Ivy Truescott
faithless • je ne crois pas au destin, chaque homme a le choix.
Messages : 107 Age : 46 Localisation : mystère. Camp : Du côté de Truescott. Vive la rébellion !
| Sujet: • • Le vent nous portera — parker&ivy Sam 23 Mai - 20:18 | |
| • • Le vent nous portera
I V Y . T R U E S C O T T .&. P A R K E R . L I T T L E T O N
et je voudrai que tu te rappelle que notre amour est éternel et par artificiel.
Le temps passe bien plus vite que nos sens nous le laisse l'imaginer. Il court, il court à vive allure. Toujours plus vite. Toujours plus vite. Ivy travaillait dans son bureau. D'arrache-pied. Bientôt depuis le début de l'après midi qu'elle n'avait pas levé les yeux des documents qu'elle auscultait avec précision, une plume à la main. Les cheveux bruns et mis long de la sorcière, restaient bien coiffé. Une frange mis longue tombait sur les yeux de cette dernière. Elle avait ses lunettes sur le nez. Elle scrutait avec attention les écrits, des décrets, et tant d'autre chose. Elle enleva doucement les lunettes avec sa main gauche, tenant toujours dans sa main droite sa plume. Elle osa délicatement cette dernière a côté des feuilles en prenant le soin de ne pas déposer de l'encre sur les documents officiels. Elle posa ses lunettes de l'autre côté de le feuille. La jeune directrice enfoui alors son visage dans ses deux mains, appuyant ses coudes sur le bureau. Soupire. Elle resta quelque minutes comme ça, les mains soutenant sa tête où un bambam incessant retentissait. Depuis la rentré, elle travaillait sans cesse, sans en voir le bout, ne laissant passer aucuns détails au travers des mailles du filet. Laisser quelque chose lui échapper était donner raison à ce vieux pitiponk ambulant de Gallner. Elle préférait se retrouver face à un dragon que face à lui, mine de rien ce vieux pitiponk lui faisait un peu peur. Sa vie était ici à Poudlard, en dehors, elle devait bien l'admettre, elle n'avait absolument rien. Mais que craignait elle ? Elle était une bonne professeur, une bonne directrice, elle avait reçu de nombreuse félicitation au cours de ces huit dernières années. Le niveau n'était ni meilleur ni pire que durant les années du professeur Dumbledore, qui était admettons le plus grand sorcier de tout les temps, et ce même avant le survivant ( que la directrice ne portait pas dans son cœur, ce dernier avait réussit à défaire le second plus grand sorcier de tout le temps grâce à une suite d'évènement inattendue, hasardeux et chanceux. ). La sorcière retira le tête de ses mains, rattrapa avec détermination ses lunettes noir au verre transparent qu'elle enfila avec ferveur sur le bout de son nez, attrapa sa plume. Elle finirait ce rapport, ce soir, coûte que coûte.
La sorcière ouvrit alors son courrier. Elle recevait des tas de lettre par jours, des lettres du ministère, des parents, de journaux. En ce moment l'arrivée de Gallner et la malédiction des deux fondatrices attirait les journalistes. Elle avait plusieurs fois refuser une interview avec la gazette du sorcier. Elle ne voulait pas prendre de risque, elle savait comment ces gens exploitaient les dires des autres, avec des plumes à papote, ils sortaient les dires de leur contexte, et une phrase parfaitement anodine pouvait se transformer en un cataclysme politique. Elle préférait garder cette image calme, pédagogue, et craignait un peu de ne pas mâcher ses mots concernant Gallner, ou concernant même le ministre, elle préférait de loin rester polie et courtoise officiellement avec eux. Se les mettre à dos c'était comme signé la fin de son titre de directrice de Poudlard. Ivy attrapa un nouveau parchemin, et commença à répondre à une lettre d'un parent d'élève. Ce dernier lui posait des tonnes de question sur l'orientation de... son fils ou sa fille ? Ivy relu la ligne, puis la lettre en entier plusieurs fois. Elle n'avait pas vraiment toutes ses faculté, l'heure tardive ( en fait non il était 20h30, mais elle travaillait depuis 14h, sans interruption, et elle n'avait pas été mangé ) affectait ses capacités de réflexion. Elle finirait ces rapports, ces lettres, ce soir, elle serait parfaite, et tout serait à jour, ou parfaitement., comme si Morphée allait réussir à la faire tomber dans ses bras. Mais ne vous a t on jamais dit qu'il ne fallait jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué ?
[...]
Elle était couché, affalé, les bras croisés sur les feuilles qui tapissaient son bureau. Ivy, avait les yeux fermés. Les lunettes étaient de travers. La sorcière avait bel et bien sombré dans les bras de Morphée, elle n'avait pas pu y échapper. Elle dormait paisiblement. Tranquillement. Elle ne faisait aucun bruit. Hormis le bruit de sa respiration, lente, rien ne perturbait le calme du bureau des directeurs. Le tableau au dessus d'elle, celui de Phineas Black venait de s'endormir, mais lui, en revanche, ronflait dangereusement, une ronflement envahis alors le bureau. Ivy bougea, alors, doucement. L'encrier bougea légèrement, elle le poussa vers le milieu du bureau, manquant de le renverser sur les documents. La sorcière entrouvrit doucement les yeux, les ronflements du vieux directeur la réveillèrent. Elle releva doucement la tête, ses yeux à peine ouverts se posèrent sur l'horloge face à elle, il était vingt et une heure passé. Elle remis ses lunettes droites sur son petit nez, et s'éloigna, toujours assise, la chaise de son bureau. Elle leva les bras comme pour s'étirer. Phineas émettait un bruit sourd, énorme, combien de fois Ivy c'était elle demandé si c'était possible de ronfler ainsi. Elle poussa un nouveau soupire, et rangea sa plume. On frappa alors à la porte. Elle siffla alors; « PHINEAS, CHUT ! », le ronflement cessa alors. Ivy, dit alors à la personne d'enter, tenta tant bien que mal de s'occuper de ses cheveux longs, bruns & attachés un peu en bataille suite à sa petite sieste.
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