Heure : 3:35
Humeur générale : Pas trop mal. Physiquement fatiguée, mais pas assez pour dormir.
Fond sonore : Putain vous m’aurez plus de Saez, mais en version live. En direct. Juste à côté de moi. En d’autre termes j’ai mon frère qui me brame dans les oreilles accompagné de sa guitare – je vous rappelle qu’il est 3h et demie du matin. Vraiment, une chance que c’est bien insonorisé chez moi…
Livre en cours : Entretien avec un Vampire d’Anne Rice ; Lunettes de Poe ; Le Parfum de la Dame en Noir de Gaston Leroux et deux livres de nouvelles d’Oscar Wilde dans lesquels je lis De Profundis et Le Portrait de Mr W.H. C’est une habitude chez moi de lire quinze livres en même temps. Je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours fait ça, et malgré tout j’ai toujours une liste interminable de livres à lire, allez savoir.
Evènement special de la journée : Boulot, boulot, boulot, gens cons et boulot. Je ne sais pas si j’ai déjà précisé à quel point je hais mon boulot, mais franchement, il faut que j’en trouve un autre. J’ai remarqué qu’il y a un café pas loin de chez moi qui cherche des employés, je peux toujours aller voir. Ça ne peut pas être pire.
Phrase/mot d'aujourd'hui : « J’ai pas bronzé comme une bite. » Bon, d’accord, ses termes exacts étaient « J’ai pas bronzé, comme, une bit (i.e. un peu). » mais le résultat est le même. Des fois, je me dis que de vivre dans une ville principalement bilingue n’est pas excellent pour la santé de mon frangin.
L'objectif de la journée : « Concentre toi et essaye de penser à la paye. »
Le problème du moment : Eh bien, comme je l’ai dit plus haut, on boulot me fait chier à l’échelle cosmique. Sinon, le fait que mon frère est toujours en train de me bramer dans les oreilles n’aide pas, non plus.
La solution envisagée : Comme je l’ai également dit plus haut, changer de boulot et aller voir au petit café à côté de chez moi. Pour ce qui est du deuxième problème, lui faire bouffer sa guitare semble être une solution envisageable.
Envie de ... : Voir des gens qui ne sont pas sur le BS. Dormir serait bien aussi, mais ça va être dur, là.
coup de gueule : J’en ai déjà dit pas mal sur ce qui est de mon travail, donc, pour le coup de gueule, je vais écrire, ici, ce que je vais également extérioriser de vive voix.
« JULIEN, TA GUEULE ! »
coup de coeur : « J’ai pas bronzé comme une bite » ça m’a quand même bien fait rier.