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| « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini Ven 8 Mai - 21:30 | |
| Sorrow Jùpiter Mercury ▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄ 1oo% « je suis le militant quotidien de l'inhumanité. » pseudo ou prénom : caro âge : 21 ans avatar utilisé : kellan lutz code du règlement : la poudre d'escampette s'en va au loin autre ? : rien à signaler. si merci ashee pour l'avatar et la bann.
Dernière édition par Sorrow J. Mercury le Ven 8 Mai - 23:06, édité 4 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini Ven 8 Mai - 21:30 | |
| o1 .les repas en famille, ____c'est le moyen de vous emmerder.
Bâillement. Ce type était affalé dans le canapé de la demeure du bout de la rue, une petite maison anglaise, parfaitement identique à tout celles de la rue. L’intérieur avait tout de la maison un peu démodé, mais que vous les vous, il n’étaient pas riches, ni même très riches. Ils étaient juste la famille Mercury, des gens comme vous en croisez tout les jours, à l’exceptions qu’eux ceux là étaient des sorciers, mais pas de sang pure. Le père de la famille, était un né moldu qui avait envie de faire carrière dans le coaching personnel. La mère de famille, était une sorcière mais dot la lignée n’avait rien de pure. Un homme brun, ou châtain et une femme blonde avaient donné naissance à la petite blonde qui était assise à table, Ryden, à côté d’une pile de bouqin. Mais avait donné naissance des années avant à ce gars, affalé dans les canapé, devant un match de foot ball moldu. Ses cheveux châtain assez cours étaient légèrement hérissés sur le sommet de sa tête, misant tout sur l‘effet wake up. Il était allongé, les pieds sur la table, des chaussette blanche mal mise. Il avait un t-shirt de couleur blanche et un jeans. Ses deux pieds étaient sur la table basse. A ses poignet, deux bandages de chaque côtés. Ce type, c’était Sorrow, dit Row pour la plupart des gens. Il regardait fasciné la télévision. Les Mercury vivaient comme des moldus. out le monde s’installa machinalement à la table du salon, là où était dressée la table à manger, lorsque l’aiguille de l’horloge au dessus de la porte de la cuisine passa sur le vingt, indiquant alors dix neuf heure vingt. Réglé comme des machines, leur estomacs criaient famine. Coach Mercury s’installa au bout de la table comme à son habitude. Ses cheveux coiffé en brosse lui donnaient un air vintage. Cette mode démodée. Mais ça, il n’arrivait pas à la comprendre, sa chemise grise avec sa cravate lui donnait un air benêt. La petite blonde de quinze ans s’installa alors à sa droite, Ryd lâcha alors ses bouqins, presque à contre cœur. Elle contemplait le silence dominant, comme souvent. Le seul bruit, c’était le pas lourd, et Row qui tirait la chaise en faisant le maximum de bruit, il s’installa au bout de la table, en face du coach, non sans afficher une mine décrépie.
DAD - « sorrow, soit un peu humain, enlève cette foutue mine de suicidaire. » ROW - « je suis le militant quotidien de l'inhumanité. » DAD - « sorrow, les mercury sont des winners, les winners ne sont pas comme ça. » ROW - « ben chacun son rôle, moi j'ai celui du looser. » DAD - « dans la vie y'a les winners et les loosers, nous sommes des winners ! » ROW - « genre. » DAD - « je t'ai pris rendez vous avec le docteur Hegles, demain, il va te soigner. » RYD - « row va bien, il a dit que c'était fini, il ne recommencera plus. » ROW - « genre. » RYD - « tu me l'a promis row, tu ne t'entaille plus les veines ! » ROW - « y'a d'autre moyens d'en finir. » RYD - « roww ! arrête ! » ROW - « j'irai. mais j'en ai rien à foutre. » DAD - « si tu te soigne tu sera un winner, n'est pas chérie ? » MUM - « bien sûr que le repas est prêt. »
La communication. Un dialogue de sourd. Un père obsédé par son désire de devenir un winner, lui le coach raté. Il avait raté sa vie, il se disait winner, mais ce n’était qu’un looser profond, qui tondait la pelouse en jalousant celle de ses voisins, en jalousant aussi leur berline allemande, eux n’avaient qu’une vielle voiture toute pourrie. Le fils daignait écouter sa famille, plus occupé à se considéré comme le militant de l’inhumanité. Une succession de conneries, c’était ça row. La plus récente, son désir de coupé avec le monde en coupant ses veines. La seule personne qu’il écoutait c’était Ryd, sa petite sœur, elle lui faisait ses yeux de chat potté, et paf il cédait comme un gosse cède devant quelqu’un qui lui offre une glace alors qu’il fait quarante degré dehors. Row poussait les limites de sa vie au plus loin, l’hôpital ça le connaissait, des séjours par ci par là. Il était casse cou depuis ses plus jeunes années, et là il était dans sa période, « la vie ça pu », ou plutôt dans sa période « la famille ça craint, pour les faire chier j’veux en finir. » row ce n’a jamais été l’intelligence même, un brin débile, il détestait l’école. Reprenons, la communication. Absente, tout aussi absente que l’écoute. Quand on pose une question à la mère, elle vous répond par quelque chose qui n’avait aucun rapport et qui se logeait dans la banalité la plus banale. Les mercury, c’était l’absence de dialogue, et à partir d’un certain stade, impossible d’y remédier. La mère porta sur la table le repas. Row exprima son dégoût se fit réprimander, comme toujours. Ryden ne parla pas comme toujours, elle était muette avec ses parents. La mère s’inquiète une dizaine de fois de la saveur de son repas. Le père parla de son travail, répétant une énième fois sa vision sur la vie, il y avait deux camp, les winners, et les loosers. Chez les mercury, c’était pareil chaque soir des vacances d’été. La mère débarrassa la table avec Ryden, row s’assit dans un coin du salon, jouant à la console. Le père s’affala sur la canapé riant tout seul devant une de ces débilité moldue, que l’on nomme télé réalité. La mère une fois son travail de femme au foyer finit, s’en alla à côté de son mari, toujours muette, ne riant pas, ne parlant pas, le visage inexpressif.
La soirée se termina comme toujours, Ryden et Row montèrent dans leur chambres respectives. Row s’affala sur son lit après avoir passé presque une heure sous la douche. Les Mercury, c’est l’absence de dialogue, le délaissement. Une famille parfaite vue de ‘extérieur, il avait un pavillon, une famille, un chien, une pelouse verte, une voiture, et ils étaient dans la classe moyenne. Mais sérieusement, comment ne pas avoir un fils légèrement dérangé dans une famille pareil. Row était peut être un peu suicidaire par moment. Il n’en reste pas moins un type casse cou, qui n’a pas vraiment froid au yeux. On ne parle pas de don juan, il n’est plus dans sa phase « les filles c’est nul », mais il n’est pas obsédé par les femmes comme le sont certains mecs. Row c’était un soupçon de vanité, mais une grande dose d’humour, bien que parfois très noir et très cassant. Dans le genre supra lunatique, vous avez devant vous, super lunatique, son humeur change si vite que parfois, vous avez à peine le temps de dire quidditch. Lunatique, un peu sadique, il n’est pas forcément le type le plus sympa que vous puissiez rencontrer, mais il est sacrément décalé. Il semble un peu à l’ouest, cet air en dehors de ce qu’il fait lui donne un côté « je me fou de tout ». Suicidaire, un peu barjot, légérement sadique, déterminé, courageux ( quand il le veut ) et complètement dérangé, voilà ce qui pourrait nous permettre de déterminé le caractère de row. Un peu inhumain, il se considèrent comme le militant quotidien de l’inhumanité.
Dernière édition par Sorrow J. Mercury le Ven 8 Mai - 22:58, édité 12 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini Ven 8 Mai - 21:31 | |
| o2 . petites confidances ____à mon psy.
extrait de la première scéance de psychalasye de row. « bonjour monsieur mercury, installer vous.» ROW - s'intalle alors « bonjour, docteur.» [...] PSY - « sorrow , raconte moi ton enfance, les traumatisme sont souvent liées à l'enfance, nous dit freud. » ROW - « hmpff... je suis né. je suis l'aîné de la famille, mes parents m'ont eut peu de temps après leur mariage, je dois avoueur que leur mariage a été très précipité. ils se sont marié, et moi je suis arrivé dans la foulée, avec le sentiment de n'être qu'un cheveux de plus sur leur soupe. maman voulait avoir une fille, une jolie petite fille, mais elle a hérité de moi, mon père voulait un garçon, un dure pour l'emener jouer au foot et faire de lui un winner, mais il m'a eut moi. j'ia grandit pendant quatre ans dans un solitude profonde, ma mère faisait mine de m'aimer, mais elle a toujours été distante avec moi, comme avec mon père. elle se contonnait et se cantonne toujours aux tâches ménagères. quatre ans après moi, ce fut l'arrivée de ryden, j'aurai cru que maman aurait été heureuse, mais non, elle est devenue de plus en plus le spectre que je connais, et papa, il s'est conformé dans sa théorie du winner, et a finit par devenir un looser.» PSY - « qu'as tu ressenti dans ton enfance ? » ROW - « le sentiment de ne pas être aimé, de ne pas avoir été désiré. le sentiment d'être celui de trop. le sentiment de ne pas faire parti de sa famille, ce sentiment de délaissement qui revient sans cesse. j'étais frustré, frustré par ce manque d'amour, l'amour dont les gosses ont besoin pour devenir ce qu'ils doivent être. moi j'étais le gosse dérangé, le seul gosse qui dessinait et note scrupuleusement tout ses cauchemars dans un cahier. le gosses qui mettait un pétard dans une grenouille, juste pour lui faire du mal, et non pas parce que c'était marrant, ça n'avait rien de drôle, c'était juste sadique. de toute façon, je déteste ces putains de crapaud, c'est moches et c'est dégueulasse. » PSY - « pas de traumatisme, autre que la frustration du manque d'amour ? » ROW - «une chose ma traumatisé je pense. j'ai vu une gamine à peine plus petite que moi se faire écraser par une voiture. c'est sans l'ombre d'un doute lévènement le plus traumatisant de ma vie. je n'arrive pas à traverser une route, une rue sans qu'il y ait des personnes avec moi, je suis paralaysé à l'idée de traverser la route, ne serai ce qu'une rue. je ne peux pas, physiquement, je me bloque, net, comme si mon propre cerveau cessait de commander mes muscles, il faut que quelqu'un me rassure, me prenne la main, où m'encourage. je ne crains rien, lorsque ma petite soeur est là, elle est de loin l'élément le plus important de ma vie, je l'aime, et j'ai besoin d'elle, elle est le remède à mes peurs. » PSY - « qu'as vos peurs ? » ROW - « celle de traverser une rue, celle de vomir. j'entre dans une sorte d'hystérie lorsque quelqu'un dit qu'il ne se sent pas bien, qu'il est brassé, qu'il va vomir. s'il vomi, je devient paêl et panique, panique. rien que l'évocation d'une maladie telle que la gastro me fait terriblement peur. je panique, commence à me laver frénétiquement les mains. une fois j'ia frotté mes mains si fort qu'elles en ont saignées.» [...] PSY - « je pense que tu sais que c'est tes tantative de suicides qui t'on conduit ici, peut tu me dire, ou tenter d'essayer de comprendre ce qui t'as poussé à faire ça? » ROW - « le délaissement. sartre a dit l'existence précède l'essence. je suis délaissé, rien en me guide, puisqu'aucunes morale n'est déjà existante, aucuns présuposés n'existent. aucune parncarte n'est là sur le bord de mon chemin afin de m'indiquer quelle chemin prendre. c'est affreux sentiment de délaissement, mêlé à la solitude, et au fait d'être complètment perdu, m'ont conduit à envisager cette solution. je me dis que si j'avais réellement eut envie d'en finir, j'aurai réussi, bien que j'ai essayé, je me dis que c'était une tentative, et qu'elle a échoué, parce que je l'avais décidé. » PSY - « il y a bien quelque chose qui te rattache à la vie, quelque chose auquel tu tiens ? » ROW - « ma soeur, c'est la meilleure chose qui me soit jamais arrivé. délaissé comme moi, elle a été là pour moi, je l'ai toujours protègé, aidé dès que je l'ai pu, je ne supporte pas de la voir triste, si je suis là, c'est pour elle, parce qu'elle m'a demandé de ne jamais, jamais recommencer. incapable de lui dire non, incapable de dire non a ses yeux bleux innocents, j'ai dis oui. elle est la plus belle chose qui soit arrivé dans ma vie, elle et la magie, c'est ce qui me rattache à ce monde. pour ma soeur, je reste, je m'attache à la vie, je me raccroche à elle, avec toute ma volonté, ma détermination et mon courage. » [...] PSY - « bien, c'est la fin de la séance. » ROW - « j'en tiens une couche non ? » PSY - « j'ai vu bien pire, mais quelques séances seront nécessaires. » ROW - « hum, combien ? » PSY - « un certains nombres, mais ne vous focalisez pas là dessus. » ROW - « bien, j'vous dois combien ? »
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini Ven 8 Mai - 23:06 | |
| voilà, c'est terminé ( je pense et j'espère ) |
| | | Romy Lolà Carmichael
jeunesse lève-toi. Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre.
Messages : 880 Age : 32 Camp : Du côté de Truescott. Vive la rébellion !
| Sujet: Re: « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini Sam 9 Mai - 10:20 | |
| Bienvenue sur Cave Inimicum, tout d'abord, merci de ton inscrpition, je te souhaite déja bon jeu sur le forum, ensuite, je te valide chez gryffondor, pour le côté déterminé, et courageux du personnage : )
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini Sam 9 Mai - 10:42 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini Sam 9 Mai - 12:10 | |
| Welcome !! Très belle fiche ! ;D Amuse toi bien ! =D |
| | | J. Dwayn McBright
justice ♦ Somebody help me
vos doubles comptes : Slytherin ; Teacher Messages : 1432 Camp : Du côté de Truescott. Vive la rébellion !
| Sujet: Re: « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini Sam 9 Mai - 14:42 | |
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| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini | |
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| | | | « militant quotidien de l'inhumanité. » • row ; fini | |
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