Léïlan Valingaï
Messages : 90 Camp : Neutre. Je m'en contre-fiche.
| Sujet: Léïlan Valingaï (terminé) Lun 22 Juin - 12:44 | |
| nom du personnage ;
nom : Mon nom est Valingaï. Je sais que vous, sorciers anglais, allaient être totalement ignorants de la manière qu'il faudrait me considérer grâce à ce nom de famille. La noblesse russe est une des plus prestigieuses et anciennes, ne prononcez donc pas "Valingaï" à tort et à travers, sans respect.
prénom(s) : Mon prénom est Léïlan. Enfin, c'est celui dont je me sers le plus. Rares même en Russie sont les jeunes filles appelées ainsi. Sa finesse et sa signature raffinée en font son prestige. Sinon, en second prénom, c'est Laureleï. Mais je le trouve vilain et l'ai enterré dans le fin fond de ma conscience.
âge : J'ai actuellement 17 ans. date de naissance : Je suis née le 13 juin 1992. lieu de naissance : Je suis née dans la demeure familiale des Valingaï se situant en Russie.
lieu de résidence : Je vivais à Durmstrang pendant la scolarité, et dans la demeure des Valingaï le reste du temps. Maintenant, je vis à Poudlard durant ma scolarité, voici le seul changement.
nationalité : Je suis 100% russe.
▄ la fiche d'indentifcation
description physique (10 lignes minimum) : Pour résumer mon physique de manière tout à fait objective, c'est une corps de déesse envahi par quelque créature maléfique comme Hadès sait en faire. Ma peau est tout d'abord pâle, blanche comme la neige et douce, sans aucun bouton. Encadré par de fins cheveux noirs m'arrivant aux épaules, mon visage avait une forme plutôt ovale. Des sourcils noirs surmontaient deux fines pupilles. De couleur gris perle, celles-ci ne pouvaient s'empêcher de fixer le monde d'un regard généralement narquois, parfois ironique. Rares étaient les véritables parcelles de joie qui les éclairaient, tout comme celles de tristesse d'ailleurs. Le nez était petit et droit. Enfin, il y avait cette bouche, ah, cette bouche. Rouge, que je fonce avec du rouge à lèvres, ou alors marron voire noir, elle cache de petites dents blanches qui ne voient que rarement le jour. Ensuite, mon corps... Eh bien, à mon âge, je ne peux cacher qu'il est bien développé, avec ce qu'il faut là où il faut. Sans être grande, je dépasse ceux de mon âge et atteins parfois la taille des plus grands. J'ai un tatouage dans tout le dos représentant un loup hurlant à la lune dont le centre est le long de l'omoplate pour s'arrêter juste au bas du dos. Le contour est noir, mais j'aurai voulu faire à l'intérieur une couleur fait d'un mélange entre le rouge sang et le noir, mais le tatoueur me l'a déconseillé vu que l'on verrait moins les détails, j'ai donc laissé tomber. Je mets également très souvent un percing à la lèvre.
description du caractère (10 lignes minimum) : Selon moi, j'ai beaucoup de qualités : l'intelligence, le pouvoir, la loyauté, toutes ces choses dont rêvent les jeunes filles. L'intelligence me vient sans nul doute de l'énorme liste de livres que j'ai lus durant ma scolarité et même avant. Mes parents étant sorciers, les connaissances pratiques et théoriques étaient à portée de main. J'adorais et j'adore toujours apprendre, et c'est uniquement cette soif de connaissances qui m'a attiré vers la magie noire, encore emplie de mystère à mes yeux. Le pouvoir, c'est une chose que j'ai appris à contrôler depuis mon plus jeune âge. Déjà, à l'école, j'étais de loin LA crainte et la fille à respecter sous peine de se voir expulsé par les autres élèves. Ah... Quelle joie de voir la peur dans les yeux de l'autre... Ma loyauté, peu de gens la connaissent car je n'ai jamais vraiment eu le loisir de la montrer. Si un ou une de mes ami(e)s se faisaient attaquer, vous pouvez être sûre que celle-ci sera vengée par mes soins. Mais vu que je n'ai jamais véritablement eu d'amis... J'oubliais ma ruse : combien de fois ai-je effectué des coups fumeux à l'adresse de personnes que je n'appréciais pas sans jamais me faire repérer ? Toujours on me jugeait trop studieuse et trop mignonne pour cela... Mais le Diable se cache toujours...
Les défauts ? Selon moi, je n'en ai pas. Mais ces idiots d'élèves qui se croient égaux à moi-même en ont trouvé : je serais narcissique, égoïste, persécutrice et solitaire. Cela est bien trop ! Je ne comprends déjà pas pourquoi me qualifier de narcissique et d'égoïste : à vrai dire, quelqu'un pourrait-il m'arriver à la cheville ? Sûrement pas ! Ne penser qu'à moi est tout à fait normal quand on connaît la jungle des relations, où l'on doit s'efforcer d'afficher une bonne image. J'y ai renoncé depuis longtemps au niveau des élèves, mais les professeurs me voient trop comme une élève agréable et studieuse. Et puis, en plus, était-ce ma faute si ces mêmes élèves venaient me bousculer ou faire quelque chose qui me déplaît ? Faudrait mieux qu'ils allaient voir ailleurs s'ils recherchent la pitié... C'est d'ailleurs pour cela que j'adore être seule : personne n'était digne de moi, je ne vais pas m'abaisser à leur adresser la parole en première !
histoire générale (25 lignes minimum) : L' ENFANCE : La naissance n'est qu'un passage après tout... Un passage entre un univers confortable et chaud à un monde difficile et froid. C'est dans cette optique que, comme tous les bébés, je suis née en cette nuit d'été. Ma naissance était attendue, comme dans toute famille de sang pur. Ayant déjà un héritier masculin, je n'eus pas à me plaindre de quelconque injustice que ma féminité aurait pu apporter. Bien au contraire ! Étant la première fillette de la maison, je devins au contraire personne gâtée et chérie par mes parents, mais aussi par mon frère aîné. Malgré nos deux ans d'écart, nous sommes assez proches l'un de l'autre, sans nul doute. Sans partager l'omniscience de l'autre tels des jumeaux, rares étaient les instants où nous étions séparés. Pourtant, si l'un était la joie de vivre au quotidien, l'autre n'était que froideur. Oui, j'avais été aussi froide et arrogante depuis toute petite ! Mes parents n'y voyaient rien, et continuaient à me gâter, accélérant d'autant plus le processus d'égoïsme et de narcissisme que je me forgeais. Pourtant, la glace et le feu pouvaient s'assembler... Tout comme la glace pouvait devenir accueillante. Oui, pendant quelques années, j'accueillis avec joie l'arrivée d'un petit frère et d'une petite sœur. Le premier, je n'avais que deux ans lorsque je le vis naître. Le prenant dans mes petits bras de gamine, le bébé ria, et ce fut l'une des rares fois où j'eus un véritable sourire de joie en dehors des moments avec mon grand frère. Ma petite sœur, ce fut... différent. Ce n'était qu'une "chose" qui chouinait, et je m'en désintéressa très vite, préférant retourner à la complicité de mes deux frères, que je menais déjà à la baguette à mon jeune âge. Ce fut la même chose à l'école d'ailleurs. C'était une école privée et pleine de gosses comme moi, aux parents riches et sorciers. Ils avaient déjà appris qu'il leur fallait respecter une Valingaï et certains jouaient déjà les faux-culs sur ordres de leurs parents pour pouvoir approcher ma famille. Cependant, avec mon petit caractère bien trempé, je divisais les élèves en trois parties : ceux que j'envoyais paître à l'autre bout de la cour, ceux que j'ignorais purement et simplement et ceux qui avaient le droit d'entrer dans ma "cour". Tyrannique non ? Et pourtant, c'était tellement jouissif ! Mes parents étaient déjà admiratifs de ce savoir-faire, et je continuai. D'ailleurs, ce fut dans ce genre de situation que mes pouvoirs apparurent... C'était à la récréation du matin d'une journée d'hiver : je me rappelais encore des flocons épais qui s'écrasaient au sol. Les gamins m'énervaient, à ne savoir que faire de cette neige, sans y toucher de peur de sa salir. Moi, j'en saisis une pleine poignée et la lançai sur un de ceux que j'aimais le moins, un boutonneux arrogant. Lorsqu'il la reçut, il voulut faire pareil, énervé par mon geste, mais son tir fut totalement dévié par une sorte de bouclier et le projectile se retourna contre lui. Ce fut dans cette atmosphère très joyeuse et amusante pour moi que je reçus mon hibou pour entrer à Durmstrang.
LA SCOLARITE : Durmstrang... Sacrée école non ? Pleine de magie noire, de mystère et de terreur... Alors que plusieurs tremblaient de trouille dans le bateau nous y menant, moi, j'étais heureuse et je chantonnais sans cesse, à la surprise générale. Il fallait dire que la réputation de strict et de sévère dans l'art magique ne me faisait nullement peur. J'avais acquis durant ses années passées dans un monde sans baguettes la sagesse des érudits en passant de nombreuses heures à lire. En fait, mes journées se résumaient entre manger, dormir, aller en cours, bâcler mes devoirs (en ayant toujours de bonnes notes) et lire des livres sur la magie. Je prenais des notes sur tout ce que je voyais, au point d'avoir rempli un cahier entier de sortilèges (une page par sortilège environ, avec tout ce qui le concernait). Durant le trajet, je passai mon temps à relire ceux qui pourraient m'être utile durant cette première année, en envoyant balader ceux qui voulaient venir s'asseoir avec moi. Oui, je me prenais pour la reine décidément... Cependant, je dus ravaler parfois ma fierté durant ces quelques années : les professeurs, stricts, l'exigeaient, et pour m'attirer leurs grâces, j'étais prête à tout. Cela ne m'empêchait pas d'attaquer parfois des élèves ou de faire des mauvais coups, au contraire : les professeurs, piégés malgré eux dans mon jeu de la sainte-nitouche, n'y voyaient que du feu et punissaient les victimes. Je savais pourtant qu'ici, je n'aurais pas l'impunité que j'avais eu avant. Déjà, je n'avais pas l'autorité de mes parents pour me protéger des punitions : je l'avais compris la première fois où mes parents m'envoyèrent une lettre. Ils me conseillaient de garder profil bas pour leur famille. D'accord, papa et maman, je ne jouerai plus... que dans l'ombre. On n'arrête pas ainsi une machine bien rodée ! Ensuite, les élèves ne se pliaient pas bien à ma volonté, et s'amusaient presque de cela : plusieurs d'entre eux doivent encore se souvenir des potions renversés volontairement avec passage obligés à l'infirmerie, ou bien les sortilèges de métamorphose lancés à la volée sur leurs repas. quel bon temps ! En plus, j'y apprenais beaucoup de magie noire, mais aussi de la magie plus blanche. J'excellais en particulier dans les Potions et les Sortilèges, ce qui me faisait grande joie. Cependant, un jour d'été, peu avant la rentrée de ma dernière année à Durmstrang, une grande nouvelle assez effrayante fit son irruption : je ne retournerais pas à cette école, mais irait à Poudlard. J'ai eu beau poussé des crises de colère et d'hystérie, rien n'y fit. Pourquoi ? Apparemment parce que mes parents avaient acheté une maison secondaire là-bas, et aimerait diversifier mes connaissances grâce à cette grande école réputée. Oui, bien sûr, je n'ignorais pas sa renommée, et je n'avais aucun ami à regretter. Mais ce changement d'habitudes me déconcertait. Aussi, j'allais acheter les livres demandés (qui étaient différents de ceux de Durmstrang) et ce fut la première fois que je pris le quai 9 3/4, destination Poudlard ? Ni heureuse, ni malheureuse, je subissais, simplement.
▄ curiculum vitae
composition de votre baguette : C'est Gregorovitch qui me l'a faite sur mesure à la demande de mes parents. Il savait quels éléments mettre vu qu'il connaissait bien mes parents. Ma baguette fait donc 25 cm (ce qui n'est pas très long je l'avoue), est en bois couleur ébène (du sureau je crois, mais peu importe) et contient un crin de licorne ayant baigné dans son sang. Apparemment, elle est très bonne pour la magie blanche, mais corrompue, elle sert tout à fait les désirs de la Magie noire, alors que sa pureté s'en dégage... A la fois résistance et fine, elle me sert énormément en duel.
année d'étude / matière enseignée : 7ème année d'étude
la forme de votre épouvantard : Vous croyiez qu'une personne telle que moi peut avoir des peurs ? Bon, d'accord, je l'avoue : l'épouvantard m'afficherait les cadavres d'Alex et d'Hayden.
la forme de votre patronus : Une magnifique chouette harfang.
pseudo ou prénom : Valingaï / Emeline
âge : 18 ans
avatar utilisé : Amelia Dolore
code du règlement : la poudre d'escampette s'en va au loin
autre ? : Merci d'avance.
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