargne, sans violence. Ni haine, ni violence. La honte s'estompa progressivement. Elle dit alors doucement avec gentillesse, car oui, Romy n'était pas méchante, dès que l'on ne lui jetait pas des pierres, elle parlait avec douce, gentillesse, tout en conservant une franchise.

    « Parfois, il ne faut pas écouter les autres. Toujours écouter, c'est foncer dans le mur ! » Elle avait tellement écouté les autres. Elle avait toujours écouter les autres si bien qu'elle avait finit par n'être personne, elle avait finit par n'être rien. Elle n'était que Romy, l'amie de Dwayn. Romy, l'ex copine de Dwight. Romy la meilleure amie de Pearl. Romy la fille qui répond aux questions du professeur. Romy, la sœur de Gillian. Lorsque l'on nous rattache sans cesse à quelqu'un, vous n'avez l'impression d'exister. Elle n'a jamais eut l'impression d'exister. Les règles posée en évidence par vous proches vous empêcher d'être quelqu'un. Romy n'était rien. Elle n'avait été que poussière, la fille là bas, celle de devant, toi là bas. Elle n'était que ces locutions impersonnelle, elle n'était rien, hormis la fille invisible. Lorsque votre vie bascule soudainement, l'envie de devenir quelqu'un devient une drogue. Elle voulait être quelqu'un. Elle ne voulait plus obéir. Elle ne voulait pas comprendre, toute se vie, nous lui avions répété qu'elle comprendrait plus tard, et maintenant, alors qu'il est temps de comprendre, elle ne veut plus comprendre, pourquoi comprendre pensait elle ? « Personnellement, je trouve qu'écouter est aussi barbant que de comprendre. Las adultes, nous disent d'écouter, et de comprendre, je trouve que c'est stupide. Ils te demandent d'obéir, mais de ne pas chercher à comprendre leur règles.» Romy rit alors, lorsqu'elle dit cette phrase, elle s'était levé, elle qui était assise par terre. Elle se leva, comme pour s'éloigner un peu de lui, lui qui était assit à côté d'elle à l'instant d'avant. Elle lui adressa un sourire, à mis chemin entre le gène et la douceur. Romy était pleine de contradiction. Allez comprendre pourquoi elle s'était levée à l'instant, elle même ne savait pas, elle en avait juste besoin, besoin, sans trop comprendre.

    La sorcière le regardait toujours. On lui avait tellement dit qu'il était impoli de ne pas regarder les gens avec qui l'on conversait. Cette règle que tant de fois sa tante lui avait répété était imprimé dans son cerveau. Toujours regarder son interlocuteur, toujours. Toutefois, les règles transmises et rabâchée par ses proches ne sont pas toute restés imprimé en elle. En ce moment, elle en enfreignait une fondamentale. Rien que le fait de lui parler était déjà un outrage pour sa famille. Mais, vous savez, Romy ne s'est jamais sentie concerné par ces histoires de famille, elle s'est toujours sentie comme sa mère, libre. Libre, elle l'avait été, sa mère l'avait été, et elle morte aujourd'hui. La jeune sorcière aurait tant voulu lui demander comme se libérer de tout ce préceptes qui vous pourrissent la vie. Romy était comme tout les humains, elle aspirait à être libre, libre, et encore libre. Assoiffe de liberté, voilà ce qu'elle était. Elle ne voulait plus être la fille la bas, la timide, ou encore l'amie de dwayn. Pour une fois, elle avait envie d'être Romy, Romy Lolà Carmichael, la fille qui est libre. Elle voulait juste être elle même; et ce sans que personne ne la juge. Romy le quitta alors des yeux. Elle ne pouvait pas le fixer plus longtemps, sans savoir pourquoi, c'était comme si elle sentait du rose pointer sur ces joues. Si elle l'avait regarder plus longtemps, ses joues se seraient empourprée, oui. Elle ignorait ce qui lui prenait, elle se tourna alors, regardant dehors, par le pseudo balcon de la tour. Hormis les zigoto en chaleur de dessous, il était évident, que c'était de loin, la plus belle vue du château. Oui, pensa Romy, c'est la plus belle vue du château. « Je trouve que c'est la plus belle vue du château ! » , elle rit, ou plutôt sourit pour elle même de la débilité de sa phrase, qu'importe que sa phrase soit débile, elle le pensait.

    soit indulgeante je rentre de vacances '-'
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