| | | Charly Reese Nicholls ( FINISH ) |  |
| | | Auteur | Message |
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Charly R. Nicholls
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Camp : Neutre. Je m'en contre-fiche.
|  Sujet: Charly Reese Nicholls ( FINISH ) Lun 18 Mai - 17:54 | |
| Charly Reese Nicholls;
nom : Reese Nicholls
prénom(s) : Charly
âge : 17 ans
date de naissance : 19 janvier 2075
lieu de naissance : Dans un hôpital moldu de Bâton-Rouge en Louisiane.
lieu de résidence : Louisiane, Bâton-rouge.
nationalité : Américaine
▄ la fiche d'indentifcation
description physique (10 lignes minimum) : : Généralement, les blondes aux yeux bleus sont belles. Charly fait partit de ses femmes, en fait de ses filles. Considérons, qu’elle est toujours une adolescente, même si elle est formée comme une femme depuis l’âge de douze ans. Cette enfant est précoce, croyez-moi. Sauf qu’elle a une peur qu’elle, seule, connaît. Charly adore la mode. Elle a changé mainte et mainte fois de coupe et de couleur de cheveux. C’est sa façon à elle de montrer ce qu’elle est ou essayer de se sortir du lot. Pourtant, Charly est comme les autres filles/femmes qui s’intéressent à la mode. La jeune femme s’est toujours montrée séduisante, sa façon de s’habiller va avec les mouvements. Justement, sa première année à Poudlard se fût plus le style « Dark » et « Emo ». C’est là qu’elle connût les rallonges qui lui servent depuis bien des années. C’est grâce à eux qu’elle a sût jouer avec ses coupes. Une journée, elle pouvait avoir les cheveux longs et le lendemain mi-long. Tout dépendait de son humeur selon les années et les tendances. C’est vers la troisième année qu’elle laissa tomber le look « Emo » ( Qui n’est pas un look, mais un mouvement de musique. Je préfère le dire. ) et elle préféra redevenir blonde platine presque blanc comme quand elle était jeune. J’ai oublié de vous mentionnez que Charly était une blonde à sa naissance, jusqu’à temps qu’elle décide de changer avant son arrivé à Poudlard, même si elle était très jeune à l’époque. Charly a la peau très pâle, ses cheveux ne l’aidant pas à avoir la peau foncé et la pigmentation de sa peau est fait ainsi. Elle ne bronze que très peu, souvent quand elle n’applique pas de la crème solaire, elle finit par avoir d’énorme coup de soleil. Elle doit toujours en mettre quand elle est exposée au soleil. Les maladies de peau chez les gens à la peau pâle, les cheveux pâles et les yeux pâles arrivent plus fréquemment que chez la personne ayant la peau foncé, les yeux foncés et les yeux foncés. Charly avait les cheveux blonds, la peau pâle et les yeux bleus clairs. Ce qu’on remarque en premier chez notre belle blonde, c’est ses cheveux qui ont parfois des rallonges de couleur qui se font remarquer, mais quand on regarde son visage, c’est ses yeux bleus comme l’océan… Comme le ciel que l’on voit. Charly n’est pas bien grande. Elle est dans la moyenne, comme plusieurs, mais ce n’est pas elle qui se détache du lot. Elle mesure environ un mètre soixante-quatre. La jeune femme est extrêmement maigre, ce n’est pu mince, mais maigre. On pourrait la qualifier d’anorexique au premier coup d’œil, mais elle mange chaque jour à sa faim. Charly a un corps proportionné. Elle n’a pas de grosse fesse par rapport au reste de son corps. Certaines personnes se retrouvent avec un corps qui ressemble à une poire – Mince le haut du corps et un peu volumineux vers le bas -. Au fait, Charly n’a pas les oreilles décollés de sa tête. Elle aurait pèté un câble d’avoir ce genre d’oreille, elle plaint les personnes qui sont prises avec ça. Cette dernière a aussi des lèvres pulpeuses, ne comparons pas avec Angelina Jolie pas à ce point. Elles sont correctes.
description du caractère (10 lignes minimum) :: Ne croyez pas aux stéréotypes sur les blondes. Elles ne sont pas tous des garces et très peu intelligente. Tout le monde dans leurs vies à déjà été long sur la détente. Croyez-moi ne croyez pas aux stéréotypes. La vie est remplie de stéréotype, ce qui fâche plus d’une personne, comme Charly. La vie n’est pas un conte de fée… Jamais elle ne sera parfaite. La vie continu pendant que certains vivent des malheurs atroces. Ils continuent, pendant que d’autres se plaignent de ne pas sortir, d’autres sont tapis dans leurs coins en essayant de se convaincre que la vie peut être belle. La vie est un miracle, mais on ne donne pas la vie à quelqu’un qu’on ne croit pas aimer. Qu’on ne veut pas avoir… Qu’on ne désire pas. Charly n’était pas désirée par ses parents. Son bonheur n’a jamais existé ou n’a presque jamais existé. Il a peut-être été présent cinq petites minutes de sa vie. Charly a toujours été solitaire, je ne dis pas qu’elle n’aime pas avoir un peu de compagnie, mais ce n’est pas celle qui en demande le plus. Ce qu’elle demande, c’est du calme. Elle a des amis bien sûr, mais ses amis sont précieux. On ne leur touche pas, c’est à elle. La jeune femme est possessive. C’est à elle ne toucher pas, sinon vous aller en payer le prix. Demandons à notre jeune ami qui a eut le droit à une paire de ciseau planter dans la main. Elle ne donne qu’un seul avertissement. Ne la faites pas chier, car je l’ai dit… vous en payez le prix. Charly ment souvent pour cacher la vérité. Elle s’ouvre à quelques personnes, maximum trois, mais elle doit avoir une extrême confiance. Sa vie est un enfer depuis sa naissance, alors elle est craintive côté confiance. Il faut la comprendre, elle a toujours été battu et humilié. Est-ce qu’il faut quelques choses plus pour ne pu croire au bien ? À sa place, sa serait suffisant pour que la confiance soit disparu et le cœur aussi dur que le roc. Charly a un cœur, mais il est petit et brisé. Brisé par tout ce qu’on lui a fait… Il n’est pas encore mort, mais… Il n’en reste que des miettes. Elle a l’impression parfois que la vie donnait tout aux autres et rien à elle. Il y avait tant d’injustice qu’elle ne croit pu au bien et au mal ou les gentils et les méchants. Elle a remarqué que les gentils sont stéréotypés, les gens trouvent des raisons parfois stupide pour les disculpé et les méchant, c’est horrible. Tellement horrible qu’il doit être jugé pour la peine de mort, si vous préférez le baiser de la mort. Charly a déjà dit à sa mère : Les gentils volent les âmes des gens et les tuent… et les méchants eux n’atteignent que le physique. Elle avait eut le droit à que des reproches et des insultes de la part de sa mère. Charly a une façon de penser bien à elle, mais n’ayez crainte, elle est ouverte d’esprit. La jeune femme préfère voir que de passer à côté de la plaque. Elle écoute, sans répondre, elle ne dit pas son point de vu par rapport à la façon de penser de l’autre, mais elle est ouverte. Elle aime mieux se taire et réfléchir à la façon de penser que l’autres à. Charly a des buts, elle veut les atteindre, même si elle doit en blesser plus qu’un. Cette dernière a une ambition, elle aimerait devenir un mage noir... Elle ferait n’importe quoi. Elle est énormément ambitieuse sur ce point, aussi, le fait qu’elle veut faire payer à la terre entière ce qu’elle a enduré. Charly est plutôt froide, au premier, le deuxième, le troisième… Approche… je dirais même qu’elle est froide toute les jours de sa vie. Elle ne sourit pratiquement jamais, elle a l’impression que tout bonheur n’existe pas. Elle désespère, elle est souvent dans un état dépressif. Charly est souvent de mauvaise humeur, il n’y a pas une journée qu’elle voit des couples heureux et « gentils » - Supposément - sa lui donne mal au cœur, car elle a déjà connu le sentiment d’aimé, elle a un cœur, mais son cœur est mort… Quand elle a aimé, on lui a immédiatement brisé le cœur, ce qui a finit en fiasco. La jeune Blondasse a tendance à se venger, on la blesse, elle se venge. Parfois, elle ne réussit pas dès maintenant, sur le coup. Même après des années, elle n’oublie pas ce qu’on lui a fait. Sa vengeance n’est jamais douce, c’est souvent violent et parfois sanglant. Charly est une perverse, mais il y a une peur qui fait qu’elle ne va pas au bout de son acte. Elle ne dit jamais rien. C’est pour cela, parfois, qu’elle laisse tomber le garçon avant que ce dernier ne sache son secret. Elle n’aimerait pas que son ego soit touché. Elle est tout de même orgueilleuse. Charly est un personnage Cynique, elle ne déforme pas la réalité ( Quand elle dit la vérité bien sûr ) pour faire plaisir au monde. Elle dit ce qu’elle pense, elle a compris que parfois mentir était meilleur pour elle. Notre belle Blondie est une manipulatrice, elle peut jouer sur ses expressions faciales, comme elle désire de passer du sérieux au triste… au femme sensuel jusqu’au femme sadique. Elle joue comme si elle serait une actrice dans un théâtre, mais ça elle l’utilise quand elle en a vraiment besoin. Pourquoi se casser la tête ? Elle a des plans machiavéliques, elle se venge constamment, elle joue aux actrices, elle est menteuse, cynique… N’oublions pas qu’elle est… Huuum malpolie. En jouant à tout ça qui est ce qu’elle est, bien sûr, depuis son plus jeune âge, elle est rusée. Parfois, elle manque de jugement, mais plus qu’elle vieillit, plus qu’elle devient une femme brillante, méchante, rusée... C’est une jeune fille qui souffre, mais son orgueil en arracherait un coup. Elle aimerait au moins qu’une personne dans ce monde lui donne un petit peu d’affection, ce n’est pas grand-chose de demander… Quoique ?
histoire générale (25 lignes minimum) :•
Pour bien vous situer dans l’histoire. Je dois commencer par le commencement. Je m’appelle Charly Reese Nicholls et on me dit folle. Je dois aller chez le psychologue, quelques fois par année. On dit que sa me ferait du bien. Voilà où ma vie en est. Je suis une folle, mais je n’en crois pas un mot. Vous m’avez rendu ainsi. Vous avez créé le monstre que vous vouliez voir, ce n’est pas de ma faute. Le monstre c’est vous. Arrêtez de rejeter la faute sur moi, car aussi bas que je suis, vous êtes encore plus bas que moi. Plus tard, je serai sur un piédestal pendant que vous, vous allez me lécher les pieds aussi souvent que je le demanderai.
« Bonjour Charly. Vous allez mieux que la dernière fois ? »
J’émis un grognement mécontente de me retrouver ici. Qui qui aurait voulu se confier à un inconnu qui vous prend déjà pour une folle? Peut-être que j’ai des problèmes, mais je ne suis pas la seule. Qu’on me laisse en paix pour une fois. Ce n’est rien demandé, non ? Mais j’ai assez eut de problème dans ma vie. On m’oblige à y aller pour mon bien, mais personne ne se soucie vraiment de mon bien. Voilà le problème.
« Charly si vous voulez que je vous aide, vous devez… vous aider »
« Si vous voulez réellement m’aider, lâchez-moi. »
« Racontez-moi Charly. Je ne dirai rien sur votre passé. »
« Non »
« Il faut laisser confiance à votre Psychologue »
« Je n’ai confiance en personne… »
« Pourquoi ? »
« Bon d’accord. Je vais raconter. Mais laissez-moi partir par la suite. »
« D’accord, je vous écoute ! »
« Je suis née comme tout le monde, sauf que ma famille ne me désirait pas. Mes parents voulaient avoir un troisième garçon. Ils n’ont pas voulu savoir le sexe de l’enfant quand ma mère a passé les échographies. Ma mère n’a jamais cru qu’elle aurait une fille, sauf que là, elle fût surprise à l’accouchement que c’était une petite fille. »
J’émis un petit rire. « Quelle Déception ! Donner la vie à un être vivant que l’on désir pas est une mauvaise chose. Voyez où ce que sa mène, monsieur. J’étais un enfant comme un autre, je pleurais en naissant, mais quelques minutes plus tard, j’offrais les plus beaux sourires que je savais faire à ce jeune âge. Je vivais, respirais, dormais, mangeais, souriais et jouais, mais on ne m’aimait pas. À part, bien sûr, mes tantes qui disaient que ma mère avait de la chance d’avoir un enfant comme moi. Mon père n’était pas fier, il me regardait comme si j’étais une charogne. Moi, je pensais que c’était un regard tendre et doux, juste à temps que je regarde la télévision et que je vois une mère qui avait perdu leurs enfants dans un feu. La madame avait l’air chagriné et presque folle. Elle était en crise, mais ma mère n’a jamais été ainsi. Je voyais dans les yeux de mes parents, comment mes frères étaient importants et… moi une rien que rien. Savoir qu’on est un enfant qui déçoit les parents ça fait tout un choc. Je me suis renfermée sur moi-même. Ma mère ne voulait pas de moi… Alors pourquoi aller vers elle, quand je savais qu’elle ne m’aimait pas ? »
Je soupirai. Tout était si laid chez moi, ma vie… ma façon d’agir. J’avais déjà pris la résolution depuis longtemps de me venger de tout. D’oubliée le chagrin qui était ancré en moi. J’avais l’impression d’être morte après mes trois ans, sauf que j’avais pas envie d’en parler à mon psychologue. J’avais pas besoin qu’il décide de me prendre en pitié. La pitié montrait que j’étais faible et ce n’est pas ça que je cherche. Je suis orgueilleuse, vous comprenez ? Voir que quelqu’un me prend en pitié m’énerve au plus au point.
Dernière édition par Charly R. Nicholls le Sam 8 Aoû - 23:17, édité 2 fois | |
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| | Sujet: Re: Charly Reese Nicholls ( FINISH ) Lun 18 Mai - 18:46 | |
| « Je vieillis, comme une fille plutôt solitaire. On m’envoya dans une garderie quand ma mère travaillait à la maison. Mes frères étaient à la maison, sauf moi. Moi je devais aller ailleurs. Elle se sentait mal quand j’étais là, elle disait que je l’énervais et que je pinçais mes frères. Je n’ai jamais fait du mal à mes frères étant jeune. Je passai donc mes journées à la garderie. Je ne me plaignais pas. Je pouvais rester dans mon coin, sans que personne ne vienne me déranger, sauf que parfois les autres enfants m’énervaient. Je leurs faisais déjà peur quand je les regardais tout droit dans les yeux, quand il y en a un qui me poussait à bout, je leurs lançais des jouets en hypocrite. À quoi bon me faire prendre ? Faire mal aux autres me défoulait. Vous allez me dire que j’étais déjà agressive à mon très jeune âge. Oui. J’avais quatre ans et je faisais « ma loi ». Disons que ça me faisait énormément du bien. Une fois, on me surveilla et je ne le savais pas. Je me fis prendre. On me renvoya de la garderie. De toute façon, je n’étais pas attachée à cet endroit. Je retournai donc chez moi. Ma mère n’essaye pas de trouver une autre alternative. Mes oncles et mes tantes avaient remarqué sa drôle de façon d’agir avec moi. Je n’ai jamais chialé à mes oncles et mes tantes ce que je vivais, j’étais jeune. Sauf que, voilà, je remarquais que j’étais capable de faire plier les gens en ma faveur en leur faisant des expressions mignonnes. Il fallait me montrer innocente face aux autres. Inconsciemment, je commençai à manipuler les gens, les gens de mon entourage, sauf mes parents et mes frères. Je grandis, donc. »
J’émis un nouveau sourire. Grandir était une étape de la vie, mais l’enfant est toujours innocent face aux situations. L’enfant est plus intelligent que l’on pense. Inconsciemment, il réalise des choses. Moi, j’ai toujours été à l’écart. J’avais appris à aimer, mais personne ne se doutait que j’en avais besoin. En fait, c’était plutôt logique que j’aille besoin d’une mère et d’un père. J’avais l’impression d’espionner à la porte et voir une famille pleins d’affections et moi une étrangère qui cherchait ce que mes parents donnaient à mes frères. J’étais seule au monde.
« Pourtant, je ne me sentais pas apprécier. Je ne le fus jamais. Ma mère affirme le contraire, mais c’est faux. C’est pour sauver les apparences. Vers l’âge de cinq ans, j’ai eût mon premier signe que j’étais une sorcière. Mes frères m’ont fait fâché. Puis, je ne voyais que du rouge. J’avais l’impression de brûler. Puis Pouf ! J’entendis des cris : On appelait ma mère. Je ne comprenais pas. Qu’est-ce qui se passait ? Je regardai mes frères. Leurs vêtements étaient en feux. Ma mère arriva dans la chambre. J’eus une énorme punition. Elle m’enferma dans ma chambre pendant une semaine. J’avais le droit d’Aller au toilette et prendre mon bain, mais pas plus. Je mangeais dans ma chambre. Je n’avais pas le droit de jouer avec mes jouets. Ce fût la semaine la plus longue, la plus silencieuse pour ma part. Ma mère fit exprès pour offrir des cadeaux à mes frères et me donner les repas que je déteste le plus, pendant cette semaine. Je fus pénalisée sur tous les angles. J’étais triste, mais une haine grandissait en moi… Et si sa faisait éruption, sa serait un carnage. Je grandis encore, encore. Ma perception changeait parfois, mais ma conclusion restait la même : J’étais détestée. Mes frères me persécutaient. Je pleurais rarement, c’est comme si mon cœur était mort. Souvent, on devait m’emmener à l’hôpital pour des blessures mineurs ; bras cassé, nez cassé, entorse, front fendu… Ce n’était pas bien grave pour ma mère, mes frères s’amusaient, sauf que mes frères étaient à Poudlard maintenant, sauf pendant les vacances et bientôt sa serait mon tour, sauf qu’on ne savait pas trop si j’allais être acceptée à cette école. Ma mère disait que je n’étais qu’une bonne à rien et que Poudlard n’accepterait jamais des filles comme moi. Je ne l’écoutais pas, je rêvassais de trouver un endroit et encore une fois je le gardais pour moi. C’était mon secret. Mes frères n’étant pas là, ma mère devait trouver une raison de ne pas s’occuper de moi. Elle s’en trouvait et me punissait pour un rien. Surtout qu’une fois, j’ai déboulé les marches et je fus punis. Je ne comprenais pas pourquoi on me punissait. Ma mère voulait ma peau, je crois. J’en suis sûre. C’est pendant les vacances de mes dix ans que je reçu une lettre. Je la reconnus, car elle arriva en même temps que les effets scolaires de mes frères. C’était une lettre de Poudlard. J’étais heureuse. Oh, oui… heureuse ! Je souris pour une de ses rares fois depuis que je suis petite. Poudlard, wow ! J’étais fière. Je commençais déjà à faire mes valises. Je restai silencieuse, envers ma famille, mais je témoignais ma joie la porte fermée dans ma chambre en dansant dans un coin. »
Eh Oui. C’était un de ses moments où j’avais un sourire au visage. Un de ses moments, qui m’avaient rendu folle de joie. C’était une première depuis bien longtemps. Je dansais dans ma chambre. Je m’amusais. C’est juste avant de partir pour Poudlard que je changea mes cheveux de couleur, ils restèrent blond, mais avec des rayures noir, plusieurs mèches brunes et je rajoutai aussi des rallonges à ma belle crinière. C’est vrai ma valise était fait directement après avoir reçu ma lettre. J’étais tellement heureuse, donc bon.
« Mes parents allèrent acheter les effets. Le reste se passa vite. Le jour J arriva. J’étais prête. Je me levai tôt et ne parla à personne. Mes parents m’emmenèrent à la barre neuf et trois quarts. Je pris le train. J’étais assise dans un compartiment avec d’autres, mais je ne leurs ai pas parlé, je les observais plutôt. J’analysais chaque personne. Il me regardait un peu effrayé, car je ne souriais pas, je les fixais. Ils me parlèrent donc jamais, mais je les entendis chuchoter plus tard que je faisais peur. Cela me fit sourire. »
Je ris.
« Je n’étais aucunement stressée, même pendant la répartition. Le choixpeau m’appela. Je me dirigeai vers le petit banc. Il fit son petit discoure. Il m’envoya dans une des grandes maisons, la maison de ( Maison ) . Je partis donc vers la table où je m’assis. Je regardai la fin de la répartition. J’ai mangé avec les personnes de ma maison. Je répondis quelques fois à leurs questions, mais encore une fois j’observais, je prenais des notes. Je savais déjà qui que j’aimais et qui je n’allais pas aimer. La façon dont certains agissaient m’agaçait. C’est que plus tard que mon agressivité ressortit en première année. Il y en a un qui m’énervait. Il m’en faisait baver. Je l’Ai étranglé avec un oreiller, sauf qu’on m’a arrêté avant que je termine le travail. Le directeur de ma maison me parla. J’eus une retenue et j’étais surveillée, maintenant. Mes frères en parlèrent à ma mère et je fus punis à noël. Ma haine grandissait encore. L’année finit par se terminer, j’avais vieilli de un an. J’avais passé ma première année haut la main, le garçon était encore terrorisé par mon agressivité et ma façon violente de l’avoir fait arrêter. Je passai en deuxième année. Encore là, je fus agressive avec quelques élèves ont me punis pendant les vacances. C’est en troisième année que ma vie changea. Ma vie devint insupportable. J’étais tombée amoureuse d’un garçon. J’étais folle de lui. Je sentais battre mon cœur à vive allure, quand il était près de moi. Je demandai pour sortir avec lui. Il me dit oui. Mais mon couple ne dura pas longtemps, il me laissa après deux mois disant qu’il y avait de la chair fraîche ailleurs. Je fus terriblement blessée. Mon agressivité disparu pendant quelques temps. J’étais trop triste pour penser. J’avais de la peine. J’ai pleuré. Je ne me fis pas punir pour une fois pendant les vacances de noël. Mon plus vieux frères à quatre ans de différence avec moi. Il était donc en septième. J’étais déjà formée comme une femme. En tout cas, pendant les vacances de noël ma mère et mon père sortirent, je me faisais garder par mon grand frère Keven. Je restais dans ma chambre à écrire et lire. Je ne dérangeais personne. Je ne savais pas que mon frère avait emmené quelques amis moldus en bas. Il y avait de l’alcool. Mon frère but trop à ce que j’ai compris. Plus tard, il monta les marches. Je venais d’aller me coucher. J’entendis la porte s’entrouvrir. Je lui ai demandé qui c’était. J’attendais sa respiration. Tout d’un on me prit. On me tenait fermement sur mon lit. Je me débattais. Il me frappa. Mon frère dit des mots incompréhensible. Je le reconnus grâce à sa voix. Je le suppliais de me lâcher… Il me déshabilla de force. Quand je me débattis pour une énième fois, il me mordit jusqu’au sang. Je pleurais. Il me viola. Keven me menaça après. Il me laissa là. J’ai pleuré toute la nuit. Je suis retournée à Poudlard après. Je voyais souvent mon frère se promener dans les couloirs. Un soir, j’ai décidé de fuguer. Je partis, donc, vers la forêt interdite. Je me perdis. Je voulais disparaître. J’avais envie de mourir. C’était trop. J’en avais trop sur le dos. On me retrouva deux jours plus tard. J’avais faim, très faim. Je n’ai pas mangé pendant deux jours. Il paraît que c’était étonnant que je sois encore vivant. C’est les professeurs de Poudlard qui me retrouva. Je fis encore un petit tour dans le bureau du directeur et je dû aller à l’infirmerie, car j’étais blessée. Je gardais silence. Je n’avais pas envie de parler. Vers le printemps, cette même année, mes frères m’ont humilié plus que jamais. Il le faisait avant, mais c’était endurable. Ils me prirent de force et m’emmenèrent jusqu’au lac où ils essayèrent de me noyer. J’avais quinze ans. Les gens riaient autour de moi. Je me souvins. Je me débattais. Aucun adulte n’était là. Je réussis à me sauver. Je me suis mise à pleurer quand je fus à l’écart des gens. J’entendais les rires. C’était affreux. Mon cœur était mort. Je n’avais plus de pitié pour personne. Je déteste la terre entière. Tout le monde est visé. Les gentils ne sont pas gentils. Les méchants sont mes amis… Ne dites pas que mes frères sont méchants, car eux… Ils sont rien. Je sens les gens. Je sens les gens qui sont dangereux… Eux, ils sont faibles. Ils attaquent en groupe et les plus jeunes sans défense. Les autres élèves subirent quelques calvaires, car je me battais maintenant souvent. »
Je ris encore, mais d’un rire froid.
« Je n’avais pas peur de voir les gens souffrirent je m’en foutais. J’avais vu un meurtre. Le meurtre qu’Alice avait fait. Ça ne m’avait pas déranger le moindre du monde. Je m’en foutais. Les gens souffraient et je trouvais cela presque jouissif. Le mal des autres me faisait un bien fou. Oui, j’avais des amis, ceux-ci sont précieux. Je ne leurs aurai jamais fait du mal, car il ne me faisait aucun mal. Eux, je les aimais. Vous savez monsieur, je n’aime pas les voleurs, le dernier qui m’a volé a eut le droit à une paire de ciseaux dans la main. Voilà ce qu’est ma vie. Maintenant laissez-moi partir et ne parlez jamais de ce que vous entendu, sinon … »
Je me levai et partit…
▄ curiculum vitae
composition de votre baguette : La baguette de Charly est fait en bois de Roseau. Elle contient un nerf de dragon. La baguette est de couleur noir avec des reflets marrons à la lumière. Cette dernières est relativement souple.
année d'étude / matière enseignée : 7ième
la forme de votre épouvantard : Ses frères.
la forme de votre patronus : Dragon de Komodo pseudo ou prénom : Marie-Lou ( Mawiie )
âge : 15 ans
avatar utilisé : Kiki Kannibal
code du règlement : la poudre d'escampette s'en va au loin
autre ? : Euuuh Bonjour ?
Dernière édition par Charly R. Nicholls le Sam 8 Aoû - 23:18, édité 1 fois | |
| | | | Charly R. Nicholls
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Camp : Neutre. Je m'en contre-fiche.
| | Sujet: Re: Charly Reese Nicholls ( FINISH ) Lun 18 Mai - 19:28 | |
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| | | | J. Dwayn McBright
justice ♦ Somebody help me
vos doubles comptes : Slytherin ; Teacher
Messages : 1432
Camp : Du côté de Truescott. Vive la rébellion !
| | Sujet: Re: Charly Reese Nicholls ( FINISH ) Lun 18 Mai - 19:51 | |
| Bonsoir à toi,
Serpentard sans hésitation =). | |
| | | | Romy Lolà Carmichael
jeunesse lève-toi. Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre.
Messages : 880
Age : 32
Camp : Du côté de Truescott. Vive la rébellion !
| | | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Charly Reese Nicholls ( FINISH ) Lun 18 Mai - 19:56 | |
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| | | | Charly R. Nicholls
Messages : 488
Camp : Neutre. Je m'en contre-fiche.
| | Sujet: Re: Charly Reese Nicholls ( FINISH ) Lun 18 Mai - 19:57 | |
| Merci beaucoup <3
BenJ - =) Faudrait réussir à s'en faire un topic un jour ^^ | |
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| | Sujet: Re: Charly Reese Nicholls ( FINISH ) | |
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| | | | | | Charly Reese Nicholls ( FINISH ) | |
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