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 Les gens sont tous de vrais trouillards sous leur parapluie; francesco

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Romy Lolà Carmichael

    jeunesse lève-toi. Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre.

Romy Lolà Carmichael


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MessageSujet: Les gens sont tous de vrais trouillards sous leur parapluie; francesco   Les gens sont tous de vrais trouillards sous leur parapluie; francesco EmptyDim 24 Mai - 17:02

Les gens sont tous de vrais trouillards sous leur parapluie;


    Les yeux cernés de noir, le regard dans le coltar, assise sur sa couverture noir, et broyait un peu de noir. La serdaigle à la candeur dans le regard ne voulait pas rester seul dans le noir. Elle ne voulait pas resté seul dans l'obscurité, mais pourtant elle éprouvait ce besoin, celui de la solitude prolongé. Ses jambe croisé en tailleur, ses mains l'une dans l'autre, se serrant mutuellement, elle pensait. Ses grand yeux cerné de noir fixaient la porte, droit devant. L'entrée du dortoir où la silence était régnant. Ses regard divaguait. De la porte, vers la fenêtre, dépourvu de cet air joyeux, gaie qui hantait autrefois ces deux saphirs étincelant. L'après midi bien avancé de ce samedi après midi aurait dû conduire à la désertion du dortoir et de la salle commune, que ne nie. Il pleuvait dehors. Il pleuvait, encore et encore. La chute perpétuelle des gouttes de pluie était incessante depuis deux jours. Le mois d'octobre amenait toujours sur le château cette pluie, ce froid, et cette mélancolie passagère. I can still recall, our last summer. La mélancolie de la chaleur passé, des amour passé. La pluie avait ce don, celui de faire sortir cette mélancolie de l'homme, elle rappelait sans cesse ces souvenir, cet effet thérapeutique, il était propre à la pluie, si douce parfois, si froide, et pourtant si agréable. Perdu cette après midi là, elle pensait. Devant ce grand ciel gris, tout devient vite désillusoire, affalé sur son lit, il fallait qu'elle oubli. Elle se laissa tomber sur le dos. Doucement, les coussins et la couverture confortable laissèrent le silence intact durant sa chute. Ses yeux azure cernés de noir fixaient le plafond, si haut, si loin. Les bras en croix, ses cheveux éparpillés, mal coiffé, décoiffé, emmêler, brun et épais tombaient eux aussi sur la couette. Elle déplia ses jambes croisées en tailleur, et les laissa s'allonger sur le lit. Des dizaine de choses lui traversaient l'esprit. Tant de question, où il serait si facile de répondre oui. Tant de question sans réponses. Pour une rare fois, les pensées de la serdaigle ne se concentrait pas sur Dwight, non, ça c'était finit, le passé appartient au passé, et il est temps de se tourner vers l'avenir, il avait cesser d'hanter ses pensées, alors qu'il les hantait depuis si longtemps. Elle aurait cru que la pluie ressasserait le passé, mais son eau fraiche et surprenante avait lavé le passé, lavé ses pensées.

    Un lavement de pensée qui la sorti alors de sa réflexion, de sa torpeur réflexive. La sorcière, attrapa son pull gris, posé au son lit, un peu en chiffon ( en même temps, qui a dit que les filles étaient elle plus forcément ordonné que les garçons ? Pas romy en tout cas, même ses deux frères étaient plus ordonnés qu'elle au sujet des vêtements, en revanche, allez savoir pourquoi, les cours de la sorcière étaient ordonnée à la perfection; les mystères féminins, qui essaye de trouver la solution s'y perd. ). Elle enfila le pull, dont les manches un peu longue pour ses bras, lui tombait sur les mains, elle du remonter les manches afin qu'elle puisse saisir quelque chose, ne serai ce qu'une poignée. Deux filles du dortoirs la regardèrent étrangement, se demandant si oui ou non elle allait sortir par ce temps pluvieux. Romy n'y prêta guère attention, et attrapa dans son sac son nécessaire de survie, soit un paquet de cigarette, et son briquet. Ça c'était la seule chose que son frère lui reprochait, fumer. Enfilant machinalement ses chaussures, elle remonta légèrement ses chaussettes d'étudiante qui étaient légèrement tombées sur ses chevilles, et tapota sa jupe pour qu'elle se remette comme il fallait. Elle quitta le dortoir sans crier gare. Liz n'était pas là, tant pis, elle avait beau la cherché du regard, elle sortirai toute seule. La salle commune était bondée, bondée la pluie avait contribué à cette concentration des cerveau étudiants sans l'ombre d'une hésitation. Rien ne retenait la sorcière à l'intérieur. Machinalement elle descendit de la tour, traversant des couloirs, descendant les fameux escaliers ( ceux qui en première année font ce qu'ils veulent de vous et vous perdent de nombreuse et de nombreuse fois, sauf si vous avez la chance d'avoir quelqu'un vous ayant appris comment fonctionnait le bordel infernale des escaliers ). Elle traversa alors le hall, complètement désert, forte heureuse de n'avoir croisée personne pour lui chercher des noises, elle sorti alors à la pluie.


    Elle laissa la pluie, forte et froide dégouliner sur ses cheveux, sur son visage sur ses vêtements. La sorcière avait toujours aimé être sous la pluie ( ou grand damne de sa grand mère qui ne supportait pas avoir des traces humides sur son paquet en pins ciré, vitrifié et ni même sur ses tapis en laine. ). Elle due rester près de dix minutes sous la pluie, et quand elle fut complètement trempée, elle rentra, s'abriter à quelque mètre de là, à l'entrée du hall, qui était toujours aussi vide. Elle essuya l'eau sur son visage avec sa manche trop longue, puis sorti de sa poche ses cigarettes ( qu'elle avait bien soigneusement protéger de la pluie, si elles avaient été mouillé, essayer donc de les allumer. ). Elle porta à ses lèvres une cigarette. L'allumant de l'autre main, elle rangea alors le briquet dans sa poche. Quelque personne ne l'aurait jamais cru capable de fumer, oui, quelque personne trop occupé à s'arrêter à l'image sage, rangée, et prude de la jeune fille. Ceux qui ne s'occupe que des apparences sont des cons avait dit une fois romy, elle méprisait ces putain d'apparence qui lui avait bouffés la vie, tout ces préjugés cultivé par l'image qu'avait voulu sa grand mère d'elle, la petite fille, rangée, douce calme. Mais vous savez plus on demande à quelqu'un de lutter contre sa nature plus ce quelqu'un fait tout pour devenir ce qu'il est. Romy en avait marre de se battre pour l'image que quelqu'un voulait qu'on est d'elle. Pourquoi se soucier de ce que pense les autres quand ce que l'on pense de soi suffit ? Parce que comme l'a dit Sartre, autrui est le médiateur entre moi et moi même. Quel abruti ce Sartre. Appuyée contre le mur, elle fumait tranquillement sa cigarette, laissant son regard divagué vers l'extérieur, le bruit de la pluie tombant ce le sol, donnait à ce moment une atmosphère étrange, comme si le temps n'avait aucun impact. Fascinée par la pluie, elle en oubliait le reste, hormis sa cigarette.



voilà, c'est pas top, mais c'est tout ce que j'ai réussi à faire (a)
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Francesco P. Rucci

Francesco P. Rucci


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MessageSujet: Re: Les gens sont tous de vrais trouillards sous leur parapluie; francesco   Les gens sont tous de vrais trouillards sous leur parapluie; francesco EmptyMer 17 Juin - 12:18

    Ps: J'ai adoré ton rp, t'as un super style d'écriture, moi là c'pas tip top ._. désolé

    Pour une des rares fois où il se trouvait dans la salle commune, Francesco était en train de réviser. Je dis bien était, car celui-ci venait de s’assoupir, en même temps ayant passé une journée assez chargé entre les entrainements de quidditch et le travail donné par les professeurs, fallait savoir un peu faire la part des choses. Francesco était installé sur un fauteuil juste en face d’un ancien vitrail qui permettait de laisser entrer quelques rayons de soleil, du moins lorsqu’il ne pleuvait pas. En l’occurrence, ce jour-là il pleuvait à torrent, une berceuse idéale pour Francesco, surtout lorsqu’on révise. A ce qu’on dirait les révisions de défense contre les forces du mal vont devoir attendre. Parfois quelques coups de tonnerre le sortaient de son sommeil. Du moins, si l’on pouvait appeler cela : ‘Sommeil’. Plutôt sommeil agité. Ces coups de tonnerre lui rappelaient étrangement une journée qu’il avait vécue. Celle ou il se fit mordre par un loup-garou. En faites on pouvait dire que Francesco cauchemardait. Couché sur le flanc, il ne cessait de se tortiller. Il transpirait aussi énormément.

    ~ Back in the past.

    Cela faisait une dizaine de jours que Francesco venait d’avoir ses 10 ans. Avec son grand frère, ils avaient joué dehors toute la journée, puisque Carlisle était en vacances. Il fallait bien en profiter et essayer de passer au moins une journée de bien dans toutes ses vacances. Cela tombait bien puisque le père des deux jeunes c’était absenté durant la matinée et reviendrait vers la fin de journée. Les deux frères en profitèrent. Une fois épuisaient, Carlisle et Francesco s’étaient rendu dans le parc situé à deux pas de chez eux. Ceux-ci c’étaient couchés sur le gazon mouillé, mais ça ne les gênaient pas. Il contemplait le magnifique coucher de soleil. On aurait dit que le soleil plongé dans un lac plein de sang, ce paysage était magnifique. Mais c’est fou comme un orage peut arriver aussi rapidement, en quelques minutes, le temps avait basculé d’un rouge au noir. La pluie commençait à tomber, réveillant ainsi les deux frères qui s’étaient assoupis. Ces deux là se précipitèrent pour se mettre à l’abri, il pleuvait beaucoup trop pour qu’ils fassent le chemin jusqu’à la maison à pied. Le tonnerre commença à tomber tandis que les deux enfants s’inquiétaient de passé tout la soirée ici. Mauvaise idée de s’être abrité à côté du parc, puisque depuis quelques jours rôdait une sorte de loup, peut-être même un loup-garou, mais ni Carlisle et Francesco ne pouvaient s’en douter.

    La pluie commençait à s’atténuer, mais le tonnerre continuait de retentir. Les deux jeunes pensèrent que s’était le moment idéal pour rentrer chez eux. Mais d’un coup un éclair tomba dans les alentours, et avec s’accompagna un hurlement long et assez roque. Peut-être un chien qui se prenait pour un loup. Ma foi à cet âge-là on ne pense pas à l’existence des créatures comme les Loup-garou. Ce hurlement déstabilisa les deux enfants, qui s’arrêtèrent sur le coup. Attendirent un peu puis se remirent en route. Puis un autre coup de tonnerre, et en l’espace d’une seconde, l’éclair laissa place à un loup-garou, une immense créature se trouvait désormais en face de Francesco et Carlisle. Francesco avala sa salive, Carlisle se tenait à sa manche. Et en entrouvrant ses lèvres, Francesco murmura :


    « Je crois, qu’on devrait courir… »

    Paroles dites, vite appliqué. Francesco et Carlisle coururent comme jamais il n’avait couru. Francesco était à la traine, Carlisle était plus vif et avait l’habitude de courir, tandis que Francesco avait tendance à affronter les choses, mais essayait de tenir tête à un loup-garou, littéralement impossible surtout à cet âge-la. Rien à faire après une course interminable, le Loup-garou le saisit avec sa mâchoire au niveau de l’épaule. Puis ensuite les griffes de la créature vinrent lasserait son torse afin de l’attirer vers lui. Il n’eut pas besoin d’un grand mouvement pour déchirer le T-Shirt de Francesco, et sa chair s’ouvrit comme l’on déchirait un morceau de plastique. Puis un autre coup de tonnerre survint, Francesco venait de perdre connaissance, il distinguait juste quelques forme dont la créature qui l’avait saisit. Mais en même temps que ce précédent coup de tonnerre, il put entendre un cri : ‘expeliar…’, était ce qu’il avait entendu, et un éclair rouge aussi.

    ~

    Francesco se réveilla en sursaut, son visage perlait de sueur. Il passa sa main sur son épaule, la où, on l’avait mordu, et se massa, sa cicatrice le titillait. Il tenta de garder son calme mais c’était impossible. Il sortit de la salle commune et s’en alla au toilette, il se pencha au dessus de l’évier, laissant couler l’eau chaude qu’il venait de se jeter au visage. La vapeur avait recouvert le miroir en face de lui. Il prît la serviette pour s’essuyer et avec sa main parcouru le miroir afin de se voir dedans. Il avait mauvaise mine. Il jeta la serviette au sol et sortit des toilettes pour se diriger vers le hall, là ou il était autorisé de se fumer une clope. Il ne mit pas loin de cinq minutes pour y arriver. Sa clope se trouvait déjà entre ses lèvres. Mais le comble c’est qu’il n’avait pas son briquet. Quelle veine ! Mais peut-être une personne généreuse allait se trouvait au hall et pouvoir lui passer un briquet. En effet se trouvait une fille qu’il connaissait bien, c’était Romy, même de dos, il parviendrait à la reconnaître. Sa position, ses manière, aucun doute c’était bien elle. Il prît entre ses mains sa cigarette et lui dit :


    « Tu sais qu’une fille qui fume c’est pas très élégant ? », dit-il en lui adressant un petit sourire. Il s’appuya au pilier se trouvant à proximité de lui. « Dit-moi tu aurais un briquet s’teuplait ? J’ai beau avoir tout ce qu’il faut d’habitude mais j’ai oublié ma baguette et mon briquet dans le dortoir. »

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Romy Lolà Carmichael

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MessageSujet: Re: Les gens sont tous de vrais trouillards sous leur parapluie; francesco   Les gens sont tous de vrais trouillards sous leur parapluie; francesco EmptyVen 26 Juin - 23:23

    On dit que fumer est une mauvaise choses. Peut être pensa Romy. Et alors ? Les mauvaises chose font peut être des gens qui les font de mauvaises personnes, mais qu'importe. Des dizaines, des centaines, et des milliers de gens fumaient. On avait certes une chance sur deux de mourir de la cigarette, oui, mais on meurt tous un jour, tôt ou tard, personne n'est éternel, rien, ni personne hormis ( paraît il ) les diamants.. La sorcière était appuyé contre le mur, quand on la sortie doucement de ses pensées, où elle était plongé depuis de longue et douce minutes. La pluie berçait la serdaigle, tranquille. De longs jours, de très longs jour qu'elle ne s'était pas sentie ainsi, apaisé. Rien, rien ni personne ne la tourmentait. Une sensation de bien être, de sérénité, de paix. Ne pas aimer, c'est ne pas souffrir, telle était la conclusion qu'elle en avait brillamment tiré. On ne comprend le mal que fait l'amour après avoir eut le coeur brisé, une fois, et une seule fois suffi à nous prévenir. On dit qu'il vaut mieux prévenir que guérir, mais dans le cas de l'amour on peut tenter de prévenir, mais la personne que vous prévenez ne verra dans votre voix qu'un écho lointain, dont il ne parviendra pas à déchiffrer la sens, qui lui semblera être un bruit, et non des paroles sensé. On ne comprend que le malheur d'aimer après l'avoir vécut, subie, compris. On pourrait se dire que l'on ne retombera jamais amoureux, mais là, l'homme est un paradoxe, masochiste jusqu'au bout, il re-aimera, et re souffrira sans doute, car rien n'est éternel. Vous rencontrerez peut être l'homme de votre vie, peut être vous aimera t il autant que vous, mais la vie, elle vous le prendra peut être.

    Francesco, elle le connaissait, c'était ce que l'on pouvait dire. Elle se contenta de sourire lorsqu'il lui dit que les filles qui fumaient, ce n'était pas très élégant. Mais, par le vieux dumbledore qui gît six pied sous terre, les femmes ont elles toujours envies d'être élégantes ?! Ne pourraient elles pas être elles mêmes ne serait ce qu'un seul instant ? Un seul instant, ne devraient elles pas poser les masques, et devenir des femmes normales voulant être elles mêmes, et non des poupée stéréotypée, devant être élégantes ? A cette instant, la sorcière brune posa son regard azure sur lui. On disait souvent que le regard de la sorcière était du genre à déstabiliser. Elle esquissa un sourire, ne relevant pas tout de suite sa phrase. Elle porta de nouveau, sa cigarette à ses lèvres. Il lui demanda alors, si elle possédait, là maintenant, tout de suite un briquet. Évidement. Elle n'avait jamais pris le risque de se servir de sa baguette, depuis qu'elle avait vu les cheveux de son frère aîné prendre feux tandis qu'il allumait sa cigarette à l'aide de sa baguette. Francesco avait tout oublié dans son dortoir, cela arrivait, à tout le monde. Il arrivait à romy d'oublier beaucoup de chose, ses livres, ses cours et bien sûr en tant que serdaigle avéré, cela la mettait en rogne, et une romy en rogne ce n'est pas beau à voir, c'est un être speed, chiant, qui ne supporte absolument aucune, aucunes réflexions !

    Les yeux de la sorcière se baissèrent le temps qu'elle expire un peu. Y'en a qui font des trucs avec leur fumée. Romy n'y arrivait pas, et ce n'était pas faute d'y avoir essayer, son frère lui avait dit, «  va y romy, regarde et applique ! » mais rien a faire, elle n'y arrivait pas, pas du tout. Manque de chance pour elle la plupart des fois où son frère avait tenté de lui apprendre, la grand mère vieillarde et repoussante les avaient engueuler après les avoir surpris à fumer. Que voulez vous, des gosses pour elle n'avaient tout simplement pas le droit de, fumer, sortir, boire, s'amuser, et avoir des relations avant le mariage. Autant vous dire qu'avec elle ce n'est pas vraiment la joie tout les jours ! La sorcière sorti de la poche un briquet qu'elle lui tendit, en lui adressant un sourire, et dit alors avec humour, et pour relevé la première phrase du jeune homme; Tiens, mais les garçons qui fument, ce n'est pas très élégants ! Elle sourit alors, et le regarda jusqu'à ce qu'il prenne le briquet qui se trouvait dans le main de la jeune fille.


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