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| ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h | |
| | Auteur | Message |
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Hope P. L. McGwen
fornicatrice de serpents • la zoophilie est un art
Messages : 87 Camp : Du côté de Gallner. Discipline, autorité et sadisme !
| Sujet: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Dim 17 Mai - 18:31 | |
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Hope Poppy Lane McGwen; (c) Opium
nom; McGwen. Un nom qui me vient de mon père, ayant lui même été transmit par ma grand-mère. Car avant le mariage de mon père avant ma mère, c'était le nom des femmes qui se transmettaient. En principe, cela aurait donc dû être celui de ma mère, Lane. Sauf que la veille, ma grand-mère, en avait déjà décidé autrement. Comme d'habitude. prénom; Hope. Pour une fois que ma mère a décidé, voilà ce qu'il est est advenu. Cela vous arrive-t-il souvent d'appeler vos enfants Espoir? Pourquoi pas Victoire ou Compassion... âge; Oh, j'ai dix-sept ans. La majorité. Mais dans quelques mois, j'attendrai mes dix-huit ans dans quelques mois. Quatre pour être précise. Mais ça, je doute que ça vous intéresse. date de naissance; J'aurais pu dire que je m'en souvenais. Mais seuls les écrits et les dires de mes proches m'informent que je suis née le dix-sept janvier. lieu de naissance; Londres. A l'Hôpital Sainte-Mangouste, comme tout sorcier qui se respecte. Dans la chambre numéro cent diz-sept. lieu de résidence; C'est une chose très étrange. Bien que mes parents étaient des Irlandais et que je suis nés dans le pays de ces satanés Anglais, j'ai vécu jusqu'à mes onze ans en Finlande. Mon père a, depuis cette date, acheté une résidance secondaire dans les alentours de Londres. nationalité; Irlando-Finlandaise
▄ curiculum vitae
composition de votre baguette : Alors, parlons un instant de ma baguette. Elle est faite de bois, comme toutes. Mais, surtout, il s'agit de bois de rose. Elle contient une plume d'Augurey et doit, approximativement, faire dans les vingt-sept centimètres. année d'étude : Huitième année, darling ! pas de graoouu cette fois-ci *out* la forme de votre épouvantard : Sans aucun doute, il s'agit de son frère, de dos. la forme de votre patronus : Il s'agit d'un koala. Elle ne sait pas pourquoi il en est ainsi mais, du moment qu'il la protège, elle ne se pose pas de question.
- Spoiler:
pseudo ou prénom : Zawi âge : 19 ans depuis très peu de temps avatar utilisé : Irina Lazereanu code du règlement : La poudre de cheminette s'en va au loin autre ? : Design Ma-gni-fi-que. J'adhère entièrement. Et aussi à l'intrigue (L). Enfin des choses qui changent !
Dernière édition par Hope P. L. McGwen le Ven 29 Mai - 23:41, édité 7 fois | |
| | | Hope P. L. McGwen
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Dim 17 Mai - 19:06 | |
| ▄ la fiche d'indentifcationdescription physique
«S'il y a bien une chose intéressante que peut nous apprendre un minimum d'expérience, c'est que, premièrement, la première rencontre détermine souvent l'attitude d'une personne. Mais que surtout, les apparences sont trompeuses.»
07.00. Réveil en douceur. Hope ouvrit un œil. Puis le second. Arquant son sourcil, elle se redressa sur un coude, balaya la couverture qui l'enveloppait d’un revers de main, secoua sa tignasse entremêlée tandis qu’un profond bâillement s'échappait de sa gorge. La jeune fille se frotta les yeux, les écarquilla et mit pied à terre. Elle se leva, tituba, puis se laissa tomber au pied de son lit. L’œil hagard, elle regarda la salle d’un mouvement circulaire, remarquant qu’elle était la première levée mais que, par chance, le soleil commençait déjà à poindre, enveloppant le dortoir d’un halo lumineux quasi-surnaturel. C’était l’avantage d’un début de printemps. Un avantage dont toutes les autres filles semblaient ne pas profiter, préférant sûrement la chaleur et la douceur d’un bon lit au lever du soleil. Et dans un sens, elles avaient raison d’en profiter. Car des jours plus durs ne tarderaient pas à arriver, amenant avec eux les examens de fin d’année, le stress, l’insomnie & les révisions de dernières minutes. Le tout contribuant à un manque de sommeil certain difficile à rattraper. Puis, après avoir fait cette petite visite silencieuse des personnes, le regard de Hope se posa sur l’amont de cahiers posés sur un bureau, non loin de là. Cette seule pensée fut le déclic. Car pour pouvoir finir tous les devoirs imposés par ses professeurs, il fallait bien commencer par se lever. Retentant alors l’expérience, la jeune fille essaya de se lever à nouveau, tituba une seconde fois. Mais ses pieds, fixement ancrés, soutinrent son poids, ce qui lui permis de partir vers son dessein. Marchant d’un pas rapide vers la sortie de la salle, elle passa devant un miroir, lui faisant remarquer qu’elle était toujours en tenue de sommeil. Sans attendre, elle s’habilla et repartie dans la direction qu’elle avait suivie au début. Regardant une dernière fois la salle, son regard se porta directement sur elle. Sur le portrait que lui reflétait le miroir qu’elle avait installé devant son lit. Qu’elle … un grand mot. Que les autres auraient été plus juste. Puis, elle se regarda.
«J’ai le teint pâle. Pas blanc contrairement à ce que d’autres pourraient penser. Juste pâle. Mais, par chance, il prend des couleurs facilement, évitant ainsi que les élèves ne me prennent pour un de ces fantômes qui hantent l’école. Avec quelques tâches de rousseur par-ci par-là.»
Hope s’avança un peu plus, se pencha en avant dans une position légère, espérant ainsi avoir plus de facilité pour s’observer.
«Prenant cette position, je trouve que se sont mes yeux qui ressortent le plus. De part leur couleur, c’est certain. Car ils sont bleus clair, légèrement glacés, même si leur couleur n’a aucun rapport avec le pétillement constant, symbole de la volonté de découvrir le monde. Et de part leur forme, peut être, car il me semble que ceux-ci sont légèrement étirés. A revoir. Mais s’il y a bien une chose de sûre, c’est que la pâleur de mon visage et la couleur de mes yeux mettent en valeur mes cheveux. Et, pourtant, ils ne sont pas bien longs, dépassant à peine les épaules. Mais je les attache souvent, ne voulant pas perdre de temps à les entretenir. Et, pourtant, quand je le fais, ils sont magnifiques, paraît-il, bouclant de toute part, me donnant un air plus « social ». Mais s'il y a une chose importante avec eux, c'est leur couleur d'un blond des blés.»
Continuant à se regarder, les yeux ailleurs, elle se retourna pour chercher quelque chose dans son sac. Mais, sans trop savoir pourquoi, la jeune fille n’arrivait pas à quitter son reflet des yeux. Aussi continua-t-elle de s’observer. De se découvrir.
«Je suis debout. Plutôt grande par rapport aux autres. Un mètre soizante-dix à tout casser. En réalité, je n’en sais rien. Mais ce qui me choque, c’est que je vois un corps frêle. Comme s’il pouvait céder à tout rompre. Et pourtant, pourtant … je sais que ce n’est pas le cas. J’ai l’impression d’être fragile. Mais je ne le suis pas. J’arque donc un sourcil, surprise de cette révélation. [voilà pourquoi je n’aime pas les miroirs]. Puis, je regarde mon corps entier, plongée dans une sorte de lueur blafarde. Je porte, comme chaque jour, une robe. Aujourd’hui, elle est d’un rose très pâle, surmontée d’un petit gilet assorti fait main. Mais, en général, j’opte pour des tons plus neutres, c’est-à-dire du noir, du beige, du gris. Mais, quoiqu’il en soit, je porte une robe chaque jour, chacune étant assortie à un ruban de satin qui me sert la taille. Et ce, que je reste de côté sorcier ou que j’aille de côté moldu. Un certain avantage.»
Puis, allant vers la salle commune, Hope regarda une dernière fois le miroir, retrouvant son air sérieux qu’on avait souvent critiqué. Mais il fut rapidement balayé par l'air qui la dominait depuis quelques temps; celui de la réussite et de la séduction.
description du caractère;
Qui suis-je? Ou plutôt que suis-je? Je ne le sais pas moi même, je n'ai pas d'identité. Car depuis le temps où je me suis cachée sous ce masque, je ne suis plus moi. Je suis Autre. Tantôt vous, tantôt elle, tantôt ils. Je change sans cesse d'apparence pour ne pas me laisser avoir, pour ne pas qu'IL ne me rattrappe. Seul mon prénom reste le même. Mais là encore, tout n'est qu'illusion. Car ce prénom n'est pas le mien. C'est le surnom qu'IL m'a donné. Et je l'utilise. Toujours. A tel point que c'est ma véritable identité. Mon identité est trompée. Mes souvenirs aussi. Ma vie n'est qu'un tissu de mensonges. Mais malgré cela, je vais essayer de vous conter la vérité, ma véritable personnalité. IL, c'est mon frère. Mon jumeau. Mon double. Et je l'aime. Trop peut être mais c'est la seule personne que je n'ai jamais autant aimé. C'est la seule personne à qui j'ai promis quelque chose. Mais avec le temps, j'ai fini par oublier. Par L'oublier. Je l'ai trahis et, à présent, je le hais. Il me hante. Jours & Nuits. Je dors de moins en moins, souffrant de terribles insomnies dont Il est la cause. Mais ce n'est que la conséquence de mes actes et, dans ce sens, je ne lui en veux pas. Même si je sens que la folie m'atteint peu à peu. Une folie dont je suis la seule à connaître l'existence. Car je la cache. Car je me maîtrise. Comme d'habitude, je me cache sous un masque. D'ailleurs, en parlant de masque, la définition n'est pas celle que vous croyez. Je reste impavide, certes, mais seulement quand je dois faire allusion à mon passé. En auquel cas ma personnalité est très changeante. Je peux passer subitement de l'admiration à la haine, de la confiance à la peur, de la joie de vivre à la morosité. Car, oui, malgré tout, je suis humaine. Mais cela ne m'enchante guère. Car je hais l'humanité. Je vous hais tous autant que vous êtes à lire cette stupide présentation. Mais vous avez aussi certainement compris -si vous plus intelligent que vous ne le laissez paraître- que je suis très contradictoire. Déjà envers moi-même: je me plais à faire des choses que je ne supporte pas quand d'autres le font. Mais aussi envers les autres: j'expose, quoi qu'il en soit, mon point de vue. Je peux aisément parler de manière franche sur des sujets tabous même si mes pensées sont contradictoires de celles des autres sans pour autant créer de froid entre les personnes. C'est l'art de la conversation. Et, pourtant, je n'aime pas parler. Je préfère être seule. Seule avec moi-même. Car les autres ne méritent pas ma présence. Parler ne sert à rien. Parler, c'est perdre du temps. Et je n'ai pas de temps. Il me poursuit sans cesse. Sans me laisser une seconde de répit. Et pourtant, le temps ...my only friend. My best friend. D'ailleurs, en parlant d'amis, je n'ai en pas -que des aides potentielles-. Car je n'en veux pas, tous inutiles qu'ils sont. Je préfère la solitude. Ou la présence de Il. Mais Il n'est plus. C'est peut être la raison pour laquelle je paraîs froide, lointaine & silencieuse. Je ne suis pas en réalité. Mais ça, vous ne le remarquerez jamais. Car seul Il m'a connu différemment. J'ai toujours vécut pour Il. Et tant qu'il ne reviendra pas, je ne vivrai pas réellement. Et malgré ma vision toujours défaitiste et pessimiste des choses, je suis sûre qu'il reviendra. Car j'ai foi en Lui. Même si Père me dit que ce ne sera pas le cas -stupide dispute-. Mais Père a tellement menti que je ne sais qui croire. Oui, je suis perdue. Plongée sans cesse dans des pensées futiles, j'essaye de trouver la solution. Mais peut-être n'y en a-t-il pas et que je suis condamnées à souffrir. Je n'en sais rien. Et je ne tiens pas à le savoir. D'ailleurs, en parlant de Savoir. Ou plutôt de Sagesse. J'aime apprendre. J'aime lire. Ce sont mes compagnons de vie. Ils me soutiennent dans ma morosité. Ils m'éduquent, m'ouvrent l'esprit. Lire, c'est la vie. Honte donc à ceux qui ne lisent pas, qui considèrent les écritures en prose ou autre comme des objets inutiles. Honte aux personnes non-respectueuses. It's a shame! Personne ne mérite le non-respect. Suivez donc mon exemple: respectez votre prochain! Faites comme moi, ayez de bonnes manières. Mais pour le reste, ne me suivez plus, je ne suis pas un exemple de moralité. Je suis pleine de bonnes manières, certes. Je paraîs Sage. Je vous vouvoie. Mais souvenez-vous que je vous méprise pronfondément. Je vous démonte, je vous critique. Mais tout en finesse. Devant vous. Car mes sourires innocents vous apaisent. Foutaises! Je ne respecte pas les humais. Seulement Dame Nature. Comme IL. Tant qu'IL ne sera pas là. Car je vis pour IL. Et que vive l'Espoir. Le foutu Espoir. L'Espoir noir. Le Noir absolu. Le Noir corrompu. Le Noir hypocrite. Je suis hypocrite. J'accepte la plupart des choses. Mais ma patience a des limites. Donc, à force de concessions, attendez-vous à prendre un bon coup de poignard dans le dos. Mais, soyez-en sûrs, je ne vous raterai pas. Je ne rate jamais. Je suis trop ambitieuse pour cela. D'ailleurs, attendez-vous à ce que je vous tue. Car, comme je l'ai dit: je vous hais. Car vous ne respectez rien. Vous n'êtes donc RIEN. Rien à mes yeux. Ou peut être de la mauvaise herbe. Et, tel un jardinier, je vais vous éradiquer. Et n'essayez pas de me faire fausse route. Car je vous rattraperai. Et je vous ferai payer. Je vous poursuivrai jusqu'à ce que vous lachiez prise. Ou que vous n'en valiez plus la peine. Je serai bientôt votre plus Grand cauchemar. Et j'en suis fière. Car c'est dans cet univers hostile qu'IL reviendra . J'aime encore IL. Mais je le déteste; IL est moi. Et je suis IL. Nous sommes complémentaires. C'est l'être généreux. Je suis son parfait contraire. Comme le Yin et le Yang. On me voit pourtant calme. Car il est vrai que je le suis. Je suis posée. Mais la violence est parfois nécessaire. Et si j'en aurai besoin, je n'hésiterai pas à l'user. Qu'importe les moyens, seule la fin compte. Mais pour arriver à mon but, je me dois de réfléchir, de prendre en considération tout ce qui m'entoure. Je me dois donc d'être prudente. Le plus possible C'est aussi la raison pour laquelle je n'aime pas me faire remarquer. Je ne supporte pas les yeux fixés sur ma personne, cela me donne envie de vomir et je n'en vaux pas la peine. Car idiots sont ceux qui admirent les autres. Je fais de même ... mais ce n'est pas la même chose. Car je suis unique. UNIQUE. Souvenez-vous en! Mais malgré mon unicité, je ne me sens nullement imbue de moi-même ou encore prétentieuse. Non, car je suis trop sauvage, trop proche de la Nature pour me soucier de telles choses. Il est vrai que je peux être arrogante. Mais cela, c'est à cause de vous: il ne fallait pas me provoquer. Car même si je suis maître de moi-même, je n'ai pas la langue dans ma poche. Et les remarque vipérines ne me font pas peur. Seulement, depuis peu, il paraît que j'ai changé. L'état d'esprit dans lequel m'a forcé à être IL m'a contraint à changer. Disons alors que je paraît plus ouverte. Que je vais plus vers les gens. Mais entre sourires hypocrites, attirances, soirées arrosées et flirts, rien n'est jamais allé aussi mal. Je me plait à me faire désirer. A me faire entendre. A draguer. Mais, pourtant, ça n'a jamais été le cas. Comme quoi ... tout est possible. Je ne sais que trop dire de plus. Mais souvenez-vous d'une chose: je ne vous aiderai jamais. Pas temps que j'aurai confiance en vous. Et ce jour n'arrivera jamais. Car je vous méprise. Je me méprise. Nous ne sommes Rien. Nous sommes des étoiles parmi tant d'autres. La mienne est en voie d'extinction. Enfin pas temps que j'aurai retrouvé IL. Je suis Mélancolie. | |
| | | Hope P. L. McGwen
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Dim 17 Mai - 21:40 | |
| I. Une rencontre
« Parce qu’il y a un début à tout, voici l’histoire d’un morceau de vie. »
Lane;« Monsieur, Monsieur ! Oui, c’est cela. Vous avec votre accoutrement étrange datant d’un temps certains. Puis-je savoir comment vous vous appelé ? » McGwen; « McGwen. Conrad McGwen. Et vous, puis-je savoir? » Lane;« Lane. Charlie Anna Lane. De l’équipe journalistique de cette enquête. Juste pour savoir si c’était bien vous le chef de l’équipe qui s’occupe de cette affaire. Enfin, nous avons remarqué que vous étiez là depuis le début… Dans ce cas, nous aurions quelques questions a vous posé. De routine bien entendu. Si vous voulez bien me suivre. » McGwen; Excusez-moi. Mais que diriez-vous d’aller plutôt dans cette direction. Nous pourrions mettre nos informations en commun. Qu’en dites-vous ? Il me semble que ce problème d’incendie mystère doit être résolu au plus vite. »
Lane, ravie d’avoir enfin trouvé quelqu’un qui veuille bien lui laisser son témoignage, gratifia le jeune homme d’un sourire. Ses yeux pétillaient. Car trouver des témoignages n’était pas chose aisée. Et aussi que découvrir des informations pour avoir l’article le plus parfaite possible {même si la perfection ne s’atteint pas} était une des choses qui la mettait de bonne humeur. Et ce sentiment, plus que positif, en compagnie d’une personne qui avait l’air intéressante, la rendait plus que rayonnante. En compagnie de McGwen, elle se dirigea alors vers le parc le plus proche, celui qui faisait l’angle de la rue. Puis, après avoir fait le tour de quelques fontaines à la recherche d’un banc libre, ils finirent par s’installer dans l’herbe sèche de la saison. Face à face, cherchant un carnet dans son sac pour recueillir le témoignage, Lane réfléchissait à toutes les questions qu’elle pouvait bien poser à l’inconnu, dans le cadre du travail, rappelons-le. Mais le début d’une phrase qu’elle connaissait trop bien commença à se faire entendre, créant chez elle un état de panique qui la poussa à prendre en main une baguette disposée au fond de son sac pour lancer un sort de protection. Relevant la tête, elle découvrit un McGwen au visage surpris et incrédule. Profitant de cette période de latence, elle s’écria :
Lane;« Mais bien sûr ! J’aurais dû m’en douter. Un homme qui accepte une interview ne peut être qu’un crétin fini ou encore un de ceux qui veulent faire taire les journalistes qui travaillent pour les moldus, ayant trop peur que ceux-ci ne laissent apparaître un rapport avec le monde de la magie. Sur ce, excellent journée, Mister. »
S’en perdre un instant, passant de l’humeur « festive » à une un peu plus furibonde, Lane ramassa son sac et, avec des pas précipités et cadencés, elle sortit du parc sans un regard en arrière. Ce furent des bruits de pas et une main placée sur son épaules qui la firent se retourner, découvrant de nouveau un McGwen légèrement penaud. S’éclaircissant la gorge, il regarda Lane un instant avant de dire.
McGwen; « Je fais parti du bureau des Aurors. Mais ayant peu de travail, je m’occupe d’effacer la mémoire de moldus ayant trouvé un rapport avec le monde de la magie. Notre monde, apparemment. J’ai très rarement vu une sorcière passer aussi bien pour une moldue. Désolé. » Lane;« Merci. Ravie de constater que mon travail puisse être aussi parfait. Je pense que vous devriez instaurer un code pour nous reconnaître dans ce monde-ci. J’en parlerai à la Gazette, histoire de faire monter le débat » McGwen; « La Gazette ? Ne travaillez-vous pas pour les moldus ? » Lane;« Les deux. Le travail pour les moldus est abrégé, passant sous silence certains faits. Vous êtes vraiment sûr de n’avoir rien à ajouter ? Ou même un commentaire à faire passer sur cet incident… » McGwen; « Vous ne lâchez jamais le morceau… »
Un léger sourire accroché aux lèvres, les deux jeunes gens se regardèrent d’un œil complice. Après tout, ce n’est pas tous les jours que l’on rencontre un sorcier dans l’autre monde. Le pas léger, bien que conscients d’avoir beaucoup de travail à venir, tous deux se dirigèrent dans un des nombreux restaurants de Londres. Ils parlèrent alors travail. Politique. Progrès. Mais aussi d’eux. Beaucoup d’eux en réalité. Car le froid qu’avait crée McGwen s’était rapidement éclipsé, remplacé par une attirance mutuelle due, non à une attirance physique, mais plutôt culturelle et mentale. Les jeunes gens discutaient en effet de tout et de rien –de rien surtout-, lançant naturellement les débats qui leur tenaient le plus à cœur. Naturellement, chose qui signifiait au naturel, était sans doute la chose qui les avait réuni, l’homme des temps modernes n’étant que trop superficiel. La conversation dura. Et d’autres rendez-vous furent pris.
Quelques extraits d’un journal à l’aspect ancien –cuir noir abîmé, pages jaunes et encre défraîchie- : le journal de Charly Anna Lane.
Le 24 octobre. Journal de Charlie Anna Lane. Londres. Rien de particulier ne s’est déroulé aujourd’hui. Les rues, les gens et même le temps étaient d’un calme inhabituel. J’en ai donc profité pour relire les articles qui devaient paraître en fin de semaine, ceux-ci étant en réalité plus des documentaires qu’autre chose. Je finissai d’éradiquer les quelques fautes qui s’y étaient glissées par inadvertance. Puis, comme c’était prévu, j’ai rejoins McGwen au restaurant de notre première rencontre. Cela faisait une semaine que je ne l’avais pas vu. Il avait beaucoup de travail, paraît-il.
Le 03 janvier. Journal de Charlie Anna Lane. Cordoba_Espagne. Je suis en vacances en compagnie de McGwen. Même si lui travaille… Juste quelques entretiens avec les représentants d’Espagne. Le ministère lui a accordé quinze jours là-bas, le mandant de faire les choses au plus vite s’il voulait en profiter. Chose qu’il a fait. Nous profitons donc de ce moment de latence. Pourvu qu’il dure !
Le 07 février. Journal de Charlie Anna Lane. Bogota_Colombie. Encore en voyage. Si je ne me perd pas dans mes calculs, ce doit être le cinquième depuis la nouvelle année. J’ai présenté ma démission auprès des deux journaux avec lesquels je travaillai afin de devenir interprète des missions de McGwen. Mais ne pouvant pas résister à l’appel de la plume, je suis devenue journaliste indépendante, vendant mes documentaires çà et là. Le plus dur est bien celui que je suis en train de préparer. La Colombie va mal.
Le 29 mars. Journal de Charlie Anna Lane McGwen. France. Je me suis mariée avec McGwen. Et je porte ainsi son nom, en plus du mien. Nous sommes en voyage de noce dans la Drôme, dans la région des Baronnies. J'‘aurai juste une remarque à faire quant au métier de McGwen : c’était juste un assitant auror. Il est a présent chargé des relations internationales entre ministères magiques et de la cohabitation avec les moldus. Raison pour laquelle nous voyageons beaucoup. Raison pour laquelle je suis devenue son interprète. Comme quoi l’analphabétisme de demain n’est de parler que sa propre langue.
Le 17 mai 2009. Journal de Charlie Anna Lane McGwen. Mikkeli_Finlande. Aujourd’hui, nous sommes en Finlande. Encore pour un voyage d’affaire. Cependant, nous avons dû emmener un autre interprète : je ne parle que l’espagnol, l’anglais, l’allemand, le russe et l’arabe. Une nouvelle : nous n'avons pu nous empêcher d'y acheter une maison. Encore une autre langue à apprendre. En espérant que des cris d’enfants s’entendront bientôt là-bas.
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| | | Hope P. L. McGwen
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Lun 18 Mai - 20:17 | |
| La nuit où tout bascula.
«Mais la vie sépare ceux qui s'aiment. » J. Prévert.
McGwen « J’ai raté quelque chose ? Docteur ! Docteur ! Dites moi comment tout cela s’est passé. Bien ? Pas bien ? Autre ? Ou peut être voulez vous mes dire quelque chose sur mes enfants. Ils vont bien, j’espère.. » Docteur « Très bien. Ce sont des jumeaux. Une fille et un garçon. Voulez vous bien me suivre ? … si vous voulez leur jeter un coup d’œil. » McGwen « Oui » Docteur « Dans ce cas, calmez-vous »
L’œil brillant, ravi d’être père, McGwen battit des paupières plusieurs fois, cligna des yeux, ouvrit puis referma la bouche dans une attitude des plus « enfantines ». Il regarda le médecin qui le fixait également. Cela semblait durer une éternité. Il fallait juste attendre que McGwen se calme, chose assez difficile. Finalement, le jeune Père décida de faire semblant et cet étrange spectacle convint finalement le médecin au bout de cinq minutes. Cinq minutes, ce n’est rien dans une vie. Mais c’est aussi de trop lorsque le plaisir, l’envie, la peur de la nouveauté vous tiraillent. Retenant sa respiration, McGwen relâcha d’un coup son souffle à l’entente de l’accord de son « supérieur ». D’un pas léger, il le suivit à travers des dédales de couloirs sentant le chloroforme jusqu’à une petite pièces où étaient entreposés les nouveaux nés. Rectifions. Où l’on s’occupait des nouveaux-nés. La larme à l’œil, McGwen dû s’asseoir pour ne pas tomber à terre lorsque l’infirmière lui présenta ses enfants.
Infirmière « Voici votre fille, Hope Poppy. D’une bonne taille et dans les bonnes proportions. Et voici votre garçon, Ludwig Aaron. Les mêmes observations que votre fille. »
Incapable de parler, McGwen se contenta d’hocher la tête à tout ce que disait la brave dame. Même s’il connaissait déjà les prénoms : Lane et lui en avait parlé depuis longtemps. S’en était même devenu un sujet de dispute. La résolution en avait été claire : le garçon porterait deux prénoms. Ludwig de la part de Lane et Aaron de la sienne. Mais pour sa fille, c’était différent. Car, en principe, elle devait seulement s’appeler Poppy. Réfléchissant à cela, McGwen releva la tête, découvrant alors le médecin, la mine sombre, en pleine discussion avec un autre. Il le héla, voulant savoir pourquoi sa femme avait changé le nom de leur fille au dernier moment. Une décision de dernière minute ? Il voulait juste savoir.
McGwen « Excusez-moi, je voulais savoir pour … » Docteur « Votre femme… » McGwen « ... Ma femme … » Docteur « … n’a pas résité. Elle est … » McGwen « Pardon ? » Docteur « Elle est morte monsieur. Elle n’a pas résisté. Nous n’y comprenons pas grand chose… La science, de nos jours, devrait être parfaite. Mais il y a des accidents, des choses que nous ne pouvons pas prévoir. Je,…, nous en somme désolés. Si vous voulez bien me suivre, vous avez des papiers à remplir. » McGwen « Quels étaient ses derniers mots ? » Docteur « Qu’il faut garder espoir, monsieur ».
Espoir. Une larme coula sur la joue droite de McGwen, lui apportant un petit côté salé. Puis s’en fut une deuxième avant l’assaut de toutes les autres. Ne tenant plus sur ses jambes, il tomba à terre, inconscient.
Quelques jours plus tard. Quelques extraits d’un ancien journal.
Le 01 Mai . Journal de Charlie Anna Lane McGwen Conrad McGwen. Mikkeli. Je m’appelle Conrad. Conrad McGwen. Et c’est la première fois que je remarque ce journal. Un journal qui retrace la vie de Charly depuis que nous nous sommes connu. Je … J’ai besoin d’écrire, je ne me sens pas bien. Pourtant les enfants vont bien, je devrais être ravi. Ils vont trop bien même. Ils ont le cœur chaud. Mais celui de Charly est plus froid que jamais. Elle est morte. A cause d’eux. Et je suis perdu. Mère vient donc s’occuper d’eux à ma place. Car je suis incapable de le faire : leur présence me fait souffrir. Je ne sais que faire.
Le 18 Mai. Journal de Charlie Anna Lane McGwen Conrad McGwen. Mikkeli. C’est encore moi. Les choses ne vont pas mieux. Mère s’occupera des enfants à temps plein. Je le ferai aussi. Mais pas de suite. Dans quelques mois. Elle a changé, ma mère. Elle paraît plus froide, plus distante, plus dure. Ai-je fait quelque chose de mal ? Ce n’est peut être que ma fatigue. Je suis devenu insomniaque. Ps : Elle s’appelle Lawrence Well McGwen. | |
| | | Hope P. L. McGwen
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Mar 19 Mai - 21:33 | |
| Naissance d'une reine.
«Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard» Aragon
McGwen« Non Mère, ce n'est pas possible. Laissez moi du temps, je vous prie. Je ne m'y habitue pas.» Lawrence« Et peut être même que tu ne t'y habitueras jamais. Alors, pour l'amour du ciel, réagis et occupe toi d'eux. Je ne suis pas éternelle.» McGwen« Je le sais, Mère.» Lawrence« Et bien. Dans ce cas, agis!» McGwen« Bien, Mère.»
D'un geste impérieux, Lawrence, la mère de McGwen, tourna les talons. Et après une grande série de pas, elle disparut au bout d'un couloir. Car la maison qu'avait acheté son fils, en périphérie de la ville de Mikkeli ressemblait plutôt à un étrange manoir. Il fallait dire que cette petite ville se trouvait dans la région des lacs. Et McGwen ayant acheté dans la périphéries, la demeure était bordée par la forêt, les lacs. Par conséquent, un brouillard quasi permanent flottait dans les airs. Mais revenons à notre cher monsieur. Ce dernier, l'air affalbe, regarda sa mère disparaître et resta là, pantois. Cela faisait bientôt un an que sa femme était morte et jamais, Ô grand jamais, il n'avait déjà veillé sur ses enfants. En réalité, il ne faisait plus rien: depuis qu'il avait quitté son travail sur le terrain, il étudiait des dossiers à longueur de temps dans son bureau. Un seul avantage: il était plus qu'à jour et ne pensait qu'à ça. Mais sa mère devant partir quelques jours, c'était à lui que revenait la charge des enfants. De ses enfants. Du travail en perspective.
Quelques extraits d'un ancien journal. Le 18 mai . Journal de Charlie Anna Lane McGwen Conrad McGwen. Mikkeli. Mère est partie ce matin. Et depuis ce temps-là, les enfants non pas arrêtés de crier, de pleurer, de hurler. Je ne sais pas ce qu'ils veulent. Je ne le comprends pas. Y a-t-il seulement dans ce monde une personne qui puisse les comprendre? Je n'en sais rien. Vivement que Mère revienne. Je n'y arriverais pas.
Le 02 juin. Journal de Charlie Anna Lane McGwen Conrad McGwen. Je n'y comprend strictement rien. Mère m'avait dit qu'elle ne partait que pour quize jour et me voilà recevant un hibou m'annonçant qu'elle ne reviendrait pas avant trois mois. Heureusement que je me suis habitué aux heures de manger. Et aux autres petites choses qui me paraissaient insignifiantes avant. Je suis donc en "progrès". Pas trop mal cette idée, au final.
Le 24 juin. Journal de Charlie Anna Lane McGwen Conrad McGwen. Je... C'est magnifique. Le temps que je passe avec mes enfants m'a apporté une nouvelle raison de vivre. Leurs sourires innocents, leur manière de regarder et de toucher me rendent heureux. Mais ce n'est rien comparé à ce qu'il s'est passé hier: Hope Anna a fait ses premiers pas. Elle était si hésitante ... mais elle s'est lancée. Et le résultat me réjouit d'autant plus que je ne l'ai pas aidé, n'y pensant pas. Père indigne? Je ne l'espère pas.
Le 13 juillet. Journal de Charlie Anna Lane McGwen Conrad McGwen. Raa... Encore une journée merveilleuse. Et dire que je me suis privé de mes enfants pendant un an de peur de souffrir encore plus. Je n'aurais jamais dû. Nous sommes allés dehors aujourd'hui. Et, à son tour, Ludwig Aaron a effectué ses premiers pas. Je crois même qu'il a essayé de dire quelque chose ...Mais ne rêvons pas. Il est encore trop jeune pour cela. Enfin, je crois. C'est la première fois que j'ai des enfants. Réflexion à part: Ne me suis-je pas mis à l'écart pour me punir d'être vivant?
Retour au présent.
Quelqu'un frappa à la porte. McGwen, surpris, enleva ses enfants de ses cuisses et, après s'être avancé prudemment en direction de la source du bruit, il découvrit sa mère, valises à la main, derrière la porte qu'il ouvrit rapidement. Il se dégagea alors du passage, rentrant les valises que Lawrence avait laissé derrière elle en entrant. Trois mois s'étaient déjà déroulés. Trois mois de tranquilité et de serénité. Mais, appercevant les traits fermes et pincés de sa Mère, McGwen se douta que le bon temps allait bientôt se terminer. D'ailleurs, cela n'était-il pas déjà fini? Peut être. Lawrence, avançant vers la pièce où étaient les enfants, posa son manteau sur un fauteil qui traînait sur le chemin. Elle les découvrit alors tout deux marchant, jouant ensemble. Mais ne parlant pas. Ses yeux se posèrent également sur les jeux que McGwen avait offert à ses enfants. Après sa petite inspection, elle se tourna vers son fils, l'oeil sévère, lui remettant séchement en place le col de sa chemise.
Lawrence« Et toujours des gazouillis par-ci, par-là. Je pensais que pendant trois mois tu aurais eu le temps d'éduquer tes enfants. Tu es un incapable, mon fils. Jouer ne sert à rien.»
Ceci, c'était les premiers mots de Lawrence depuis son arrivée. Des mots charmants, comme à l'accoutumée. La vieille avait toujours été comme ça: elle critiquait, démontait et enfonçait. Avoir de dernier mot? Toujours. McGwen resta alors bouche bée, ne sachant que répondre. Il entra alors à son tour dans la pièce, s'approcha de ses enfants et s'apprêta à les remettre sur ses genoux.
Lawrence« Tss. Mauvaise idée. Première leçon: ne jamais avoir de contacts trop personnels avec les membres de sa famille. Les enfants de méritent pas d'affection. Juste la dureté et la discipline. A moins que tu ne veuilles, mon fils, qu'ils ne te manquant de respect un jour...» McGwen« Enfin, Mère. C'est ri...» Lawrence« Ridicule. En effet, McGwen. Tu es ridicule. Je pensais que mon éducation t'avait servi à quelque chose. Il faut être sévère et froid, fils, ce sont les seules choses qui comptent. Et mets-moi tous ces jouets à la poubelle. Ils n'en n'ont pas besoin, les traiter comme de véritables rois ne sert à rien. C'est ce que l'on faisait dans l'ancien temps pour être tranquille, momentannément. Mais tu ne le seras pas, tranquille: les trois mois durant lesquels je suis partie m'ont permis de mettre en place le meilleur système d'éducation. Et nous allons le faire à deux. Aussi, n'hésite surtout pas à les taper s'ils ne t'écoutent pas ou s'ils ne réussissent pas. Progresser sera alors leur meilleure manière de se défenre.»
Quelques phrases jetées au hasard. ▬Je ne deviendrai pas violent. ▬Mère est insencé: Comment peut-on élever sans amour? ▬A-t-elle vraiment fait cela pour moi? ▬Une nouvelle Reine est née. Elle s'appelle Lawrence Well McGwen. | |
| | | Hope P. L. McGwen
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Sam 23 Mai - 14:29 | |
| Quelqu’un qui me ressemble
«Il a bien fallu qu’à un moment donné quelque chose surgisse du néant. » J. Gaarder dans le monde de Sophie
Lawrence « C’était prévisible mon fils. Quelqu’un qui fait des enfants avec une personne qui aimait les moldus ne peut pas en faire des normaux. » McGwen « Aime, Mère, Aime. Et elle ne les appréciait pas vraiment. Elle profitait de son travail pour les étudier. » Lawrence « Peut être. Mais cela ne change pas le fait qu’elle soit morte. D’où l’utilisation du passé. Je t'ai toujours dit d'aller revoir ta conjugaison.»
McGwen se retourna, en profitant pour lever les yeux au ciel. Sa Mère devenait chaque jour plus exécrable et plus acariâtre, le rendant alors de mauvaise humeur. Et celle-ci ne l’avait pas quitté depuis qu’il s’était occupé seul des enfants. Comme s’il n’aurait pas dû les aimer. Comme s’il avait déçu. Ce devait être la vraie raison : il avait dû décevoir sa Mère. Et, pourtant, il faisait tout ce qu’elle voulait : il prenait des distances, devenait froid, hautain, strict, sévère. Peut être un peu trop pour des enfants de quatre ans. Sans s’en rendre compte, il avait fini par se détacher d’eux : la famille, qui n’avait jamais été soudé, s’éloignait peu à peu. Que voulait –elle donc d’autre ? Probablement rien. Sous les piaillements incessants de sa Mère, McGwen finit par sortir, bouchant mentalement l’arrivée à des sons étranges. Mais une phrase résonnait dans sa tête depuis quelques minutes : « Crois-tu seulement qu’ils sont sorciers ? ». Le Père n’en avait jamais douté, c’étaient ses enfants. Mais les doutes & les craintes arrivaient en contre-attaque, tentant de faire passer cette idée nouvelle dans son esprit. Pour le moment, la défense tenait bon. Jusqu’à quand ? Combien de temps allait-il encore tenir face aux remarques permanentes et désobligeantes de Lawrence et de la passivité de ses enfants. Seul le temps le dira. Il faut juste être patient. Au final, ce temps de doute et d’incertitude dura quelques mois. Cinq, si les souvenirs du narrateur sont corrects. Et encore… Cela arriva par une matinée d’Avril. C’était sûrement la journée la plus chaude et la plus ensoleillée depuis le départ de l’hiver. C’était, pour tout vous dire, le printemps. Avec ses bourgeons. Avec ses animaux sortant d’hibernation. Avec ses hirondelles –mais aussi celle des papillons qui étaient d’ailleurs, pour le moment, un sujet de dispute-. Comment cela avait démarré, nul ne s’en souvient. On retient généralement un résultat, une action. Quoique.
Bref, revenons à nos papillons. En cette belle journée de Printemps, Lawrence et McGwen avaient amené les enfants dans la campagne environnante de Mikkeli pour une sortie « pédagogique ». En effet, la Vieille voulait à tout prix élargie leur « culture » en leur faisant découvrir et apprendre ce qui les touchaient le plus. A l’heure du repas, alors que Ludwig et Hope se trouvaient à l’écart, le jeune enfant de quatre ans, s’émerveillait devant un simple papillon bleu et refusait de bouger tant qu’il n’en verrait pas d’autres. Mais, déjà, leur famille les appelait et la voix de Lawrence devenait de plus en plus insistante. Il fallait faire vite.
Hope« Mince Lulu, tu te dépêches. Grand-Mère commence à râler. Ca va mal finir, j’te dis. » Ludwig« J’ne bougerai pas tant que j’n’en aurais pas vu d’autres » Hope« T’es vraiment escagassant, toi ! » Ludwig« Bah, t’as qu’à en faire apparaître » Hope« Si tu crois que c’est facile. J’m’appelle pas Père et j’ne fais pas apparaître des objets, encore moins des papillons, en claquant des doigts », dit elle en imitant le geste.
Et à peine l’avait-elle fait, le geste, qu’une petite dizaine de papillons s’était matérialisée dans le ciel. Stupéfaits, ni Ludwig ni sa sœur ne parlèrent, regardant comme hypnotisés l’envol « majestueux » des volatiles. Ce fut le cri de Lawrence qui les ramenèrent à la réalité. Car elle était partie pour les punir. Car elle avait vu ce qu’avait fait sa Petite-Fille. Car, pour une fois, elle était « contente ». Sans la féliciter, elle repartit d’où elle venait, les enfants sur ses talons, pour parler à son fils.
Lawrence « Hope Poppy fait parti des nôtres. Ce n’est pas trop tôt. Pour avoir mis autant de temps, tes enfants doivent avoir un quelconque déficit mental, mon Fils ».
McGwen, trop content, ne répondit pas à la remarque de sa Mère. Car une partie de ses doutes s’était dissipée. Depuis le temps … il se sentait comme vivant. Car quand bien même il avait pris des distances avec ses enfants, rien ne lui faisait plus plaisir que de voir ses enfants évoluer et rabattre le caquet de la vieille. Mais restait encore le problème Ludwig. Qui ne tarda pas à se résoudre le jour de son cinquième anniversaire. En fait, ce jour là, Lawrence avait organisé une fête de charité, se moquant éperdument de ses Petits-Enfants. Ludwig, qui s’était de nouveau disputé avec sa sœur pour une durée de cinq petites minutes, s’était rapproché d’un groupe de jeunes et avait commencé, sans le vouloir, à les embêter. Ceux-ci, pour se débarrasser de lui, lui avaient raconté comment trouver un trésor. Au final, il les avait écouté et s’était retrouvé en chute libre depuis la fenêtre du deuxième étage du bureau de son Père. Il avait même fini par rebondir miraculeusement sur le sol.
Voilà comment s’était terminée la journée
Ludwig se releva. Il pleurait, ayant eut très peur. Il marcha alors vers le groupe de jeune et, ne sachant que faire, il leur tira la langue. Sa Grand-Mère le punit pour ce geste déplacé et, comprenant soudain que c’étaient les fautifs, elle commença à les incendier. Bref, cette fête qui avait pour but d’être plaisante se termina dans les cris … chaque parent insultant les autres sur leur manière d’éducation. MgGwen en avait assez, ne comprenant pas comment cela avait aussi bien dérapé. Prenant son mal en patience, il tenta de résonner les parents. En vain. Il monta alors sur une table, poussant du pied la nourriture qui s’y trouvait avant d’annoncer qu’ils étaient tous virés et que ce n’était plus la peine que l’on compte sur lui pour qu’il apporte son soutient aux œuvres caritatives .
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| | | Hope P. L. McGwen
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Dim 24 Mai - 14:33 | |
| Le règne de la nuit
«Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage Traversé ça et là par de brillants soleils » Baudelaire dans L’ennemi / Les Fleurs Du Mal
Un rayon de soleil, mesquin, avait réussi à traverser la barrière que procuraient les volets en bois. C’était un rayon lumineux, clair, quasi unique lorsque l’on observait son long filament éblouissant. Étrangement, c’était un de ses rayons magiques qui illumine la pièce simplement de leur présence, un de ses rayons que vous pouvez observer pendant des minutes, des heures, sans vous lassez. Mais là, pour le coup, Hope n’était vraiment pas ravie. Car il lui arrivait sur le coin de l’œil et ce n’était pas l’idéal pour dormir. Son regard bifurqua alors vers son réveil qui affichait les sept heures du matin. Elle regarda ensuite en direction de son bureau, découvrant le jour ; dimanche. La jeune fille soupira, reposa brutalement sa tête sur son oreiller et se mit à respirer bruyamment. Il était déjà l’heure de se lever ; et si elle ne le faisait pas à présent, c’était Lawrence qui allait la tirer du lit. Elle retira à la dérobée sa couverture qui la maintenant dans une atmosphère douce et mielleuse, laissant dès lors son corps à la merci du la fraîcheur estivale de la Finlande. Elle se redressa et resta quelques instants assis sur son lit avant de mettre ses pantoufles et d’aller secouer son frère dormant dans le lit voisin. Enfin, secouer était un bien grand mot. La petite se rapprocha de lui, lui soufflant dans le coup. Et de sa main gauche, elle lui caressa la joue. Doucement, de toute la tendresse dont elle était capable à sept ans, dont Ludwig manquait certainement. Hope n’avait pas le droit de toucher son frère, ni de lui parler trop longtemps. Ça, c’était encore des ordres de la vieille. Car, apparemment, on est beaucoup plus intègre lorsqu’on n’a que très peu de relation sociale. Malheureusement pour elle, son père arriva dans les instants suivants et, sans attendre, il souleva la petite, la décrochant de son frère. Lui attrapant le poignant, il la tira en dehors de la chambre, la mandant de s’habiller rapidement, l’informant que Miss Nixon, la gouvernante, avait préparé son déjeuner. Machinalement, Hope enfila un polo et un jean puis descendit, le pied lourd, jusqu’à la salle à manger. Et, comme tous les matins, elle déjeuna seule. De Ludwig, elle ne savait ce qu’il en advenait. La seule chose qui était aux portes de son conscient, c’était qu’il était avec Lawrence, dans une des pièces de la maison. A étudier. A souffrir. A crier. A se prendre la tête. A pleurer. A se noyer sous les reproches de la Grand-mère. La petite avait à peine touché à son saumon fumé que son père vint la chercher. Au programme du jour, quelques leçons d’anglais –première langue dans la maison- mais aussi d’arithmétiques, d’histoire et de lecture, si on pouvait dire cela. Sans un mot, toujours, la brune suivit son père. Sur le chemin, elle croisa son frère. A chaque fois que cela arrivait, cela lui pinçait le cœur. Car il se faisait toujours réprimander et, pour ne pas avoir de problème avec la vieille, Hope en rajoutait une couche à coup de « Tiens, encore là Ludwig ? Tu n’as même pas encore commencé les multiplications ? C’est une honte, tu ne devrais pas faire parti de la famille ». Ou encore de « Et alors mon cœur, encore des problèmes à te souvenir de la formule de l’expelliarmus ? Je n’imagine même pas la pratique quand tu seras à Poudlard. J’ai vraiment peur pour toi ». Oui, Hope passait son temps à critiquer son frère devant les parents mais, dès qu’ils étaient seuls, elle ne pouvait l’empêcher de le serrer fort dans ses bras, de le caresser. Mais ce qu’elle ignorait, c’était cette rancœur grandissante envers Lawrence et McGwen. Ce qu’elle ignorait, c’était la jalousie qui grandissait de plus en plus vis-à-vis de sa sœur. Il était clair qu’il l’aimait, qu’il l’adorait même. Mais il ne supportait plus qu’elle soit sans cesse meilleure que lui, sous les projecteurs des parents qui lui vouaient une admiration sans faille même si elle en souffrait. Il savait aussi qu’elle n’en pouvait plus de sa position mais ça, Ludwig s’en moquait. Car il avait beaucoup de mal … psychologiquement à accepter. Mais quoi qu’il en soit, dans cet univers de répression et de violence –car oui, le père devenait violent- Ludwig était le petit rayon de soleil de Hope. La personne à protéger, à aimer, à chérir. A sauver. Mais du haut de ses sept ans, elle ne voyait pas comment elle pouvait faire. Elle ne savait pas comment faire. Elle était perdue, irritable. Jalousée. Détestable pour son comportement et de plus en plus détestée par les jeunes de son âge. En effet, une fois toutes les deux semaines, les enfants avaient l’autorisation de se rendre au square de Mikkeli, où ils se firent leurs premiers amis. Mais ils remarquèrent bien vite que la demoiselle était avantagée, qu’elle avait tout ce qu’elle voulait, ou presque.
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| | | Hope P. L. McGwen
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Jeu 28 Mai - 21:40 | |
| Après le Soleil, le Mauvais Temps« Quand le Ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis Et que l’horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits » Baudelaire dans le Spleen LXXVIIILa salle était bondée. Savannah, qui avait la fête de ses dix-huit ans n’avait pas prévu les opportuns ; de ceux qui s’invitent sans avertir ; de ceux que l’on n’a jamais vu ; de ceux qui fument, boivent et entraînent filles et garçons dans l’ombre. Pauvre Savannah. Dans la ville de Mikkeli et dans ses alentours, elle était réputée pour donner les meilleures fêtes. Elle était réputée meilleure maîtresse dans les caresses, ou presque. Elle était réputée meilleure dealeuse. Et c’était la meilleure amie de Hope depuis cinq ans. La jeune femme, qui obtenait enfin la majorité, avait espéré, pour une fois, faire son anniversaire tranquillement, en présence de ses véritables amis, sans aucun artifice ni subterfuge. Mais c’était sans compter son copain qui n’était pas de son avis- d’une manière général, il pensait tout l’opposé. En quelques coups de fils à peine, il avait réussi à rameuter tous les jeunes de Finlande- ou presque- et avait ordonné au propriétaire du coin de lui louer aussi la salle attenante, d’aller chercher des vivres mais surtout des filles. Elles n’avaient pas tardé à affluer et, son tenir compte de Savannah, le jeune homme tentait déjà de s’ancrer en elle. De son côté, Hope était assise au bar, un verre de Vodka tonic à la main, une cigarette dans l’autre. C’était étrange de la voir ainsi, mi garçon manqué, mi femme désabusée ; encore à cause de Lui. Son frère qu’elle adorait. Son frère qu’elle détestait parce que, justement, elle l’aimait. Trop. Comme il ne faut pas aimer quelqu’un de sa famille. Elle avait passé la matinée à l’injurier, à lui hurler dessus. Et lui, fidèle à lui-même depuis presque cinq ans, n’avait pas sillé, n’avait pas rétorquer, l’avait ignoré. Et elle, fidèle à elle-même, elle avait passé le reste de la journée à pleurer et à fumer quelques joints. Mais il était temps que ça change, aussi était-elle allé à l’anniversaire de sa meilleure amie, histoire de se changer les idées. ▬Han, ma chéwie. Il paraît qu’une blonde a enfin réussi à briser le couple Sean/Séraphina. Il est libre maintenant, la classe non ? Tu étais au courant de cette histoire ? ▬Non, pas du tout, feinta hope Comment cela est arrive? ▬Le pauvre. Sa petite amie la retrouvé nu, accroché au radiateur avec des menottes, le mot suivant sur la table : « S. Il fallait bien que ça arrive un jour. Il était temps que tu ouvres les yeux sur l’homme idiot et masochiste qui s’est envoyé avec la première venue. Néanmoins, je pressens que tu vas souffrir. Aussi ai-je laissé des antidépresseurs sur la table. N’en abuse pas de trop. » Alors … ▬ Alors ? ▬ Elle a fini à l’hôpital. Savannah ajouta à la suite, tout bas : Bravo, c’est un coup de génie Hope. Cette pute a juste eu ce qu’elle méritait et peut être pourrai-je enfin sortir avec lui. ▬Bon anniversaire mon coeur Regard complice, sourire discret. Savannah embrasse Hope pour la remercier. Car elle savait que c’était elle. Car il n’y avait qu’elle pour faire cela. Mais ça, personne ne le savait. Les deux jeunes femmes se séparèrent, allant chacune de leur côté. Mais la « blonde » ne resta pas seule très longtemps. Car dans la foule et malgré l’atmosphère aquarium, elle avait remarqué que quelqu’un l’observait. L’épiait. La suivait. Sachant qu’elle ne pourrait pas s’en défaire, elle décida de le conduire jusqu’au bar. ▬ Excusez-moi, vous avez perdu votre portable. Tenez. ▬Perdu … A moins que quelqu’un ne l’ait volé. Vous voulez un verre ? C’est vous qui m’invitez. Toujours prendre de l’avant. Surprendre. Se mettre en valeur. A coup de petites phrases qui marquent et choquent et de sourires enjôleurs. L’homme était mignon. Trop mignon. L’homme était suspect. Très suspect. Surtout avec sa façon de la vouvoyer. Cela faisait des lustres qu’on ne lui avait pas parlé ainsi. ▬ Ce ne serait pas de refus. Une autre vodka tonic ou quelque chose de plus soft ? J’ai peur que ne vous tiendrez pas le coup avec tout ce que vous avez déjà avalé. ▬ Un thé à la menthe. Avec des vraies feuilles de menthe. Silence de nouveau. C’était en effet assez étrange qu’une jeune femme demande ce genre de boisson. Dans une soirée. A trois heures du mat’. Une fois la tasse déposée devant elle, elle la prit dans les mains, la serrant fort. Car elle avait besoin de chaleur. Elle pencha alors la tête en avant, positionnant son nez au dessus des vapeurs odorantes. C’était une magnifique odeur. School de Supertramp passa alors, coupant les danses effrénées qui s’étaient enchaînées sur de la disco –et surtout- du dance floor. Lacrymosa d’Evanescence prit ensuite le relai. La jeune femme grimaça. ▬Vous préférez le Requiem de Mozart. ▬ Sans aucun doute ! ▬ Vous m’offrez quoi si je la fais passer ? Déception. Un instant, le jeune homme avait réussi à attiser sa curiosité avec sa connaissance. Mais voilà qu’en deux secondes à peine, il avait réussi à détruire son effet. Les hommes. Tous pareils. Toujours à vouloir recevoir. Sans jamais donner ou alors très peu. Toujours à vouloir qu’on s’offre à eux. C’était lamentable. C’était horrible. C’était prévisible. Celui-ci se leva et disparu sans un mot, sans entendre la réponse de Hope, la laissant humer son thé. Une minute après, ledit morceau passa sur le DJ, sous la huée des invités, sous le sourire discret de la jeune femme. ▬ Pour tout à l’heure, c’était une boutade. ▬ Je vous remercie ▬ Vous voudriez bien casser la croûte avec moi ? ▬ Sans façons. Je n’ai pas faim. ▬ Vous ne sortez qu’avec les mecs qui ne vous plaisent pas, c’est exact ? Vous avez peur d’aimer. Vous avez peur de décevoir. Je l’ai remarqué tantôt. J’ai aussi deviné pour Sean, c’est mon meilleur ami… J’ai remarqué que vous adorez la littérature française et anglaise. Les beaux-arts également. Vous avez pleins de qualités. ▬ Parce qu’en plus de voler mon portable, vous m’espionnez. Disparaissez ! Le jeune homme se leva aussitôt. Il se rapprocha de l’oreille de la jeune femme et murmura : « Je vous ai vu voler le tableau de mes parents. Celui dans le salon. Je vous en remercie. Sachez que vous m’avez rendu un service et que la police n’a trouvé aucun trace ». Hope se leva à son tour et commença sa tournée. Elle voulait finir dans le lit de quelqu’un. Elle voulait boire. Fumer. Démonter.
Dernière édition par Hope P. L. McGwen le Ven 29 Mai - 23:42, édité 1 fois | |
| | | Hope P. L. McGwen
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Jeu 28 Mai - 21:44 | |
| Note1: N’attendez pas de chute à cette histoire car il n’y en a pas. Car l’évolution de Hope ne dépend que de vous, des relations qu’elle aura avec les personnes, des écrits que vous tiendrez. Note2: Gryffondor ou serpentard, si possible
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h Dim 31 Mai - 15:58 | |
| Bonjour,
Avant toute répartition, je voudrais juste t'informer qu'Irina est malheureusement prise par un autre membre. Il te faut donc changer d'avatar. Aussi, ton personnage a toutes les qualités des deux maisons *à mon humble avis* et donc ce sera gryffondor *car nous sommes en sous-effectif xD* |
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| Sujet: Re: ▬ Hope; 'cause she wants a house. f.i.n.i.s.h | |
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