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 Le travail c'est la santé...Ben c'est bien ma veine {Cornélia

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Makayla B. Winston

Makayla B. Winston


Messages : 54
Camp : Du côté de Truescott. Vive la rébellion !

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MessageSujet: Le travail c'est la santé...Ben c'est bien ma veine {Cornélia   Le travail c'est la santé...Ben c'est bien ma veine {Cornélia EmptyDim 26 Juil - 17:07

Le travail c'est la santé...Ben c'est bien ma veine {Cornélia Dwerbowy004 Le travail c'est la santé...Ben c'est bien ma veine {Cornélia Rma3


Du boulot, encore du boulot, toujours du boulot. A croire que les professeurs ne juraient que par ça, depuis que Gallner est là. Non je plaisante, ça a toujours été comme ça, avec ou sans lui. Ce qui m’éclate c’est qu’au moins on peut remettre la faute sur quelqu’un, cette fois. Que j’aime médire sur lui ! Il est vieux, il est moche, il est con, il est chiant, il est nul… Non, il n’est pas à plaindre, d’autant plus que je suis pratiquement certaine que de son côté il pense la même chose de nous. Ses colles qui ne se finissent pas… J’en ai encore une, je crois, juste parce que j’ai hurlé dans son cour. Non pas que j’hurle tout le temps, non plus, je ne suis pas une sirène, mais cette fois en plus c’était même pas ma faute, et il m’a punie quand même, moi et uniquement moi, parce que moi je devais avoir l’habitude des colles et qu’a son humble avis une de plus ou une de moins, je ne ferais pas la différence. Pauvre type, j’ai pensé, mais j’ai rien dit, et je lui ai même pas souris, moi qui souris a tout le monde. Bien fait pour lui. En même temps, j’ai pitié de lui. Je suis sûre que quelque part dans sa vie il a eu quelque chose qui l’a fait devenir exécrable, et personne ne pourrait savoir quoi, ni pourquoi, parce qu’il est trop con pour se rendre compte qu’il doit évoluer. Bref, pour en revenir à l’histoire de la colle, j’ai eu une heure, parce qu’un gars de ma classe, en Poufsouffle, huitième année, avait lâché un sort pour faire tomber son voisin de sa chaise, mais que l’autre lui a dit d’arrêter et a donné un coup dans sa baguette, du coup le sort s’est dirigé vers moi et j’ai faillit le prendre dans les jambes, mais il a atteint la table, qui m’est tombée sur les genoux, et du coup il a cru que tout ça c’était moi. N’empêche, je suis sûre qu’il sait que l’autre est dans le coup, - en même temps, il a réparé la chaise juste devant ses yeux, c’est vraiment pas discret, surtout devant lui qui voit tout. Mais il a rien dit, juste « Miss Winston, vous viendrez me voir à la fin de l’heure. » J’ai voulu protester, mais je proteste tout le temps, et il s’y est habitué depuis, alors il a vite enchaîné sur son cour. Mon voisin de devant s’est retourné, tout confus, et m’a demandé de l’excuser. J’ai dit que c’était pas grave, que j’avais l’habitude, patati, patata… N’empêche que ça me fait bien chier quand même. A la fin, quand je suis allée le voir, je lui ai dit que c’était pas moi, que j’avais eu peur parce que ma table s’était dévissée toute seule, mais il a juste dit que j’avais une colle. Enfoiré ; j’aurais mieux fait d’oublier ce rendez-vous. Mais je suis sûre d’une chose, maintenant : mon voisin de devant fait partie de ses chouchous.
Mais bon, tout ça pour dire que j’avais une colle en plus de tout le boulot que j’avais à faire, et que là il n’y avait ni Babe ni Quinn pour m’aider, et que j’étais bien dans la merde, parce que tous les livres faisaient au moins un volume de quinze kilos et que dedans il n’y avait rien. Pourquoi avais-je pris les runes comme option, déjà ? Ah oui, pour déchiffrer ce qu’il y avait de noté dans le parc du quartier. Tout ça pour ça… J’avais déjà regardé longuement, j’avais même demandé à mon prof, c’était même pas des runes. Du coup, je ne voyais plus l’intérêt de cette matière, parce que pour écrire des trucs sur la pierre, de nos jours, il faut vraiment être…allumé, je suppose. Je sentis une boule d’excitation au creux de mon vente, et je souris. J’avais trouvé une nouvelle chose à faire, qui allait me motiver pour clôturer ce devoir. La pierre du château était dure, il était impossible de graver quelque chose dedans avec un couteau. Mais avec une baguette… Je pris deux ou trois lires de runes, retourna m’assoir à la table où je m’étais fait un bureau de travail de fortune. Il faut l’avouer, je suis bordélique, au fond de mon sac restent des boulettes de papier, des parchemins usés et tous froissés par mes livres, des notes important, et des choses a faire oubliées, des plumes de toutes sortes brisées, des gadgets de Pré-au-lard inutiles que je ne peux m’empêcher d’acheter malgré tout, avec lesquels je m’amuse pendant quelques instants, un jour au grand maximum, et puis je m’en lasse, jusqu’à ce que je redécouvre un gadget complètement stupide et inutile, qu’il me faut a tout prix ! Et puis, le vide de mon porte-monnaie se fait ressentir, alors je fais des balades dans l’extérieur, ou alors je reste au château pour faire mes devoirs de retard. Pas comme là, bien sûr, parce que là, il n’y a pas de sortie. Dommage, parce que j’aurais bien laissé mon devoir en plan pour m’aérer un peu. Mais qu’est-ce qui me retenait au juste ? Ah oui, mes devoirs, bien sûr. Lasse, je sortis une feuille de brouillon, puis commença a faire mes devoirs, me créant ensuite une récompense débile si je le finissais correctement. Ayant un goût du danger et de l’inconnu prononcé, il m’était simple d’écrire des phrases sur les murs du château. En runes, en plus, c’était décoratifs pour ceux qui ne savent pas ce que ça veut dire… Tout en continuant mon devoir, penchée sur ma feuille, en traçant mes lettres bien rondes comme je les faisais, je m’imaginais la phrase que j’allais retranscrire en runes ; « Gallner pue. » Nan, trop classique, pas assez expressif. « Gallner martyrise ses élèves. » Pas vraiment, certains sont ses chouchous, beurk au passage, être le chouchou d’un vieux crouton comme ce mec là, non merci. Miss Truescott et jolie, au moins, que lui il est vieux. Bref, reprenons. « Gallner doit cesser d’embêter MBW. » Euh…non, c’était trop facile a retrouver, mes initiales, et puis je ne les aimais pas du tout, ça faisait trop voiture, chose dont j’avais horreur. « vive les transports en commun. » Oulà, je dérive a mort ! Faut que je me ressaisisse vite, sinon je vais faire n’importe quoi. J’écrivis correctement mon devoir pendant encore cinq minutes, concentrée, jusqu’à ce que mon esprit dérive à nouveau. Alors, je poussai un soupir à rendre l’âme et me redressai. Mon dos craqua, ma nuque aussi, parce que j’avais passé trop de temps crispée sur ma feuille, comme d’habitude. Je bossais trop, je n’arrêtais pas de le dire. Enfin, ça ne m’empêchais bien sûr pas d’avoir des tonnes de travail en retard. Un jour, j’avais voulu m’organiser, j’avais noté soigneusement tout ce que je devais faire en premier, en priorité, sur conseil d’un de mes profs. Après avoir fait toutes les choses que j’avais notées, je m’étais rendue compte que j’avais eu du travail en plus entre temps (parce que, bien sûr, je n’avais pas mis ma feuille à jour), et que faire cette feuille m’avait pris un temps inutile a la place duquel j’aurais pu travailler encore plus. Ce fut la fin de ma période soignée et rangée, qui dura moins d’une semaine. Ah ! Quelle triste vie je mène ! Toujours a travailler, sauf quand je m’amuse ! Bref, non, je ne vous ferais pas de niveau entre les deux, c’est impossible, et puis je peux vous l’avouer, je n’ai pas honte, parce que je suis une personne normale ; je préfère m’amuser que de travailler. Par contre, je n’avouerais pas que tout le monde le sait et que ça se voit. Avec un soupir, j’observais la salle, essayant au passage de voir si quelqu’un avait besoin d’aide.
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