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 Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »

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MessageSujet: Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »   Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » EmptyVen 22 Mai - 23:18

Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » M795hx



« The height of cleverness is to be able to conceal it. »
Francois de La Rochefoucauld



    le moldu que tu es
      pseudo ou prénom : Cocoon ou Iymen ^^
      âge : 17 ans
      avatar utilisé : César Casier ~ ♥️
      code du règlement : La poudre d'escampette s'en va au loin.
      autre ? : Nop (=
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MessageSujet: Re: Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »   Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » EmptyVen 22 Mai - 23:19

& « Le monde s’ouvre à nous. Ou pas. »

    Je n’ai jamais ni compris le système du monde, et encore moins celui e l’amour. Ma vision des choses n’a jamais été très claire. J’ai toujours été ce genre de fille calme, néanmoins froide et stricte. Issue d’une famille plutôt modeste, si ce n’est très pauvre, je n’ai jamais eu de rêves de gloire, plutôt lucide, trop terre à terre. Je pense que c’est d’ailleurs là mon meilleur trait de caractère. Mais passons. J’ai arrêtée très tôt l’école, pour la simple et bonne raison que cela n’aboutissait à rien. Non mais sérieusement, hormis des jeunes femmes qui se faisaient sauter continuellement dans les toilettes, on y faisait rien d’intéressant. Alors j’ai arrêtée, et j’ai pris un poste de serveuse dans un café, au centre ville.
    Naturellement, j’étais ce genre de bombes brunes qui se faisait draguer par tous les vieux croutons du coin. Mains aux fesses, des avances, des pervers, et je n’hésitais pas à leur coller ma main à la face. Heureusement, je couchais régulièrement avec le patron pour qu’il me laisse la place. Oui, j’étais une vraie petite dévergondée, je l’avoue. Pour moi, si on a un corps, c’est pour en profiter, donner et recevoir du plaisir à titre égal. Oui, je suis plutôt libérée d’esprit.
    Pour en revenir à ma petite vie, je suis restée seule jusqu’à l’âge de 20 ans, environ. Seule, je parle de situation amoureuse hein. Je ne faisais que collectionner les histoires d’un soir. Jusqu’au jour où il franchit la porte du café miteux où je travaillais. Pour moi, il apparaissait tel un chevalier sur son cheval blanc, venant à ma rescousse. Rescousse de quoi ? Aucune idée. En tout cas, ce fut un vrai coup de foudre pour cet homme, qui apparaissait à ma collègue, Susie, comme un simple gars fauché ayant une barbe de 3 jours. Sympa. Cela dit, je ne me fie qu’à mon jugement. A partir de ce jour alors, je menais une vie pleine d’amour. J’ai arrêtée ma relation extravagante avec mon patron, qui me renvoya, j’ai pris congé et j’ai commencée à enfin rêver d’une belle famille et d’un mari comblé. Oui, j’aime rêver, même si je n’eus jamais eu le loisir de le faire. S’adonner à ce jeu indélébile me plaisait. Et ce qui s’ensuivit ne fit que plus me plaire. – Maxine Wilde. La veille de son mariage.

    ----


    Contrairement à ma femme, j’avais de l’ambition. Beaucoup d’ambition même. Sauf que vu mon état, rien ne pouvait être fait. J’ai été renié, oui, renié de part mon état. Issu de parents sorciers, très riches, de sang très pur, avoir un fils crocmol ne ferait que ternir leur image de grands dominateurs du monde sorcier. Je fus alors caché, malmené, jusqu’à ce qu’on me jette dans le monde des moldus et qu’on m’incite à vivre seul. Qu’on m’incite à mener une vie de vulgaire moldu. Cela me révolta, mais je ne pus rien faire. Oui, après tout, sans pouvoir, sans rien ? Alors j’ai commencée à mener ma vie normalement, faisant des études pour devenir avocat. Tout mes concours, sans exception, furent ratés. Coup du sort ou simple coïncidence, après que mon dernier espoir de gloire se soit envolé, je fis la rencontre de Maxine. Dans un café miteux, en plein désespoir, elle vint me voir et flirter avec moi. Je n’avais jamais porté une réelle attention aux moldus, surtout aux femmes. Certaines étaient bonnes au lit, mais bon, ce n’était là pas ma préoccupation première. La flamme et mon amour pour elle ne se fit pas attendre, et je m’étais étonné moi-même lorsque, seulement quelque temps après que notre relation se soit officialisée, je la demande en mariage dans un parc. Certes, la bague était en pacotille, je l’avais achetée à trois dollars. Mais comme on dit, c’est l’intention qui compte non ? C’est ainsi qu’on emménagea dans un quartier malfamé, et qu’on entama notre vie de couple. – Wilde. Certainement quelque jours après son mariage.
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MessageSujet: Re: Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »   Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » EmptyMar 26 Mai - 22:55

    Il y a certaine choses que l’on ressent de loin. Oui, comme ce qu’il ressentait actuellement. Séparé par son jumeau depuis un certain déjà, Zsanders était allé il ne sait où chercher quelque chose. Czeslas était resté devant la maison à s’amuser avec son vélo. Ou peut-être autre chose. De toute façon, il ne pressentait en fait que la présence lointaine de son frère. Il ne savait pas pourquoi, mais il n’aimait pas cette absence. Inquiet, perché sur son vélo, pédalant à folle allure, il traversa la rue, et commença à refaire la route qu’avait faite son frère quelques moments plus tôt. Le ventre serré, un cœur battant, il entendait des cries de loin. Il devina tout de suite de quoi il s’agissait. Quelqu’un s’en prenait à son frère, son jumeau. La scène se passait quelques rues plus loin, où trois garnements étaient contre son frère, ce dernier seul. Czeslas sentit une bouffée de colère monter en lui, soudainement. Elle grandissait du fond de son ventre, il se sentait envahir. Passant du chaud au froid, du froid au chaud, ses oreilles bourdonnaient, son ventre se tordait, son sang bouillonnait et ses petits poings se fermaient, se serraient. Il sentait ses ongles s’enfoncer dans la paume de ses mains. Tout devint noir. En proie à cette rage, cette haine, tel un automate, il fonça vers le petit groupe, composé de trois garnements, âgés certaine de 2 ou 3 ans de plus qu’eux. Occupés à frapper, violenter son frère en riant, ils ne remarquèrent la boule de feu foncer sur eux. Les coups jaillirent, il voulait se voir vider de cette haine, assouvir sa colère. Beaucoup d’énergie à revendre, depuis toujours, un petit garçon vivant, oui. Toujours à enter de nouvelles expériences, à découvrir l’univers l’entourant. Oui, il est de ceux qui aiment à percer les bulles, à contrer les éthiques, rétif, indocile, acariâtre. Il est de ceux qui aiment jouer aux bourreaux, déjà très jeune, il aimait à manipuler les autres, à en jouirent avant de les rejeter, simplement. Maintenant un jeune homme emporté, il ne l’avait pourtant pas toujours été, bien au contraire.

    ***


    & « Toi en moi, et moi en toi. »


    Assis sur le lit, d’un calme étonnant. Il venait de ranger sa chambre et s’apprêtait à faire ses devoirs lorsque son jumeau entra dans sa chambre, en trombe. Qu’avait-il encore fait ? Il sentait sa chaleur, son bouillonnement intérieur. Le nouvel arrivant s’installa sur le lit, serrant les poings, grinçant des dents. Le rouge lui était monté aux joues, il semblait vraiment hors de lui. Zsanders, de son calme étonnant, une malice dans les yeux, détourna son regard du vide pour le porter sur son frangin. Celui-ci avait maintenant un demi-sourire sur les lèvres. Zsanders devina tout de suite.
    « Tu as une idée hein ? »
    « T’en as marre de te faire punir, et j'en ai marre d'être le bon samaritain d'la famille. »
    Un demi-sourire de la part de Zsanders vint compléter le tableau des jumeaux diaboliques. Cette sensation de complétude, née avec eux, ce 13 juin, ne les a jamais quittées. Toujours présente, les deux frères avaient deux paires d’yeux, pourtant, ils voyaient la même chose. Oui, ils ne formaient qu’une seule et même personne, simplement partagée en deux. Les disputes ? Ils ne connaissent pas. Partageant tout, vraiment tout. Ce jour là, tout bascula. Il leur était aisé de passer l’un pour l’autre, et c’est ce qui fut fait. Zsanders devint Czeslas, et Czeslas, Zanders. Ainsi, ils se retrouvèrent métamorphosés, et depuis c’est ainsi que les choses fonctionnent. Ils sont les seuls à le savoir, hormis Cendres, personne d’autre n’est au courant, même pas leur parent.

    ***


    Lorsqu’il ouvrit les yeux, s’éveilla de sa transe, il était allongé auprès de son frère. Ce dernier tentait de se lever. Il avait le visage ensanglanté, il était vraiment mal au point. Czeslas sourit avant de se relever à son tour, comme si de rien n’était. Il avait l’habitude, des bagarres, les ecchymoses étaient une chose à laquelle il ne faisait plus vraiment attention, les bleus aux genoux, les beurres noirs sur la gueule, tout cela n’était qu’habitude, le train-train quotidien.
    « Laisse-moi t’aider. »
    Il tendit sa main à son frère, qui était aussi robuste que lui. Zsanders la prit avec le sourire et s’en retournèrent, quelque peu chancelant sur leurs petites jambes, vers la maison familiale. La ressemblance physique des deux jeunes était si frappante ! Ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eaux, leur physionomie identique, le moindre trait, la moindre parcelle du corps. Il était réellement impossible de les différencier. Son frère, à ses yeux, était, est et sera toujours tout pour lui. Leur amour est tel qu’il ne pourrait être décrit, non, ce serait se lancer dans un abîme sombre et sans issu. Les mots sont le reflet de nos gestes. Lui ne trouve aucun mot tant les gestes sont corrompus. Tant l'âme est en fusion.

    ***

    Pauvre petite chose enfermée. Depuis peu, les jumeaux Wilde avaient appris l’existence d’une petite fille, de leur âge, enfermée dans la maison du coin, celle constamment fermée. Piqué au vif, curiosité poussée à l’extrême, ils n’avaient qu’une envie : découvrir son existence. Ils ne savaient absolument rien d’elle. Normal, ils ne l’avaient jamais vue, cette gamine. Alors de leur esprit enfantin maléfique et curieux, ils avaient décidés de mener leur enquête et de s’introduire dans la maison. A pas feutrés donc, par une fenêtre laissée ouverte par inattention certainement, de la part d’une mère psychotique, ils parcoururent la maison, découvrant peu à peu un autre monde. Czeslas ne se sentait pas très bien. Être dans une maison, ainsi, inconnue, et interdite aussi. Il avait toujours été, à son sens, plus sensible que son ainé. Et pourtant, les gens voyaient souvent le contraire. Czeslas apparaissait plus cruel, plus infâme, alors qu’il pouvait l’être moins, bien moins, que son frère. Il prenait souvent ses bêtises sur son dos, parce que masochiste, parce que jouer au bon rôle ne lui plaisait pas. Parce qu’il s’en foutait, aussi. Parce que seule la stabilité de leur « couple » lui importait.
    Donc ils en vinrent à découvrir l’univers de la seule fille qui les connaitra réellement. Cendres. Lorsqu’ils la virent, elle était debout, calme. Un regard curieux se lisait sur son visage. Zsanders laissa flotter des mots entre eux, que Czeslas eut du mal à percevoir. Puis la gamine se mit à crier soudainement. Czeslas, aussi vif que l’éclair, se retrouva devant elle, et d’un coup sec, plaqua sa main contre sa bouche, étouffant le crie. Idiote. Crédule. Il l’avait trouvé, à cet instant, très bête. Ce fut la première, et la dernière fois également, qu’il la trouva sérieusement conne. Le reste se grava dans l’histoire et devint ce qui en est aujourd’hui...


Dernière édition par Czeslas Z. Wilde le Sam 30 Mai - 22:06, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »   Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » EmptyMar 26 Mai - 23:29

& « La beauté de l'âme se voit au clair de lune. »

    « Tu sais, le connard qui t’emmerdait.. Danjel. »
    « Hm ? »
    « Il est mort. Overdose. »
    « ... »

    Je ne sais pas si ce vide, ce trou profond dans mon cœur est du à sa mort. Peut-être que oui. Ou peut-être qu’il était proche de moi ? Ou étais-je proche de lui ? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Je n’ai plus aucun souvenir. Non, je n’ai plus que sensations, On dit que les meilleurs partent les premiers. J’en doute fort. Lui était loin d’être le meilleur. Il était l’être le plus farouche que je connaisse, ignoble aussi, sadique. Je le haïssais, comme beaucoup. Mais personne ne lui tenait tête, il était celui qui fournissait tout le monde en drogues, et tout ce qui s’ensuivait. Moi, jamais. Sauf qu’il ne pouvait s’empêcher de venir me voir, juste pour m’emmerder, comme toujours. Il avait ce regard animé, ce regard scintillant et ce sourire au coin des lèvres. Aujourd’hui, sa mort. Ce qui m’affecte dans tout cela, c’est cette indifférence, ce froid que je ressens lorsque je pense à lui. Au lieu de le détester, ou de l’aimer, ou d’en pleurer, je reste de marbre. Cette indifférence me tue à petit feu, et je n’y peux rien. Je me dégoute moi-même de cet état de non sentiments. De non-conscience.

    ***


    Ses jambes fléchirent, le noir l’envahit, il sentait le sol approcher dangereusement, et lourdement, sa tête heurta le sol, il se retrouva sur le dos. Il avait senti, il avait vu le poing arriver, mais il n’avait rien fait pour l’éviter, alors que cela aurait été possible, oui. Il était d’une nature très violente, peut-être trop même, mais là, il n’avait pas riposté, pas esquivé. Il s’était laissé faire telle une mauviette. Il sentait ses forces le quitter, peu à peu, cette sensation sale, dégoutante, le répugnait. Il l’avait frappé avec une telle force, il sentait le liquide, un liquide lourd couler au niveau de la commissure de ses lèvres, descendant de plus en plus bas, son menton, son cou, au creux de son épaule...
    Ses yeux s’entrouvrirent doucement, parsemées de brillantes étoiles. Il n’arrivait pas à discerner correctement qui il avait devant lui, mais il le sentait, oui, il s'était approché. Mais au-delà de cette simple vue, il y avait une grandeur, il voyait le tapis étoiles, la lune pleine, le ciel splendide qui lui offrait cette vue époustouflante. Que pouvait-il rêver de mieux qu’une bonne nuit glaciale pour lui remettre les idées en place ? Ses yeux entrouverts se refermèrent, se laissant baigner par le vent. Un désir ardent de s’assoupir, sauf que le poids soudain qu’il sentit sur lui ne lui en laissa pas le loisir. Danjel. Son agresseur. Il sentit ses doigts s’entrelacer, il avait deviné dés le début. Il l’avait senti venir, et il en jubilait. Son corps commençait à s’animer, il reprenait ses esprits, il revenait à la réalité, ses pulsions, son désir de le tenir ferme contre lui... tout cela revenait telle une vague géante, envahir son cœur, son âme. Involontairement, ses yeux s’ouvrirent. Le regard pénétrant qu’il vit lui glaça le sang. Ce regard profond, ses yeux bleutés enflammés, son visage désireux, ses traits fins... Czeslas n’avait jamais remarqué, auparavant cette beauté, oui, cette beauté banale au grand jour, et pourtant si éclatante la nuit tombée, sous un ciel poussiéreux d’étoiles étincelantes. Ses yeux reflétaient son désir, Czeslas ne l’avait jamais remarqué. Il lisait en lui, pour la première fois, comme dans un livre ouvert. Penché, Danjel n’était qu’à quelques centimètres du visage pâle du jeune homme allongé. Ce dernier, obnubilé par cette vue, nageant dans l’océan de ses yeux, ne sentait que le souffle chaud glissant contre sa joue, pénétrant ses pores, le faisant frissonner à chaque instant. Lorsque ses lèvres s’approchèrent, l’effleurèrent, il sentit son corps tout entier s’apaiser soudainement, tandis que son excitation grandissait au fond de son ventre doucement. Le reste est facile à deviné.
    Il ne s’était jamais senti attiré par lui. Bien au contraire. Mais d’une nature lunatique, et parce qu’on ne pouvait expliquer ce soudain intérêt de Danjel envers lui, Czeslas se laissa faire. Y pouvait-il quelque chose ? Il savait que, depuis toujours, certaines choses ne pouvaient être expliquées. Comme le vent frais de cette soirée, comme le souffle chaud de ses baisers. Aussi bizarre soit-elle, cette situation, et inexplicable, il en jubilait intérieurement. Cette soudaine excitation l’ébranlait quelque peu.
    Cette nuit fut de loin la meilleure, mais surtout la plus Belle. Elle fut gardée néanmoins secrète. Il y a certaines choses qu’on ne peut se permettre de dire. Celle-ci, Czeslas n’en fit part à personne, même pas son double, son frère, ou bien Cendres. Non, il garda cela pour lui. Son secret, avec Danjel. Scellé par sa mort, enfouit, il l’espérait, à jamais. Mais peu à peu, les sentiments refont surfacent. Y peut-on quelque chose ? Après tout, il n’était qu’un être humain comme un autre, pouvant se montrer très...sensible, fragile, délicat, vulnérable. Mais ce sont là des adjectifs qui ne représentaient que sa personnalité enfouit profondément en lui.

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MessageSujet: Re: Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »   Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » EmptySam 30 Mai - 21:53

& « Le monde est infâme, mais je le suis encore plus. »


    Ses courbes en chocolat, sa démarche sensuel, son rire amusé, son regard désireux. Il la voulait, et pour le moment, elle se bornait à lui résister. Il faut avouer qu’elle avait un copain, dont il ne savait pas le nom. Il s’en foutait à vrai dire. 6 mois déjà, 6 mois qu’il la voulait dans son lit, et le soir tant attendu était enfin arrivé ! Il faut dire qu’il avait tout planifié depuis le début, oui, tout début.
    La jeune femme sortait avec donc ce fameux garçon, et ils étaient fous amoureux l’un de l’autre. Le mot d’ordre dans leur couple : confiance. Mais surtout, grosse connerie selon Czeslas : fidélité. Il trouvait cela pathétique, vraiment, et puis très puérile. Avouons-le, lui, depuis ses débuts dans les déboires amoureux, il n’avait pas tenue une fille de plus d’une semaine. Il se lassait très vite des choses, et cela, rares étaient les personnes qui le comprenaient. Lui étant plutôt lascif, ouvert, charmeur, il savait aisément amadouer les gens, surtout les filles, et elles lui résistaient difficilement. Oui, de ses yeux bleus, de sa façon d’être, de sa douceur, il aimait se donner pour recevoir. C’est ainsi qu’il jeta son dévolu sur cette jeune femme, petite brune assez intéressante.
    Czeslas avait tout calculé. Aidé de son amie Cendres, (la seule qu’il ne tenta jamais de mettre dans son lit), il trempa le copain de la désirée dans de sales draps, dans des affaires louches. Lui-même ne savait pas trop en quoi cela était, en tout cas, il fut ravie d’apprendre que la jolie brune cassa, rompit, avec ce mec. Toujours avec Cendres donc, celle-ci entraina la jeune femme dans un bar, où se trouvait déjà le garçon. Elle semblait réellement désespérée, on la fit boire, un peu, beaucoup.. Assez en tout cas pour qu’elle jette enfin son dévolu sur Czeslas, lui qui ne demandait que ça. Sans foie ni loi, sans pitié, il la prit par la taille, et la dirigea vers la sortie. Prude jeune femme aux allures de femme, il espérait qu’elle ne comptait pas lui échapper, mais déjà, elle passait ses mains sous le pull en V du jeune homme. Un sourire enjôleur se dessina sur ses lèvres. La nuit allait être plutôt...Coquine. Peu à peu, ils arrivèrent devant l’habitation imposante de la jeune femme. L’ingénue l’entraina avec elle dans sa chambre, toujours se frottant à lui. Sa libido ne voulait pas attendre apparemment, elle augmentait secondes passantes.
    Il n’est pas nécessaire de conter la suite. Ce ne fut pas la meilleure nuit de sa vie, à Czeslas, néanmoins, elle comptait parmi ses meilleures proies. Des mots doux, des bouteilles au coin du lit, un bourrage de gueule extrême, des déboires racontés, des galipettes, des griffes. Une nuit assez torride, qui monte haut dans son classement. Oui, parce qu’il tient un classement depuis ses 14 années. Dés lors, il avait compris, de loin, que ce monde de débauches allait voler haut pour lui, qu’il en jouira encore et encore dans les jours à venir, les années...Et puis jusqu’à la fin de ses jours ? Peut-être.
    Lorsqu’il ouvrit les yeux, le soleil filtrait déjà à travers les rideaux blancs de la chambre. Ils venaient lui chatouiller avec douceur le visage. Il s’étira et sentit une forme recouverte à côté de lui. Ah ouais, la fille d’hier. Il soupira, regarda sa montre : il se faisait tard. S’extirpant de son lit, il prit soin de ne pas trop la gêner dans son sommeil, néanmoins, elle bougea tout de même. Il espérait simplement s’enfuir en douce. Il trébucha contre des bouteilles vides, avant de rejoindre enfin ses vêtements, posés par terre, au milieu de la pièce. Déjà son jean, la première jambe passée, entamant la seconde, la jeune femme s’était levée à moitié, tournant sa tête vers lui. Elle était vraiment dans un état pitoyable, ses cheveux ébouriffés, des yeux rouges... Hm. Qu’avait-il trouvé de beau chez elle déjà ?
    « Oh j’ai maaaal... Tu t’en vas déjà ? »
    « Hm oui, rendez-vous. »
    Il lui fit un sourire furtif, continuant de s’habiller, et titubant vers la porte de la sortie. Il n’avait aucune envie de lui parler et l’atmosphère de la chambre commençait à se faire pesante.
    « Non, par la fenêtre...si ma mère te voit, elle me ferait une crise. » Fit-elle d’une voix endormie.
    Il fit donc demi-tour et se dirigea vers la fenêtre.
    « On se reverra ? »
    Il ouvrit la fenêtre, regarda la hauteur qui le séparait du sol. Il allait certainement avoir mal en tombant.. Bah, tant pis.
    « Heu...je t’appellerais. »
    Il s’aida de ses mains, passa les deux jambes.
    « Sûr ? »
    Il était déjà en bas, il avait vu la jeune femme courir vers la fenêtre. Elle lui fit des signes de la main, tandis qu’il courait vers le portail, qu’il escalada, ignorant délibérément les gestes affolés de la jeune femme, pleurant. Il ne la rappellerait jamais. Il n’avait pas que ça à faire. Il avait d’autre proie à avoir. Il ne prenait aucun plaisir à faire du mal à ses filles, non, ce qu’il voulait, c’est cette passion, ce sentiment de vouloir cette chose qui ne voulait pas céder. Il ne faisait cela qu’avec celles qui le méritaient, oui, celles qui se voulaient désireuses, celles qui méritaient une attention particulière, celles qui lui résistaient. Le désir est une recherche constante d’assouvissement orgasmique.
    Il n'était pas un méchant garçon, non...Il était bien pire. Il pouvait être très ouvert, comme très fermé, très secret, mystérieux. Cette personnalité paradoxale avait un rapport directe avec ce lien si particulier qu'il avait avec son jumeau. Comme la fois où Zsanders avait fait une bêtise, pour assouvir ses envies, il avait frapper avec plaisir malsain une jeune femme, sa copine, dont il ne se rappelait plus le nom. Bien heureusement, Czeslas, qui était plus connu pour son côté impulsif, irréfléchie, emporté, avait au contraire gardé tout son sang froid, son flegme et avait tout contrôlé. Il savait être mature, être ce qu'il devait être aux bons moments. Et ce serait là certainement sa plus grande qualité. Savoir se conformer aux situations.
    La vie est si pathétique. Il faut savoir lui ajouter du piment, parfois. Ou souvent. Voir tout le temps.
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MessageSujet: Re: Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »   Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » EmptySam 30 Mai - 22:06

    & voila. Fiche officiellement terminée ! (=
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MessageSujet: Re: Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »   Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » EmptyDim 31 Mai - 15:55

    Bonjour, *encore un gay-bi sur le fo ? *o*

    Bref. Je vois très bien Cze à Serpentard. Ceci te convient t-il ?
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MessageSujet: Re: Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »   Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » EmptyDim 31 Mai - 16:02

    Hanwaii *Q* que veux tu, je suis très ouvert (a)

    ça me va trèèèès bien ♥️ Mercii =D
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MessageSujet: Re: Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. »   Czeslas Z.W « The height of cleverness is to be able to conceal it. » Empty

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