unable to rewind. fini guys.

« why do you choose an english sorcery school ? »
« 'cuz i wanna move away from Mexicò, and my fate too. »
« so... You just want any vacation, innit ? »
« if you see my choice like that... Why not ? »

C'était sur ces mots que les deux hommes de la sainte et noble famille mexicaine, Almadovar, se quittaient pour quelques temps. Quelque chose semblait s'être fissuré entre eux, pensa tout bonnement Miguel, son charismatique de père dont tout le monde tremblait comme une feuille au vent, lorsque ce dernier levait la voix. Son fils s'en allait devant lui, le regard droit et la tête haute. Une noblesse que l'on ne connaissait que de cette famille au sang si pur, que même un lord noir ne peut que les jalouser. Miguel soupira doucement. Son fils aîné s'en allait avec le pas ferme, les pensées imperturbables. Il avait fait son choix. Un choix dont il ne connaissait aucune motivation. Ce qui avait le don de l'énerver. Tant de questions... Mais aucune réponse. Il avait tout au Mexique. Il avait sa future promise, une famille possédant un pouvoir sans nom, une réputation sans faille, et un parcours scolaire fabuleux malgré les quelques conneries que font chaque adolescent à cet âge-là. Miguel posa l'une de ses mains sur le dossier de sa chaise, relevant l'autre à la hauteur de ses tempes comme pour se les masser. Finalement, ce fut Maria, sa tendre et belle épouse, qui entra par la même porte que Dakota avait emprunté pour sortir. Elle avait le teint inquiet et le regard curieux. Néanmoins, ses doutes s'étaient confirmés lorsqu'elle vit le regard que Miguel lui lança à travers sa main. Sans un mot, il s'avança près du buffet où il tira un verre de cristal. De son autre main, il se versa deux doigts de whisky pur feu importé d'Écosse ( de la famille McGregor, plus particulièrement ) et il y trempa ses lèvres avant d'entendre sa femme demandait :

- so... does he change his frame of mind ?
- what do you believe, Maria ?

Elle baissa doucement la tête, levant délicatement et avec lenteur sa main à la hauteur de ses lèvres, comme secoué. Elle redressa son visage, sa beauté vélane agissant comme un phare sur son mari qui baissa à son tour les yeux. Chose qu'il ne faisait quasiment... Jamais. Il n'y avait que devant elle qu'on l'avait aperçut baisser le regard. Chose assez phénoménale lorsque l'on connaît le lascar.

- why don't you try to reason with Dakota ?
- 'cause it's an Almadovar.
- and that's all ? Just... An Almadovar ? I don't want him to go to England. It's so far far away, and if he has any problem, we cannot help him like here.
- this conversation is closed.

Maria le fusilla du regard. Quelque chose la mettait hors d'elle... Peut être est ce le fait qu'elle comprenne le point de vue de son mari... Peut être parce qu'elle savait qu'il était bon pour son fils de s'éloigner quelques temps après ce qu'il s'était passé au mois de Juillet ? Mais son instinct de mère ne pouvait l'empêcher de se faire du mourron, d'en vouloir à son mari qu'elle aimait comme au premier jour. Elle... Impuissante, elle se retourna et fit comme toute femme agit devant son mari dans ce genre de famille : elle abdique, et s'en va.

si l'on pouvait effacer cette soirée, Dakota demanderait à ce qu'on explose complètement chaque bride de cette soirée, pour ne plus jamais avoir à y repenser. Que chaque brindille de ce souvenir brûle dans les flammes du tant redouté enfer. Il ne voulait plus y repenser. Il ne voulait plus rien avoir à faire dans ce pays. Il fallait qu'il se fasse oublier l'espace de quelques années, de quelques temps. Car ce jour-là, il fit une chose qu'il se maudit, chaque jour, chaque instant, de l'avoir fait. D'avoir oser faire cela. Il n'était plus lui même, certes. La datura n'avait pas été coupé comme Paz lui avait certifié par a + b, il n'avait plus du tout était lui même. Le sang avait jaillit... Le sang avait éclaboussé. Le sang s'était rependu, en cette soirée du 6 juin. Et pour rien au monde, Dakota ne voudrait revoir cette soirée.

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la fête battait son plein. Elle n'avait rien d'exceptionnelle aux genres de fêtes qui se trament en Angleterre, si ce n'est que le soleil crépusculaire de Laguna Beach, la sono sorcière passant tous les titres les plus high dans le top music selon la jeune génération sorcière, et malgré le fait qu'elle soit couverte contre les moldus, qu'il soit à l'air libre, etc... L'on ne pouvait s'empêcher de ressentir tous les genres d'effluves. Du sexe, de l'alcool ( et ce qui se passe, généralement après en avoir trop ingurgité ), de la drogue, de la chaleur, et surtout, du jeu, de la séduction et de l'amusement. La transpiration y était également. Mais dans ce genre de fêtes, on n'y fait plus du tout attention au bout du quatrième verre sous un soleil tapant fort, malgré sa déclinaison. Le bruit des vagues donnait un air paradisiaque à la chose, et l'on ne pouvait s'empêcher de penser que quand on possède les richesses nécessaires, l'on pouvait tout se permettre. C'est donc, un verre à la main, un bedo entre ses lèvres, et un regard fiévreux que nous retrouvons Dakota, tournant autours de la belle Anna-Lucia della Lorca, sa future promise. Se tournant autours, ( au début de la soirée, plus par connaissance que pour les idées qu'avaient désormais les deux jeunes gens ), ils ne cessaient de se séduire, de se pousser à faire l'un comme l'autre, le premier pas. Des gestes, parfois des caresses... Dakota cracha son bedo au loin, avant de vider son verre d'un trait. Il le posa sur un banc, tandis qu'il continuait de s'avancer vers Anna, qui reculait doucement face à la posture très féline de Dakota. Finalement, elle rencontra délicatement le mur où elle se colla avec un petit sourire mutin. L'hispanique finit par coller son bassin contre le sien, posant doucement ses mains sur les hanches de la demoiselle. Elle portait une délicieuse robe blanche, lui relevant avec une beauté purement féminine ses courbes, et son teint de peau. Quant à lui, il avait juste un de ses shorts à fleur. C'était qu'il faisait chaud, voyez vous ? Et puis... Il fallait suivre ne serait ce qu'un peu la mode. Il pencha doucement son visage, caressant du bout de ses lèvres les lèvres d'Anna, tandis qu'avec ses mains, il tentait de la déstabiliser. Il eut un petit sourire lorsqu'elle eut un tremblement. Un tremblement de plaisir refoulé. Elle se mordit la lèvre et s'écria dans un murmure à peine audible.

- ya don't have the right to do this...
- i don't care...
- ya cheat...
- it's normal... i wanna cheat with ya.... And more again...

Elle rougit délicatement, en croisant les iris sombres de Dakota, tout en sentant également une chose se durcir au niveau de ses hanches. Elle se mordit une deuxième fois la lèvre, avant de se redresser, et de l'embrasser avec une fougue particulière. Elle l'enlaça rapidement, peut être un peu brutalement, mais alors qu'elle eut à peine le temps de poser ses lèvres sur les siennes, ce dernier avait saisit ses jambes pour la lever à sa hauteur, tout en la laissant contre le mur, l'embrassant avec cette même fougue, cette même envie, si ce n'est quelque chose de plus bestiale, peut être, étant donné que ce soit un homme. Les caresses ne cessèrent jamais. Ils n'allaient pas plus loin, mais plus les secondes passaient, plus la chaleur les prenait, et plus les envies se faisaient difficile à retenir. Dak' n'attendait qu'une chose, c'était de la pénétrer. Il n'y avait pas d'autres mots. Il en avait envie, et elle aussi. Il baissa doucement ses mains, remontant doucement sa robe vers sa taille, jusqu'à ce que quelque chose attira son attention. Il s'arrêta quelques secondes, tandis qu'elle continuait de lui embrasser doucement le cou, le mordant de temps à autres. Des marques l'intriguaient. Il venait de les apercevoir sur ses cuisses, sur sa peau dorée, l'on voyait parfaitement les tâches sombres d'hématomes. Il s'arrêta tout d'un coup, comme refroidi. Bien que physiquement, lorsque l'on posait son regard sur sa taille, l'on n'aurait jamais pu penser une telle chose. Anna-Lucia réouvrit doucement ses yeux, comme si l'on venait de lui retirer son noël, l'interrogeant du regard. Il lui répondit instantanément, une colère naissant.

- what's that ? il appuya sur l'un des hématomes, tandis que cette dernière gémit avant de baisser de nouveau le regard.
- Ohw... It's... It's nothing, Dak'.. Nada. Elle s'empressa de baisser sa robe. Mais l'hispanique la maintenait fortement contre le mur.
- WHAT'S THAT ? lui hurla-t-il dessus.

C'est fou comme un petit quelque chose pouvait renverser aussi vite les vapeurs. Anna savait très bien ce que c'était. Et elle ne voulait pas l'avouer de peur d'attirer disgrâce et honte sur la famille. Dakota bouillait. Cela n'allait sans dire. Ses veines semblaient se gonfler à vue doeil. Anna murmura doucement, plus pour elle même de sorte que Dak' n'entendit pas la première partie de sa réponse.

- peyolt... I... I know you know what's it.
- WHO IS IT ? Lui demanda-t-il, violemment, la plaquant contre le mur avec peut être un peu trop de force.
- Dak, I... It's... Diaz.
- hijo de puta... i'm gonna shot him down... RIGHT NOW !

Il la lâcha, et automatiquement, il se mit à rebrousser chemin, pour aller en direction de la plage. Et il fallait s'en douter, Anna se mit à lui courir derrière tout en le suppliant de ne pas faire un tel acte. Car elle savait ce qui allait se passer.

Et vous ? Connaissez vous, les effets du peyolt ? De cette plante que l'on nomme aussi, la fleur blanche et soyeuse ?

le peyolt est un petit cactus que l'on trouve dans toutes les surfaces désertiques d'Amérique centrale. Il va sans dire qu'elle ne se trouve que dans cette région à moins de l'exporter et d'en faire culture. C'ets un petit cactus sans épine, qui possède des effets complètement opposés. Souvent utilisé comme antibiotique chez les populations natives américaines, ou chaman, c'est une plante qui provoque hallucination, euphorie et qui change relativement un homme. Les effets durent assez longtemps, et parfois, l'homme peut mal réagir. Violence, dureté, etc... Le peyolt est à consommer avec beaucoup de modération. Il se mange cru, se fait sécher, se fume, se boit ( après infusion, bien entendu, etc. ) Bref, des sensations assez particulières. Mais rien n'indique les effets possibles lors de mélanges avec d'autres herbes et alcools. Après tout, Diaz l'avait, visiblement, très mal coupé pour en inhibé les effets nocifs pour ne garder, normalement que l'euphorie. Là, il était hors de lui. Et l'on aurait presque pu penser que notre Dakota nationale aurait prit de la datura, une plante bien plus puissante que l'on nomme également, la fleur du diable. Bien. Après ce petit cours de botaniste, revenons en à nos faits.

Dakota marchait droit vers Diaz qui comprit directement ce qui se tramait lorsqu'il vit Anna-Lucia courir après Dakota l'air implorant et plein de larme. Ce dernier se leva aussitôt s'enfuyant à toute jambe en direction de la ville. Chose qu'il n'aurait pas du faire car cela l'énerva un peu plus. A son tour, il se mit à courir, et tout le monde se poussa pour le laisser passer. Anna-Lucia finit par laisser tomber de courir, s'effondrant sur un canapé ( amené pour l'occasion sur la plage ) pleurant à chaude larmes. Dakota voyait rouge. Et comme le taureau, il fonçait comme une brute. Chacun de ses pas semblaient ne pas s'enfoncer dans le sol. Le sable se levait à peine. Sûrement son côté vélane. la course poursuite dura peut être une demi-heure. Jusqu'à finir dans une petite ruelle, où...

- DAK' ! It's not what you... Think ! I...

Il bredouillait, tentant de reprendre sa respiration. Mais pour Dakota, ce n'était même pas la peine qu'il parle. Il savait ce qu'il comptait lui faire, et même si la raison qu'il avait tenté de lui suggérer d'agir autrement, c'était comme... Impossible. Elle semblait loin la raison... Trop loin. Et la noblesse de Dakota semblait l'être tout aussi. La drogue. Le Peyolt. Son père, comme sa mère, comme à l'institut des Desperados, lui avaient bien dit de n'en prendre que sous extrême besoin, et sous la surveillance d'un chaman. C'était une plante beaucoup trop dangereuse, alors, en drogue, c'était un euphémisme. La preuve.

- WHAT ? AND WHAT DO YOU THINK I THINK ?

BLAM ! Il donna un grand coup de poings avec le plat de sa main sur l'une des bennes qui se trouvait là, l'enfonçant. La marque de sa main était bien visible, et Diaz avait, comme qui dirait, sursauté. Dakota s'approcha vers Diaz, le regard noir, la veine temporale bien visible. Il comptait bien lui faire payer ce qu'il avait fait à sa promise. Il avait bafouillé sa dignité, son honneur, et sa chair. Ce qu'il avait ne devait pas rester impuni pour la simple et bonne raison qu'il allait se marier avec elle, et qu'il devait lui racheter son honneur. Sans honneur, elle ne pouvait se marier avec sa famille. Sa prestigieuse famille. De plus, faire cela à une femme... C'était d'une bassesse... Et le pire dans tout cela... C'était qu'on ne lui en tiendrait même pas rigueur. Excepté, bien sûr, la famille de Diaz, qui tenterait de retrouver son honneur perdu dans la mort de leur fils. Diaz s'était plaqué contre le mur, observant Dakota approchait. L'adrénaline qui battait dans ses veines était tel qu'il se sentait véritablement être un surhomme. Et alors qu'il tendit la main pour saisir la chemise de Diaz, ce dernier envoya son poing sur Dak'. Son visage birfurqua vers la droite, un liquide chaud coulant doucement le long de sa joue. Il venait de lui casser la pommette non sans mal. Dak' eut un sourire lorsqu'il reporta son regard vers Diaz qui lui sautait dessus. Emporter en arrière par l'élan de Diaz, ils firent un rouler boulet jusqu'à ce que Dak' parvint à le maîtriser au sol. Et à ce moment-là, c'en fut finit pour Diaz. Ce dernier tenta de le repousser mais impossible. Le poing de Dak' s'abattit avec force et férocité sur le visage de Diaz lui cassant le nez ( ou l'explosant comme vous le souhaitez ) et de là, il ne devait jamais cesser de frapper jusqu'à ce qu'Anna les retrouva.

- DAKOTA ! STOP IT RIGHT NOW !

Mais il frappait. La haine le consumant rapidement. Il le fallait. Anna, qui était à sa hauteur, ne posa même pas le regard sur le visage de Diaz, ou du moins, ce qu'il en restait, et finit par prendre du recul pour lui foncer dessus, comme une vrai prise de rugby. Dakota tomba au sol, sa tête percutant le sol avec violence. Anna, se trouvant sur lui, grimpa rapidement son corps, pour l'obersver. Dakota avait les yeux vitreux, comme assommer. Elle lui tapota la joue rapidement, jusqu'à ce qu'il se mette à cligner des yeux, avant de lui saisir sa main avec la sienne, ensanglanté par le sang de Diaz.

- Whow, what's wrong ?

Sa main. Il observa sa main, puis pencha doucement sa tête sur le côté. Du mieux qu'il put, étant donné qu'il était allongé. Et il vit. Les souvenirs lui revinrent d'un bloc, et aussitôt, son regard se fit furieux.

- Dak'... You killed him...
- Nevermind.... He has fully deserved ( ? à vérifier. Pas sûr du temps. )
- He didn't rape me, Dak'... He has just been trying, but... I standed up to him...
- Why don't you say as soon as i saw the bruises, huh ?
- 'Cuz, you didn't give me the time to say it, Dakota.
- You could...
- Just prove me wrong. You lie. You didn't give me the time... You went away so quickly, Dak'... So fast... De nouveau, elle éclata en sanglot sur son torse, pleurant à chaude larmes. Dak' sentit ses yeux le piquaient, avant qu'il ne murmure doucement, tout doucement.
- forgive me, Anna... Forgive me...

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par la suite, ils vinrent trouver le père d'Anna-Lucia, qui sous la colère de ne pas avoir été mis au courant, gifla sa fille. La prenant dans ses bras, il s'écria à sa femme de s'occuper de panser les blessures de Dak' et avec son aide, ils allèrent retrouver son corps, pour le mener à la famille de Diaz. Là, le père d'Anna, posa un bouton de manchette avec les armoiries de la famille della Lorca, et ils partirent. Ce qu'il se passa, aucun membre de la famille Almadovar ne le sut. Quand au pansement de sa main brisée, il leur raconta qu'il s'était battu sans aller plus loin. Mais la mort de Diaz le hante. Cependant, cet acte permit d'établir un lien privilégier entre Dakota et le père de sa promise.

la vision du père.
mon fils est un homme. Plus le temps passe, plus je le vois grandir, se métamorphoser, passer du stade du petit lionceau en un lion pour le moins impressionnant et d'un charisme sans pareil. Il a ce petit côté noble que l'on a chez les Almadovar, qui lui donne un petit air arrogant, très jem'enfoutiste de ce qui peut bien se passer. Il est sombre, mais bon. Ses choix et ses envies sont simple et pur, et je dois dire que j'en suis pas moins fier, bien au contraire. Sa mère ne cesse d'en être fier, de l'exhiber depuis sa plus tendre enfance - bien qu'elle le fasse également avec Talia et Lola -, et elle lui en a transmit son goût pour la mode, pour les belles choses. C'est quelqu'un de loyal, d'arrogant, de courageux, de protecteur, mais aussi de rêveur. L'on ne peut pas dire que de temps en temps, il ne se la joue pas un peu, non... Mais c'est un Almadovar. Et un Almadovar sans prétention... C'est qui lui manque quelque chose. Par chance, il le mérite. Lui, plus que quiconque. La nature l'a aidé. Tant sur un plan mental que sur un plan physique. Sa mère, mon épouse, étant vélane, il ne l'est qu'à moitié. Je suis fier de lui, et je l'aime. Mais je suis beaucoup trop fier pour le lui dire, même si il le voit. Un grand homme en devenir. Ne le prenez pas pour ce qu'il n'est pas, même si il vous fait paraître être ce que vous pensez de lui. Dakota est un homme d'or. C'est un étendard de justice et d'honneur.

la vision de son enseignant de défense contre les forces du mal, Mr. Eskobar.
Dakota... Un élève particulièrement doué dans tout ce qu'il entreprend. Sa baguette n'est que son prolongement. Il est tellement agile... Habile de ses doigts, qu'il surpasse de loin la majorité des élèves. Ses prouesses sont tout bonnement incroyable. Je me souviendrais toujours de son examen de première année, lorsqu'on lui demanda de faire léviter un animal, un oiseau, un vivet dorée pour être plus précis. Il avait un total contrôle sur ce dernier. A travers la pièce, il le faisait voleter contre son grès, avant de lui faire faire quelques loopings, etc... Je me souviens de la tête des examinateurs... Un vrai phénomène. On lui a, même, fait cadeau... Et enfin, cette année, enfin, l'an dernier, lors de son examen de défense contre les forces du mal, il s'est révélé comme étant LE meilleur élève de sa promotion. Aucun élève n'avait obtenu d'aussi bon résultat depuis dix ans. Lors de la pratique, Dakota parvint à sortir du labyrinthe ( une épreuve que l'on fait passer une année sur deux pour les septième année ) en l'espace d'un heure ( alors qu'il est prévu pour deux heures et demi, en moyenne ). Son combat contre la plupart des créatures étaient brefs. Il sait toujours quel sort lancer au bon moment, etc... C'est un phénomène particulier... Et je dois dire que j'ai hâte de le rencontrer d'ici vingt ans... Il fera de grandes choses. Déjà son père nous avait tous ébahi lors de son passage... Dois je constaté que c'est un trait de famille ?

la vision de Marguerita, la grand mère, dite la mama.
ah... Dakota. Mon petit fils. Si j'avais eu son âge et que je n'étais pas de sa famille j'aurais tenté de me le faire. Un vrai canon, ce petit. Enfin, quoiqu'il en soit, il est au courant de son sex-appeal. Et ce que j'aime chez lui, c'est sa simplicité. Il n'est pas du genre volage. Vraiment. C'est un homme d'une fidélité sans borne. On a du mal à trouver plus fidèle. Cependant, il est d'une arrogance... Et d'une prétention... Je pense que la prétention, c'est plus pour rigoler. Il sait que ça lui rajoute un petit côté badass... Et les filles apprécient. C'est un garçon qui aime le jeu. Depuis tout petit, il s'essaie à toute sorte de sport. Mais son préféré reste comme la normalité, le quidditch. C'est un bon petit fils obéissant. Il est proche de la famille et il le restera. Du moins, à ce qu'il semblait... En ce moment, il est bizarre.