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 && Quand tout un monde s'écroule. - libre

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Hope P. L. McGwen
    fornicatrice de serpents • la zoophilie est un art

Hope P. L. McGwen


Messages : 87
Camp : Du côté de Gallner. Discipline, autorité et sadisme !

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MessageSujet: && Quand tout un monde s'écroule. - libre   && Quand tout un monde s'écroule. - libre EmptyVen 26 Juin - 21:56

    « Des cris résonnaient. Ici. Là-bàs. Partout. C’étaient des cris plaintifs, angoissés. Agonisants. Ils suivaient d’un bruit sourd, comme sorti des entrailles de la terre. Une explosion. Quatre explosions. Partout, le plafond semblait se transformer en poussière. Les murs semblaient se résorber sur eux-mêmes. Tout, petit à petit, disparaissait dans une lumière blanche et blafarde. Il n’y avait plus rien. Juste un monde fantôme où rien n’existait. Ou erraient les gens, sans se voir, il n’y avait rien. Que du blanc. Que des cris. L’angoisse permanente. La peur de se déplacer. L’envie de vivre. »

    Hope s’appuya contre le mur. La fraîcheur la berça, lui rendant à peu près ses esprits. Lui balayant petit à petit cette crise d’angoisse passagère mais pourtant s’y courante. La Gryffondor posa la main sur sa poitrine. Son cœur semblait faire des bonds tout seul ; il n’avait plus besoin d’attendre que le corps profite des plaisirs pour battre d’une joie démentielle. Joie. Ce mot ne convenait pas. Car qu’y avait-il de joyeux à rester coincée aux côtés d’un mort ? Qu’y avait-il de joyeux à regarder ce mort, dans l’attente qu’on vienne vous chercher, alors que vous le connaissez ? Pire même, quand cette personne est votre ami. De toute sa vie, la Gryffondor n’avait jamais eu beaucoup d’amis ; elle n’en voulait pas. Ou avait peur de souffrir si jamais cette personne disparaissait après qu’elle s’y soit attachée. Pour Meredith, Hope avait changé les règles, elle avait décidé de faire une entorse au propre règlement qu’elle s’était fixé. Et voyez comment cela s’était terminé. Meredith, lors de l’explosion, s’était retrouvée bloquée auprès d’elle, perdant beaucoup de sang. Elle avait réveillé Hope qui s’évanouissait peu à peu, elle lui avait parlé. Elle l’avait soutenu. Et elle était morte, sans que quelqu’un ait eu le temps de venir l’aider. C’était injuste. La vie était injuste. Meredith. Ce prénom résonnait sans arrêt dans la tête de la Gryffondor. D’un ton suppliant, de plus en plus faible. C’était un souvenir, un cadeau empoisonné. Histoire que Hope ne l’oublie pas. Comme si elle pouvait l’oublier. Comme si elle pouvait oublier toutes les soirées qu’elles avaient passées ensemble. Comme si elle pouvait oublier tous les coups pas qu’elles avaient fait ensemble. C’était absurde. « Le blanc céda soudainement la place au noir. L’air se faisait plus menaçant. Des volutes de brume se déplaçaient dans les airs, allant d’un endroit à un autre. Et là, son visage apparu. Sauf que Meredith ne semblait plus être Meredith. Elle semblait être plus méchante. Sûrement l’impression que donnaient ses yeux, vides. Et là, cette phrase ; tu ne m’as pas aidé Hope. Je me vengerai ». Nouveau battement de cœur. Si cela ne s’arrêtait pas bientôt, il allait exploser. De son bras toujours valide, Hope posa sa main de nouveau sur son cœur. Calme-toi voulait-elle lui dire. Mais cela ne servirait à rien. Car elle savait que ses crises d’angoisses relevaient plus de la psychologie que d’un problème cardiaque. Elle posa sa main droite dès lors sur sa joue. Elle était brûlante. De toute manière, elle l’avait senti et son teint devait plutôt être proche du rouge pivoine que du rose bonbon. Il était temps de se lever.

    Nouveaux claquements sur le sol. Malgré les attentats, Hope n’en restait pas moins coquette et tenait à s’habiller correctement. Les talons et les robes légères étaient donc de mises. Même si la situation n’y prêtait pas vraiment. Pas du tout même. En de telles circonstances, un tailleur noir aurait été plus approprié. Tout comme des chaussures moins voyantes, claquantes. Plus sobre. Mais Hope ne faisait pas partie de ce genre de personne. Quand ça n’allait pas, elle préférait se montrer. Pour qu’on l’aide. Pour qu’on prenne soin d’elle. Pour qu’on la caresse, lui susurre des mots doux à l’oreille. La chute était en générale plus brutale. Lente descente. Car la jeune femme usait de moyen matériel pour penser à autre chose. En premier lieu venaient les hommes, débiles et inintéressants au passage. Venait ensuite son paquet de cigarette. Le problème, c’était qu’elle fumait déjà assez pour que cela lui procure une quelconque décompression. Alors, elle faisait comme les autres. Elle buvait. Et pas qu’un peu. Et pas que des choses soft. Ce qu’elle préférait, c’était les « long island ice tea ». Un cocktail plutôt fruité, léger. Sans le goût de l’alcool. Alors elle en buvait un. Puis un deuxième. Un troisième. La descente ne finissait presque jamais. Ou alors, comme d’autres encore, elle touchait aux drogues. Elle savait que c’était mauvais. Mais ce n’était pas mauvais. Elle les avait découvertes en compagnie de Savanah dans sa maison en Finlande. Le jour précis ? Elle ne s’en souvenait pas. Sûrement lors d’une de ses nombreuses soirées. L’addiction ? Elle essayait de s’en passer. Mais c’était dur. La Gryffondor venait enfin de faire trois pas lorsque la vision, fugitive une fois de plus de Meredith, apparut. S’en était trop. Elle glissa de nouveau contre le mur. A croire que c’était une habitude. Hope n’aimait pas les crises d’angoisses … ça l’angoissait, justement, à l’idée qu’elle pouvait en faire n’importe quand. Respiration haletante, battements irréguliers, elle ne se sentait vraiment pas bien. Le tintement régulier d’une goutte d’eau commença à se faire entendre dans le couloir ; la jeune femme en profita pour regarder le plafond, la tête largement appuyée contre le mur. Elle avait besoin d’un contact. N’importe lequel. N’importe quand. Enfin si, maintenant. Rageusement, elle essuya les larmes qui lui coulaient sur les joues. Heureusement que son mascara était waterproof. Sinon, c’était vraiment la merde. Déjà que ça l’était déjà. Déjà que ça ne s’arrêtait pas. D’un geste fébrile, la demoiselle fouilla dans son sac. Elle y rencontra toutes sortes de choses qui ne devaient pas être là. Ses doigts rencontrèrent une petite boîte rectangulaire. Sans hésiter, elle la sorti. Fumer ici ? Dans les couloirs ? Pourquoi pas, il faut juste ne pas se faire attraper. De la main droite, elle plaça sa cigarette à l’envers dans sa bouche et, toujours de la même main, elle attrapa son briquet et alluma son Graal du moment.
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Corey T. White
I'll Be Just Fine Pretending I'm Not !
Corey T. White


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MessageSujet: Re: && Quand tout un monde s'écroule. - libre   && Quand tout un monde s'écroule. - libre EmptyMer 8 Juil - 22:46



&& Quand tout un monde s'écroule. - libre Gerardway
I will avenge my ghost with every breath I take
I'm coming back from the dead and I'll take you home with me
I'm taking back the life you stole



    Un café – Une clope – Une clope – Un café – Un café – Une clope…Voila en quoi se résumait le début de journée du jeune White et il avait ingérer tellement de caféine que une fois encore il était révolté. Chargé a bloc, prêt a tout démonté mais coincé dans la routine morne et banale de Poudlard. Les journées ici avaient parfois tendances à toutes se ressemblées. Oh bien sûre il y avait eu les attentats mais cela n’avait pas fortement changé son quotidien. Tout juste égratigné, il était endormi sous un arbre du parc lorsque les événements c’étaient produits. Il avait eu bien raison de rester la à cuver sa bouteille de vodka tout seul et dans le calme. L’égoïsme et la solitude avaient finalement du bon parfois ! Corey ricana et il jeta sa clope quelques mètres plus loin. C’était au moins la quatrième fois depuis ce matin, qu’il descendait pour fumer en cachette, à l’abris d’un arbre au vaste tronc et à l’épais feuillage.

    Corey passa une main dans ses cheveux déjà naturellement ébouriffés et sans attendre il prit le chemin du château. Il avait développé depuis longtemps cette addiction au tabac et à la caféine et certain jour par pur plaisir il partait en marathon contre lui-même. Combien de café pourrait il boire ? Combien de clope pourrait il fumer ? Avant de totalement péter les plombs, perdre tout contrôle et donné lieu a une magnifique crise de nerfs. Il avait toujours aimé se pousser lui-même dans ses retranchements et aujourd’hui il ne faisait que le prouvé une fois de plus. La miné livide et dépressive comme à son habitude, il avançait d’un pas lent tout en profitant de sa lente descente aux enfers. Corey était du genre a apprécié le fait d’aller mal…Aller donc chercher à comprendre !!! L'habitude de cet état peu être!

    Marche après marche, il montait les nombreux escaliers le menant vers le dortoir des Serdaigle. Combien de temps tiendrait il avant de courir aux cuisines pour demander un nouveau café ? Pas plus de vingt minutes probablement ! Ces pas ne faisaient aucuns de bruits sur le sol, il avait opté ce matin pour une paire de converse noir, allant très bien avec son jeans et son t-shirt tout aussi noir. Simple mais efficace, et le noir constituait l’essentiel de sa garde robe. Atteignant petit a petit les hauteurs du château, Corey poussa un juron a l’adresse des escaliers capricieux qui l’obligèrent à faire un détour. En tournant pour la deuxième fois à droite, il aperçu une silhouette féminine qui se dessinait au milieu du couloir. Aux premiers abords, elle était assise sur le sol et semblait…s’allumer une clope ! Il ne fallut pas longtemps pour que l’odeur ne viennent chatouillé ses narines. Sans réfléchir et suivant ses pulsions, il accéléra le pas déclara…

    Corey – Ça alors ! Une rebelle ! Une vraie !

    Dans sa voix c’était mêlé le cynisme, l’admiration, le respect et la moquerie. Il était très doué pour allié des sentiments qui n’avaient absolument rien avoir les uns avec les autres. Corey sortit une clope de sa poche et l’alluma pour suivre le mouvement. Accélérant le pas, il s’arrêta finalement a hauteur de la demoiselle et prêta plus d’attention à ses traits. Elle était d’une beauté incontestable, si bien que pendant quelques secondes il garda le silence. Il ne lui fallut pas bien longtemps pourtant pout distinguer que sous l’éclat se cachait la fêlure. Elle ne semblait vraiment pas aller bien du tout et envahit par son instinct de protection surdimensionné, il s’accroupit et posa une main sur le front de la Gryffondor. Faisant glissé sa main sur sa joue il chassa une mèche de cheveux qui collait à sa peau et il reprit la parole.

    Corey – Me dis pas que t’es comme les autres et que t’as rien bouffé depuis des jours? Trop de filles ont peur des kilo !

    Il ricana pour tenter de détendre l’atmosphère, tirant sur sa clope, il laissa son regard glisser sur la demoiselle. Devait il l’emmener à l’infirmerie ? Il avait vu tellement de chose à Poudlard qu’il avait fini par penser que se fier aux « autorités » n’était pas toujours le meilleur des choix.

    Corey – T’as prit quelque chose ?

    Drogues peut être ! Ou encore un élève qui tenait de tester ses potions sur lui-même ! Il avait déjà tenté les deux après tout, alors pourquoi pas elle? Corey secoua lentement la tête et il posa sa main fraîche sur l’épaule de la Gryffondor.

    Corey – Qu’est ce qui va pas ? Je peux t’aider ?

    Il aurait pu la laissée la mais ce n’était pas son genre. Si une demoiselle avait besoin d’aide il ne pouvait que l’aidée et cela malgré la foule de défaut qui pouvaient le caractérisé.

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Hope P. L. McGwen
    fornicatrice de serpents • la zoophilie est un art

Hope P. L. McGwen


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MessageSujet: Re: && Quand tout un monde s'écroule. - libre   && Quand tout un monde s'écroule. - libre EmptyMar 21 Juil - 22:22

    Un bruit commençait à se faire entendre sur la gauche. Des bruits de pas précisément. Et comme Hope n’était pas experte en la matière –disons qu’elle ne reconnait pas une personne selon le bruit qu’elle fait- elle commença légèrement à paniquer. Légèrement car, comparé à tantôt, c’était moins grave. D’après son appréciation. Car déjà que c’est interdit de fumer dehors, mais si elle se mettait à faire l’action dans les couloirs, c’était autre chose. Machinalement, elle cacha sa clope derrière elle. Idée ridicule et totalement stupide. D’autant plus que ce genre de chose, ça fait de la fumée. Et que celle-ci est odorante. Pour certains, l’odeur est même infecte, irrespirable. Pour Hope, c’était une odeur habituelle. Presque réconfortante. Du moment que ça ne sente pas le tabac froid ; elle en avait horreur. Comme si de rien était, elle regarda la masse sombre venir vers elle. Un élève. Quel con à lui avoir fait peur comme cela ! Elle le regarda s’approcher, un sourire aux lèvres. « Ça alors ! Une rebelle ! Une vraie ! ». Décidément, quel con ! semblait toujours la meilleure chose à dire. Pendant qu’il y était, il n’avait qu’à crier plus fort, plusieurs fois. Au moins, elle était sûre de se faire prendre. La jeune femme ne put s’empêcher de plisser les yeux, chose qu’elle faisait généralement en même temps que pincer les lèvres. Histoire de montrer son mécontentement. Et puis, elle avait vraiment l’air d’une rebelle ? Pas franchement non. A moins qu’ils ne se mettent à porter des robes… Imaginez, un instant, un de ses lascards descendant de l’homme préhistorique dans sa démarche, porter une robe et des bas. Tordant. Vraiment tordant. Peut être une réflexion qui arracha un autre sourire à ses lèvres. Et voilà que le jeune homme venait de s’arrêter devant elle. Qu’est-ce qu’il lui voulait à la fin ? Et puis, c’était quoi cette attitude ? C’était la première fois qu’une personne qu’elle ne connaissait pas venait la toucher. Quoique … Comme si elle connaissait les coups d’un soir. « Idiote ». Elle le regarda dans les yeux, essayant de deviner à quoi il pensait. Leur éclat était très … étrange. Différents sentiments semblaient y être mêlés. Mais d’une manière tellement enchevêtrée que rien n’arrivait à sortir. Un peu comme si tout était là. Comme si rien n’était là. Le visage de Meredith prit soudain la place de celui-du jeune homme. Un court instant, le temps que Hope baisse les yeux.

    « Me dis pas que t’es comme les autres et que t’as rien bouffé depuis des jours? Trop de filles ont peur des kilo ! »Immédiatement, elle releva la tête. Non mais, c’était quoi cette question ? Il était vraiment bizarre comme mec, un peu louche sur les bords. Mais en même temps, il paraissait si gentil. Alors, comment prendre cette remarque ? La Rouge & Or devait-elle se sentir agressée ou alors devait-elle prendre cela avec le sourire. Comme si c’était une tentative un peu gauche de l’aborder. Un ricanement sympathique lui fit comprendre que la deuxième option était la meilleure. L’instinct, vous voyez ? Parce que certaines personnes prennent les ricanements comme des attaques personnelles. Alors que cela ne peut être qu’un rire discret, qu’on ne veut pas montrer. Ou alors, quelque chose de moqueur. Mais il n’y avait rien de moqueur dans le ton de la voix. Finalement, ce n’était peut être pas un petit con. « Non, si ça peut te rassurer. J’aime trop les légumes pour m’arrêter de manger. ». Les légumes et le poisson. La demoiselle était végétarienne. Elle n’aimait pas la cruauté des hommes, la manière de tuer les animaux. Dans son enfance, elle s’était trop attachée à certains pour que cela ne la répugne pas. Pourtant, en Finlande, son attitude était vécue comme une sorte de trahison. Dans sa ville natale, Mikkeli, comme dans les environs, manger de la viande était une manière de se rapprocher, de rendre gloire et honneur aux animaux avec lesquels on avait vécu. Étrange pratique que la demoiselle n’affectionnait pas. Elle trouvait que cela ressemblait plus au comportement d’un ogre qu’à un humain. Les finlandais était finalement tous des ogres.

    De nouveau, elle regarda le jeune homme. C’était elle ou elle venait de le voir tirer sur sa clope ? Non, elle ne rêvait pas. D’ailleurs, elle n’avait pas rêvé de la journée. Elle l’avait passé à cauchemarder, le fantôme de Meredith dans son dos. Son ex-meilleure amie. A la vie à la mort, qu’elle avait dit un jour. Mais la mort ne semblait pas une délivrance, plutôt un moyen d’entreprendre une vengeance. Pour quoi ? Et pourquoi ? Comment aurait-elle pu la sauver alors qu’elle était bloquée sous un mur, les côtes brisées, le cadavre de M. démembrée. A cette pensée, elle en frissonna. Heureusement que le jeune homme était là pour relancer la discussion. « T’as prit quelque chose ?. Pas franchement le genre de question à laquelle elle s’attendait. Pour le moment, Hope se contenta de le fixer, sans un mot. Sans vraiment comprendre non plus. Sa question sonnait comme une affirmation alors que ce n’était pas le cas. Elle remarqua les traits fins de son visage, le fait qu’il était toujours accroupi devant elle ; il allait se casser les jambes à rester dans cette position. Pourtant, elle ne l’invita pas à s’assoir. Car elle réfléchissait. Non, elle n’avait rien prit fit-elle finalement savoir d’un signe de tête négatif. Rien du tout. Quoique … Elle lui présenta sa cigarette. C’était la seule chose qu’elle avait pris. Et elle savait qu’il n’y avait rien de suspect là-dedans. Non pas que c’était-elle qui faisait les propres cigarettes. Mais parce qu’elle les achetait toujours au même endroit ; en Finlande. Et comme les courriers n’étaient pas surveillés, elle les faisait arriver par hiboux.

    « Qu’est ce qui va pas ? Je peux t’aider ? Non, il était clair qu’il ne pouvait pas l’aider. Même si elle parlait de son problème, elle savait qu’il ne saurait que répondre. Dans un cas identique, elle aussi n’aurait rien trouvé à dire. Elle aurait eut beau cherché, creusé, elle n’avait pas le talent nécessaire. Tout de même, elle l’invita à s’assoir à ses côtés, en tapotant à ses côtés. S’adosser au mur était quelque chose de plus tranquille, de plus rassurant. Elle se décida alors à parler. « Il n’y a rien à dire, ce sont juste ces … apparitions … fugitives. Elles font … peur. Me poussent à la … panique. » Les derniers mots avaient été presque prononcés dans un étouffement. Elle ne pensait pas qu’il suffisait d’en parler pour que Meredith fasse son apparition. M. lui manquait. Des larmes ne tardèrent pas à couler.

    Hj ; Mea Culpa pour le temps de réponse. Je mettrai moins de temps la prochaine fois =)
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